journal intime de Reyna Ndiaye

jour 4

26/03/2013 à sacrée coeur
8 heure 38 minute 16 seconde

Après le diner d'hier soir, tout le monde vaguait à leur occupation. Jusqu'au lendemain, je faisais mes rituels matinaux comme d'habitude avant que quelqu'un ne toqua à la porte:

-Entrée. Dis-je ?

J'étais un peu étonné de découvrir qui se tenait devant le portail de ma chambre, c' était la cousine de mon tuteur, je me suis demandé pourquoi et du comment ces deux cousins ne donnaient jamais leurs noms ce qui est vraiment bizzare c'est que j' oubli le plus souvent de demander leur prenom et nom de famille à croire qu'ils n'aiment pas les futilités.

- A ce que je vois tu es matinal, j'espere que je ne te dérange pas. Dit-elle avec une bonne mine ???

-Non non pas du tout. Dis-je contente de la voire?

Je me demandais pourquoi mais j'ai l'impression de la connaître , je me sentais apaisait en sa présence.

- Je viens te voir afin de t' inviter à faire du shopping entre fille et d'aller voir la nouvelle film qui vient de sortir au cinéma. Dit-elle ?

- Je suis toute oui , on pars quand. Dis-je toute exiter ?

- On pars toute suite, on fait la course vers ma voiture. Dit - elle d'un sourire espiègle et taquin ???

J'avais jamais vu quelqu' un qui avait un joix de vivre. Je me demandais comment c'est deux là peuvent être cousins: l'une qui apporte la joix , la paix et la lumière du soleil dans une maison alors que l'autre apporte l'obscurité et le ténèbre de la nuit.

- Alors tu viens. Dit-elle ?

Ni une ni deux je me mets à courir à toute vitesse , elle m'avait même traité de tricheuse MDR.
C'est vrai qu' elle ne s'y est pas préparer, en même pas trente seconde , elle me rattrape, non mais serieuse après quelque mois d'entrainement j'ai l'impression que mes effort était inutile, il faut que je m'entraine de plus en plus...
J'ai l'impression d'être une scargot malgré qu'elle portait des talons.
Enfin elle avait à me battre tout comme son cousin qui m'avait attrapé dès notre première notre rencontre.
J'était un peu désagreable d'avoir un perdu.

- T'inquiete, je suis sur que tu gagneras la prochaine fois. Dit-elle avec un sourire charismatique.

On était déjà dans une voiture, en attachant ma ceinture:

- Est-ce que Kassim est au courant de notre sortie. Demandais-je ???

-T'inquiète pas je lui ai demandé si je pouvais t'emporter avec moi, il était toute oui, il m' a dit aussi que cela te permettra de connaître le monde qui t'entoure et je suis bien d'accord avec lui. Dit-elle ?

-Ok. Dis-je ?

En regardant de plus prés, on ne dirait pas qu' elle est amoureuse de kassim mais bon l'apparence est trompeuse , elle doit être le genre à ne pas montrer ses sentiments.

- j'allais oublier de te demander ton nom si ce n'est pas indiscret. Demandais-je ?

- Non non tu as bien fait sinon je n'allais jamais te dire dans notre famille a pris la mauvaise habitude de ne pas dire nos noms aux personnes qu' on vient de rencontrer. Je me présente: Ndeye Marième Soda Gueye. Dit-elle ?

- Très belle nom. Dis-je ?

- Pas aussi bien que la tienne. Dit-elle avec un clin d'oeil ???

J'étais un peu gêner par ce compliment, non elle est trop mimi et cet idiot de tuteur qui ne remarque pas la vrai beauté interieur de cette femme.

- T'inquiéte pas, je ferais que cet idiot de kassim te remarque. Dis-je tout haut ce que je pensais ???

Mariéme me regardait d'une tête médusé avant de partir au fou rire, j'étais en mode " qu'est-ce qui te fait rire???"

- Je peux savoir comment tu sais que je convoite mon cousin. Dit- elle ?

Elle est vraiment sans gêne et sa franchise m' étonne de plus en plus et c'est ce que j'aime.

- C'est la bonne de la maison qui me la dit. Dis- je ?

- Elle est gentille mais quand même elle a langue bien pendu mais bon je ne vais pas la juger ses sa nature humaine. Dit- elle comprehensible ?

Après quelque minute, on arriva au centre commercial, On avait passé plus de deux heure à courir partout dans le centre commercial pour y trouver notre bonheur.
Enfin comme convenu, on était allée voir le nouveau film qui s'intitule : La fille de ma mère.
Cela à durer moins de deux heures et pendant ce laps de temps, Soda avait eu les larmes.

Mais quel sensible???

Enfin comme nous n'avionsrien mangé, on était parti au brioche dorée et on y discute pendand des heures et des heures avant de se décider à rentrer dans notre humble villa. Et quant à notre tuteur il avait eu le champ libre pour travailler calmement...