oc x suzuya

Fin des deux semaines de rétablissement

Sous conseils de ma mère ambre est repartit le lendemain en fin d'après-midi. On s'est promis de se revoir lors des défilés de Paris, après tout le temps n'est plus de question entre-nous !...

Puis je suis revenu dans l'appartement de Juzo raccompagner par mon garde du corps attitré depuis la veille...
Ambre aussi en a un en attendant que les choses se calme.
Je n'ai pas eu de nouvelles de Juzo, je ne l'ai pas vu non-plus au sortir de garde-vue, mais en secret Narakai m'a contacté dans la journée justement pour me demander de rester patiente. Des rumeurs sur Suzuya commencer à ce faire remarquer au sein même du CCG. Il valait mieux ne pas faire de vagues entre-nous deux pour le moment.

Je ne sais pas pourquoi, mais en arrivant je me suis posée à son bureau.
Je regardais ses feuilles sans les lires. A ce moment c'était bien la chose au monde qui m'intéressée le moins. Mes yeux se concentraient seulement sur son écriture, je le voyais, a ma place, ses mains répétant inlassablement le schémas des mêmes calligrammes, et ses yeux s'arrêtant quelques moment sur des mots, des photos, un souvenir.
Est-ce que seulement des fois ses yeux, se sont arrêtés un instants pour penser à moi ?
Mes doigts parcourent ces surfaces creusées par la pointe de ses crayons.
Y a-t-il un peu de moi dans ses compositions ?
Dit-moi, si dans toutes ses phrases, il y a quelque part la preuve de ma complicité dans tes crimes ?

[Disclaimer/ début de lemon]

Une main caresse la mienne. N'ais-je donc pas entendu la porte s'ouvrir puis se refermer derrière moi ? Douces, ses doigts se croisèrent dans les miens, je resserre l'étreinte.
Sur ses phalanges des sutures, je les ramène à ma bouche pour les y embraser. Je tourne la tête pour y rencontrer une autre bouche, que j'embrasse.
Je me lève mes lèvres jouant toujours avec les siennes, mes mains s'étant prise des deux cotés de ses joues. Il lâche une de ses mains de mes hanches pour y pousser la chaise derrière moi. Je m'assois sur son bureau.
Je le regarde, ses yeux sont baisser vers son materiel qu'il décale de cette même main, l'autre toujours à ma hanche jusqu'à ce que je la sente monter dans la frisson vers mon soutien-gorge.
A peine effleuré le voilà défait. Vaillant autour de mon buste sa main passe entre mes seins puis le soutire sous mon tee-shirt. Mon cœur bat vite et mon souffle est court alors que nous n'avons même pas commencer... Cet situation me comble...
Je défais sa chemise et haïs le ciel de m'avoir fait porter ce jean qui m'oblige à me relevé.
Cependant mes propres mains s'égarent. Je défais son bas, puis son caleçon ; il est nu. J'embrasse le juste au dessus de son endroit. Il s'accroupit à ma hauteur, avec ce sourire qui parle d'amour pour mille. Il retire mon tee-shirt.
On se dirge vers le lit. Le dos contre le drap ses lèvres effleures mon cou, mon collier, mes seins afin d'y continuer l'ascension jusqu'au dernier niveau. Défait enfin mes jambes de leurs étreintes bleues, puis ma culotte... Enfin embrasse mon clitoris.
Je soupire puis le regarde, son visage s'approche du mien pour me susurrer "Je crois que ce ne sera pas disponible ce soir...".
Peut-importe BigMum peut bien se retourner dans sa tombe, lui est moi avons envie l'un de l'autre et nous ferons l'amour ce soir !
Mes lèvres goûtent son torse encore assoiffés de plaisir. Il en sourit tandis qu'il s'allonge a mes côtés sans que je ne me lasse de l'embrasser. Il prends le contrôle d'une de mes mains et l'emmène vers mon endroit. Mon autre main s'agrippe à lui, mon souffle régulièrement se fait sentir sur sa peau. Je tente de descendre ma main or mon souffle coupe, mon torse se cambre, enfin mes seins se frotte à son haut. Mon visage se retrouve enfin réuni près du sien lorsque je sens son expiration chaude sur ma joue... Lui aussi ressens ce plaisir ?
Il libère ma main pour mettre la sienne sur ma hanche. Je caresse son aine puis descends encore un peu jusqu'à ce tendrement il reprenne ma main pour la ramenais contre nos buste.
Nos deux mains serrées entre nos deux cœurs, nos deux âmes se regardant l'un dans l'autre, nous reprenions notre respiration.
Faire l'amour n'est pas une question de pénétration, mais d'échanges de plaisir, de tendresse et/ou d'amour.

[Fin-lemon]

Nous avons passé notre soirée à  regarder la nuit poser son sombre voile sur le ciel, puis la lune éclaircir ce sombre ciel. Nous n'avons pas échanger grands mots. Nous sommes tout deux allongés sur le lit, je lui caresse doucement ses cheveux, ses barrettes étants partis... Je sais bien qu'il a dû s'endormir quelques fois ainsi, dans mes bras.

La lueur de nuit me redonne petit à petit quelques frissons qui m'éveille à mes pensées.
La fin de mon arrêt maladie sonne à la fin de ce week-end. Si je ne suis pas prise pour cible d'ici-là, j'aurais peut-être la chance de le passer avec Juzo. Peut-être même un peu le lundi ? Mon billet d'avion n'est que pour le lundi soir s'ils me laisse quitter le territoire japonais.

Mon homme relève sa tête vers moi et me voit sourire :
- Tu penses que le CCG me laissera m'envoler pour New York ?
- Bien sûr que non, ne fais pas l'idiote. il me réponds en remettant sa tête sur mon buste, puis avec une voix un peu étouffé il continua. Jamais je les laisserais t'emmener loin de moi...
-Tu sais... Quand je repense à tout ce qui c'est passé, je crois bien que je suis coincée dans une grande histoire qui me dépasse...

Au début il ne réponds rien, puis :

- Fais attention à toi là-bas...
-Tu le penses aussi ? Tu penses que mon garde du corps à tout entendu ?
- Pourquoi tu parles de lui tout à coup ?
-Je sais pas, ça vient de m'arriver en tête. Je n'ai pas vraiment sommeil.
-Laisse-moi deux heures ainsi... Après on fera ce que tu voudras...
- Je n'ai pas dit que je savais ce que je voulais faire.
-Peu importe... soupire-t-il. Moi aussi j'ai envi de profiter du plus de temps avec toi... Je dormirai après...

- D'accords Juzo. Finis-je.