Une vive voix sillonnée les couloirs tendit que j'essayais avec difficulté de m'habiller en toute pudeur derrière mon lit .
« Qu'elle chambre désastreuse ! S'écrie la voix autant insupportable que chaleureuse à mes oreilles. Qui à osez donner cette dépouille à ma tendre !
- Maman... Arrête de parler comme ça, j'ai honte. »
Elle vit un pied chaussetté se lever au dessus du lit, puis ma tête qui remontait péniblement en appuis sur l'autre. « Salut. » lui dis-je en toute simplicité.
« Oh ! Ma fille ! Elle se précipita de mon côté pour me prendre dans ses bras, qui m'étouffe . J'ai eu si peur pour toi si tu savais ! Rentre en Angleterre avec nous, je t'en supplie !
Bien évidemment, toute notre discussion était fait dans notre langue maternelle. Laissant tout le personnel médical à moitié lessivé.
- Le simple fait de savoir où je serais demain, c'est pas moi qui le décide, tu sais bien. Je Rétorque en la serrant moi aussi avec nostalgie, et que ainsi ma tête sur son épaule me laisser de l'air.
Nous nous séparâmes, de quelques centimètres. Cachée, Elle avait reprit ses habitudes sincères. Comme moi assise en tailleur ; elle souriait tel une gamine attendant un gâteau.
- Je le sais. Souffla-t-elle renvoyant son impulsion à plus de calme. Dis-moi , tu n'as plus de problème avec tes agences maintenant, si ? Et ton copain, il est où ? Il t'a abandonné ? C'est pas grave, tu trouveras mieux. Elle déblatère sans me laisser le temps de répondre.
- Alors ... Je ralenti Le rythme délibérément. C'est compliqué, niveau agence, mais c'est mieux... sinon, lui, Suzuya, il est en réunion mais il a était très présent durant mon coma... j'ai hâte de le revoir, car il me manque, puisque je l'aime. Je finis en repensant à lui.
Et à la surdose de médocs que j'avais ingéré, de mon propre chef... Je suis vraiment pas douée.
Ma génitrice semble ennuyer de mes réponses et se lève d'un appuis sur ses genoux.
- Bon, tu viens ? Ou veux-tu rester dans ce sordide endroit ? Ça me rassurerai, pardi. Elle piqua mes bêtises en me tendant la main pour que je suive le mouvement.
- Pardi , oui , mais laisse moi finir de mettre mes chaussures avant !
Vers l'ascenseur, je vis plusieurs cas de maladies diverses dans les chambres, certains ressembler à des fous par leur yeux exorbités, d'autre de leur « habit » médical, absent ou complètement nu. Tout se ressemblait et j'ai eu un peu de peine à me dire que rester dans ce sous sol cadré sans couleur eu bien fait dérailler de nombreux esprits vivant à l'intérieur.
J'arrive au guichet , il est tôt, la grande porte vitré me montre le levé du soleil réfléchi , plus loin, sur le lac environnant.
Le sol est lisse et glissants nos talons qui résonnaient trompés nos incertitudes à chaque pas devancé.« Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Demande aimablement la femme au service.
- Je viens signer un certificat de sortie pour ma fille . Indiqua implacable La plus âgée.
- Bien patienter un instant je vous pris, vous pouvez complété cette fiche en attendant s'il vous plaît ? »
Elle s'y mît immédiatement, la voix douce de cette réceptionniste cachée bien sa timidité et ses erreurs en anglais. Je parlais japonais bien sûr mais vu ma mère qui voulait s'occuper de tout, nul peine à savoir si je tentait d'ouvrir ma bouche ou non.
Alors que j'attendais en arrière-plan qu'elles eussent fini, Je sentis une force désagréable attacher mes mains dans un bruit métallique familier, je n'eut pas le temps de réagir.
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oc x suzuya
Fiksi PenggemarBillie Stray jeune mannequin japonaise pourra t'elle suivre une histoire amoureuse "normal" avec un certain inspecteur spécial de la CCG ? Alors le contexte de cette fan-fiction provient du manga TokioGhoul qui bien entendu ne m'appartient pas. Seul...