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maintenant, que je rebrousse chemin,
je n'ai plus que mes bras sanguinolents pour me protéger,
avec ce geste hésitant des mains à hauteur du visage, inégalement écartées.


quelque chose ne tourne pas rond, et c'est moi.


je suis perdu.


le jour, la forêt est galerie d'arbre mort,
cette nuit, un labyrinthe vivant, fourmillant.
Un être dont tout me sépare,


dont les intentions sont inconnues.



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CABANE - nouvelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant