je m'épuise en effort.
empêtré, si ce n'est rejeté en arrière.
je suis harassé de fatigue, n'ai pu trouver le chemin.
je pleure ma cabane,
son réconfort,
sa chaleur rêvée
qui s'éloigne et qui vas bientôt disparaître.
.
si je me laisse échouer dans le tapis d'aiguille au sol, peut être les racines des arbres se refermeront sur moi comme une couverture.
les racines
des arbres
me feront
une nouvelle
cabane