Oublier, rien qu'une fois - Fanfiction Alice in Borderland-

CHAPITRE 6

Mot auteur : Je n'avais pas posté de chapitre depuis longtemps et bien me revoilà ^^! J'ai observé que quelques personnes commence à suivre mon histoire ça me fait extrêmement plaisir j'espère que vous apprécierez tout autant la suite ! Je tient à m'excuser pour les fautes des chapitres d'avant je vais essayer de les corriger dès que je peux. En tout cas je vous laisse avec le chapitre 6 . Moins de blabla et bonne lecture :).

Fumi se réveilla avec un mal de crâne. Un bruit sourd lui empêchait de penser correctement. Elle décida de rester au lit quelques temps de plus. Elle repensa aux derniers jours qu'elle venait de passer. Tout ses proches semblaient lui cacher quelques choses. Quel lourd secret pouvaient ils bien  camoufler au point de ne pas lui en parler. Après un repos d'une vingtaine de minutes elle ne pouvait se résigner à rester plus longtemps dans son lit. Elle souleva sa couette, l'air frais passa sur ses cuisses. Elle eu immédiatement un frisson. Elle grinça des dents lorsque ses pieds touchèrent le sol encore gelé. Elle enfila aussitôt ses claquettes.
Elle descendit les escaliers de l'hôtel, personne ne semblait être à l'horizon. Elle arriva dans le hall, elle fut rassuré de voir quelques personnes. Elle avait eu peur pendant quelques minutes, peur que tout les résidents soient partie. Elle s'avança vers l'extérieur. Une boisson en main elle observa tout ce qui se trouvait autour d'elle . Pendant un cour instant elle oubliait qu'elle était dans un monde dystopiques. Elle retourna à la réalité suite à un coup de feu. Elle se releva aussitôt cherchant d'où provenait le bruit. Elle remarqua une dispute entre deux petits groupes, personne n'était blessé pour le moment, mais qui sait ce qui pourrait arriver. Par précaution elle couru dans sa chambre chercher sa trousse de soin.

Lorsque qu'elle retourna à l'extérieur, les choses semblaient s'être calmé. Elle aperçu Danma accompagnée d'une femme. Fumi ressenti un pincement au cœur. Cet homme ne faisait définitivement que  joué avec ses sentiments. Elle se senti stupide de croire que quelques choses auraient pu se passer. Mais il était temps pour elle de se l'avouer. L'homme au loin ne lui faisait pas de l'indifférence. C'était seulement maintenant qu'elle comprenait que tout cela n'était qu'un jeu pour lui, qu'elle du se rendre compte de ses sentiments. Elle ne pouvait tomber amoureuse de cet homme, après tout il l'avait kidnappé et forcer à rester dans cet endroit. Il était horrible, plus qu'une ordure. Et pourtant son coeur battait la chamade en le voyant. Elle voulait apprendre à le connaître, lui parler. Mais son esprit était encore trop confus. Elle se décida définitivement ne plus lui parler. Elle savait que l'éviter ne servait à rien, l'univers ramenait systématiquement l'homme à elle. Elle regarda la grande porte qui menait à l'extérieur. Et si elle s'enfuyait. Qu'avait elle à perdre. S'enfuir, profiter des ses derniers jours. Elle repensa au plan dans lequel elle s'était fourré. Elle ne pouvait pas tout abandonner sur un coup de tête. Mais la liberté semblait tellement tentant, et puis elle était une personne libre. C'était elle qui décidait comment vivre sa vie. Elle commença à se dirigé vers la grande porte, d'un pas plus décidé que jamais. Alors qu'elle n'était à rien d'atteindre son objectif quelqu'un lui prit soudainement le bras. Elle se tourna sa tête pour apercevoir Mariko.
- Que fais tu là ? Tu dois te reposer Fumi.
Fumi la regarda perplexe, comme si Mariko se souciait vraiment d'elle. La femme lui cachait quelques choses. Elle ne pouvait lui faire entièrement confiance.
- J'avais besoin d'air répondit elle.
- Aller rentre, tu n'as pas l'air en forme.
Mariko tira le bras de Fumi l'invitant de la suivre. Fumi retira aussitôt celui-ci de sa main.
- Je vais bien Mariko, je vais rentrer seule.
- Tu es sur ?
Fumi pris une respiration, prête à explosé. C'était elle la plus grande. Pourquoi tout le monde la traitait comme une gamine, elle avait bientôt la trentaine.
-Oui répondit elle sur un ton glacial
Fumi détestait être froide, mais c'était plus fort qu'elle. Elle fut un signe de tête avant de  retourner  vers sa chambre.

Mariko observa Fumi se diriger vers l'intérieur de l'hôtel. Elle semblait être de mauvaise humeur. Mariko tourna ensuite son regard vers la porte de la plage, Fumi avait elle eu l'intention de s'enfuir ? Elle se frotta les tempes. Elle était exténuée par tout ce qui se tramait. Entre le plan, et l'agression de Fumi, Mariko n'avais pu dormir. Deux jours qu'elle restait éveillé, trop inquiète pour dormir. L'inquiétude, un sentiments qu'elle détestait au plus au point. Elle se dirigea au bar prendre un café. Elle se posa sur l'une des chaises. Quelqu'un pris place à ses côtés.
- Comment va-t-elle?
- Je suppose que pour l'instant ça peut aller répondit elle à l'homme.
Elle observa du coin de l'oeil son interlocuteur. Elle n'avait pas perdu son objectif de vue. Fumi étai sensé assumer se rôle, mais suite aux événements de la veille, elle ne pouvait lui laisser cette tâche. Il était vrai qu'elle avait maintenant un plan, pourtant le chapelier restait l'option la plus rapide. Son amie avait tellement souffert en si peu de jour, qu'elle devait tout faire pour les faire sortir d'ici rapidement. Elle se rapprocha doucement de l'homme. Le chapelier fut surpris par le soudain geste de la femme. Alors que Mariko tenta de dire un mot, elle sentit des mains autour de ses hanches, la relevant soudainement. Elle fut maintenant sur ses deux jambes. Les mains toujours posé sur ses hanches. Elle se détacha de l'emprise de l'individu, avant de se retourner. La en face d'elle se trouvait Chishiya. Comment avait il osé la toucher. Elle s'apprêta à le giflé, mais l'homme lui retenue le poignet.
-Tu as besoin de sommeil lui dit il
- En quoi ça te regarde ? Dit elle énervé, essayant de retiré sa main.
Chishiya ne l'écoutais plus .
- Je te l'emprunte dit il.
- Pas de soucis. Répondit le chapelier.
- Hé je suis pas un putain d'objet ! Cria Mariko, à bout de nerfs.
Elle voulu rajouter quelques choses, mais maintenant trop épuisée elle tomba de fatigue.