Un ami fidèle?

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Je me réveille en sueur et remarque que tout ça n'était qu'un simple cauchemar. Je reprend mes esprits et regarde leur: 12h, je n'allais pas tarder à pouvoir sortir de cette hôpital et à pouvoir enfin retourner chez moi. Comme par défaite, un docteur et mon petit frère, entrent dans la chambre. Le docteur me dit qu'il me donne mon congé, mais que je dois y aller doucement pour les 2 prochaines semaines. Jérémy m'aide à récupérer mes affaires et nous partons à la maison.

Une fois arriver, Jérémy m'offre une boisson et je m'allonge sur le divan. Je n'ai pas le temps de souffler que le téléphone sonne.

-"Oui allô!"
-" Hey Amy, c'est Logan! Ça va mieux?"
-" Hey salut Logan! Oui je viens d'avoir mon congé et je me repose un peu."
-"Ton épaule te fait tu toujours mal?"
-" Pas vraiment, mais le docteur ne veut pas prendre de chance et ma dit de ne pas trop faire de sport pendant une ou deux semaines."
-" Je suis content de voir que tu va mieux!"
-" Hey Logan?"
-" Oui quoi?"
-" Jay m'a dit que c'est toi qui ma en quelque sorte sauver... Merci!"
-" De rien, mais pourquoi tu étais dans la forêt? "
-" Euh... j'avais peur que tu te fasses attaquer et j'ai voulu venir vous aider."
-" Sérieux, tu aurais sacrifier ta vie pour la mienne?"
-" Euh bien oui, je tien à toi et je n'ai pas le goût que quelque chose t'arrive.
-" Wow! Personne ne m'avais jamais dit ça. La prochaine fois ne reprend pas de tels risques par contre."
-" Oui, oui, t'en fais pas."
-" Bon ben je vais te laisser te reposer à la prochaine!"
-" Merci d'avoir pris de mes nouvelles et à bientôt!"
-" Ça fait plaisir et à bientôt!"

Quand je raccroche, Jérémy arrive avec ma boisson et je m'en presse à la boire. Je lui dit que je vais monter dans ma chambre et aller changer mon bandage, car le médecin à dit de le faire deux fois par jour pour pas que ça s'infecte. Une fois en haut, j'ouvre le petit sac que l'infirmiere m'a donnée et je prend un nouveau bandage, un morceau de coton et un flocon d'alcool ( pour désinfecter). J'enlève mon bandage et le met de coté. Quand je jeté un regard sur ma blessure, je vois qu'on y a fait des points de sutures et on peux bien voir les marques de crocs de la bête. La blessure à l'air de vite guérir. J'agrippe le coton et verse un peu d'alcool dessus. Par la suite, je l'éponge sur ma blessure, mais je du me mordre la lèvre pour ne pas crier, car sa brulait énormément. Après avoir fini cette partie désagréable, je mets un nouveau bandage et je range mes affaires. Une fois tout cela de terminé, je change de tenu et mets un pantalon jogging et une camisole. Je me fait une queue de cheval pour dégager les cheveux de ma face et ouvre un peu ma fenêtre afin d'avoir un peu d'air. Je remarque que quelqu'un a fait mon lits, car la dernière fois que je l'ai laisser, il était tout en bordel. C'était sans doute mon frère. J'avais vraiment de la chance d'avoir un si bon frère. À vrai dire, depuis la mort de mes parents, moi et mon frère s'étions beaucoup rapprocher et on s'aidait constamment comme ça. Je défais les couvertes de mon lits afin de pouvoir mis allongé. Je fixe le plafond un long moments et tout deviens noir en très peu de temps.

" C'était la nuit et la pleine lune brillait de plein fouet dans le ciel du mois de septembre. Je me trouvais dans la forêt au bord du petit ruisseau. Tout à coup, j'entendis des pas venir dans ma direction et je bondi me cacher derrière une roche. Une jeune femme avec les yeux bleu et de long cheveux brun fit son entrée dans la clairière. Elle n'arrêtait pas de rire et regardait dernière elle. Elle avait le souffle cours sûrement du à une longue course. Elle s'assis sur un rocher proche de moi et au même instant, un homme arrive. Il est très grand et musclé. Il a les cheveux noir et les yeux brun. L'homme s'approche de la femme et lui souffle quelques mots à l'oreille qui la fit rire au éclat. Ils avaient vraiment l'air heureux ensemble. L'homme s'assis à coté de la femme et les deux commençaient à fixer le ciel. Ils restaient pendant un long moments. J'entendis soudain un grognement étrange rempli de haine et de mépris. C'est à ce moments que je vis un loup surgir du feuillage. Je le reconnais immédiatement, le loup gris! L'homme se lève et se met devant la femme pour la protéger. Le loup ne se laisse pas intimider et avance dangereusement vers le jeune couple. La femme échappe quelques sanglots de peur, mais l'homme la console et la serre dans ses bras. La bête passe à l'attaque et saute sur l'homme. Celui ci échappe un cris de douleur mélanger à de la surprise et peu être même de la détresse. La femme saute sur le loup, mais ce dernier la plaque violament au sol. Elle gémit se qui mit le loup encore plus en colère. À l'aide de ses crocs, il lui découpe la gorge. Il fini pas la laisser en paix et attaque l'homme qui est figer de terreurs. Le loup lui mort la nuque et le lance sur un rocher. L'homme se lève avec difficulté, mais le loup lui donne un coup de pattes qui le fit cracher du sang. L'homme avait maintenant la tête fendu et la moitié de son corps était émergé d'entailles ou de morsures. Avec peine et misère, il attrape une branche pointu et la plante en plein ventre au loup. Ce dernier, recule de surprise et enlève la branche de son torse. Par la suite, il envoie un coup de crocs mortel à l'homme en pleine nuque. Il tombe immédiatement sur le sol et cette fois, il ne se relève pas. La femme elle réussis à prononcer une phrase pendant que le loup avance dans sa direction. Elle dit dans un souffle presque sourd: " Ne faites pas de mal à ma fille et à mon fils. Tuer moi mes épargner leur vie. Elles sont plus précieuse que la mienne, car une mère n'est rien sans ses enfants." C'est à ce moment excacte que j'éclate en sanglots. Je viens de comprendre que c'est ma mère qui parle et que l'homme sur le sol sans vie est mon père. Le loup s'approche de ma mère et je vous laisse deviner la suite... Je laisse échapper un cris de déteste épouvantable et je sort de ma cachette pour venir rejoindre mes deux parents."

Je me réveil en sueur et j'ai le souffle cours. C'est certain, c'était mes parents et je suis presque sur que c'est vraiment ce qui leur est arriver. Je ne peux cesser de pleurer. Je regarde mon cadran, 3h le matin. J'enfile une veste et par en courant dans la forêt. Je me dirige vers l'endroit où mes parents on certainement perdu la vie et je me remémore ce que ma mère à dit dans mon rêve ou plutôt mon flashback. Je sanglote encore et encore. Je ne peux pas arrêter, la douleur dans mon coeur c'est allumer et le seul moyen de le rendre supportable est de pleurer. C'est donc ça que je fais.

Un bout d'un moment, je fini par me calmer et m'adosse sur un arbre. Je ferme les yeux durant environ deux minutes, mais quand je l'ai réouvrent, je sursaute en voyais cette chose. Merde un autre loup. Je me relève, mais le loup s'approche. Il y a une barrière d'arbres dernière moi donc, je ne peux pas m'enfuir. Je me penche et ferme les yeux. Je me mets à crier: VAS Y TUE MOI, TUE MOI, JE SUIS PRÊTE. Le loup s'approche encore et je sens ma fin venir, mais au lieux de me dévorer, il s'asseoit devant moi et me regarde. Je me demande alors, mais pourquoi il ne m'attaque pas? Il reste là et me fixe avec de petit yeux doux. Ce loup est différent de l'autre qui à tuer ces gens. Lui il est tout brun et à le bout de la queue et les pattes blanches. Aussi, il a quelque chose de différent dans ses yeux, quelque chose de tendre, humain et surtout doux. Je le regarde un long moment sans bouger. Nous restons là tout deux à nous regarder dans la forêt au beau milieu de la nuit. Je fini par tendre ma main, mais je prend mon temps, car je ne lui fait pas encore vraiment confiance. C'est là qu'une chose magique arrive. Le loup se lève et vient me lècher le visage. Il doit sans doute vouloir enlever les larmes de mon visage. Pour le première fois depuis des lustres, je sens une flamme de pur bonheur, s'allumer en moi. Je le caresse sur la tête et il commence à ronronner. Je n'avais jamais entendu un loup ronronner, mais lui il le fait! Par la suite, il se couche et je fait la même chose. Je fini par m'endormir sur son doux pellage brun. Je me sens en sécurité pour la première fois depuis la mort de mes parents. Je crois que je viens de me faire un nouvel ami, mais pas un ami comme les autres, un ami qui sera me protéger des réelles dangers, un ami fidèle....

À pas de loupOù les histoires vivent. Découvrez maintenant