Isobel Addams

Chapitre 35

ISOBEL

Avec Mercredi on arrive devant la bibliothèque des Belladones où Bianca nous attend, et une fois qu'on la rejoint on descend les escaliers pour aller à l'intérieur pour aller rejoindre Lucas.

Lucas : j'ai trouvé ça dans l'ordi de mon père. Nous dit-il en me donnant des papiers. J'ai l'impression qu'il essayer de chercher la trace d'une femme. Laurel Gates. Il a commencer son enquête après la Journée du Lien.

Mercredi : il a du la reconnaître ce jour-là.

Lucas : d'après le rapport de la police britanique, Laurel a été présumée noyée, mais son corps n'a jamais été retrouvé.

Moi : apparemment la maison des Gates a été achetée par une vieille héritière il y a un an. Leur dis-je en lisant ce qu'il y a marquer. Héritière qui est mystérieusement morte et qui a laisser tous ses biens à sa soignante, Teresa L. Glau. C'est une anagramme de Laurel Gates.

Bianca : Laurel achète secrètement son ancienne maison et revient à Jericho sous une autre identité. Pourquoi ?

Mercredi : pour ce venger de ceux qu'elle tient responsable des malheurs de sa famille. Donc ton père, dit-elle en regardant Lucas, le médecin légiste, nos parents, et surtout Nevermore.

Bianca : et qu'est-ce que le monstre a avoir avec tous ça ?

Moi : le monstre est un Hyde. Il obéit aux ordres de Laurel. Elle le contrôle.

Lucas : tu sais qui est Laurel, c'est ça ?

Avec ma sœur on se regarde.

Mercredi : à vraie dire on en ai pas sûr.

Car oui avec Mercredi on soupçonne madame Kinbott, mais on peut pas tiré de conclusion tous de suite sans savoir si nôtre théorie est bonne.

...

On arrive au cabinet du docteur Kinbott est on rentre à l'intérieur. Elle nous remarque avant de nous dire.

Madame Kinbott : les filles ? Nous n'avons pas rendez-vous a ce que je sache.

Mercredi : on a quelque chose qui vous appartient. Lui dit-elle en s'approchant des canapés et je fais de même.

Elle fouille dans son sac pour sortir la boîte qu'on avait trouver.

Mercredi : on a trouver ça dans votre ancienne chambre. Lui dit-elle en lui donnant la boîte.

Le docteur Kinbott fronce les sourcils avant d'ouvrir la boîte.

Moi : on sait que vous êtes Laurel Gates et que vous êtes revenue pour vous venger. Et comme le maire le savait aussi, vous l'avez tué. Qui de mieux pour entrer et sortir d'un hôpital en toute discrétion qu'une psychiatre qui rend visite à un patient ?

Docteur Kinbott : me dit pas que vous êtes en train de m'accuser d'avoir tué le maire ?

Moi : les roses que vous avez apportées à Eugene vous ont trahie. On a trouvé les mêmes dans votre chambre.

Docteur Kinbott : en toute honnête, je n'ai aucune idée de ce que vous racontez.

Mercredi : il n'y peut avoir qu'une seule raison pour qu'une psychiatre surqualifiée t'elle que vous s'installe dans un trou perdu comme Jericho. Vous avez eu tous le loisir d'examiner les esprits perturbés des marginaux jusqu'à en trouver un à manipuler pour assouvir votre vengeance.

Docteur Kinbott : vous savez quoi ? Je n'ai pas le temps de m'occuper de vos fantasmes délirants. J'ai une urgence avec un patient. Nous dit-elle en rendant la boîte à ma sœur.

Mercredi : qui ? Xavier ?

Elle se retourne vers nous.

Mercredi : je suis aux courants de vos petites séances secrète dans votre voiture.

Je regarde ma sœur en fronçant les sourcils. De quoi parle-t-elle ?

Mercredi : on a aussi trouver la grotte dans laquelle vous avez libéré son Hyde.

Docteur Kinbott : cette fois, vous avez dépassé les bornes.

Moi : savez vous à quel point les Hydes peuvent être imprévisibles ?

Mercredi : vous comptiez faire interner Xavier avant qu'il se retourne contre vous.

Docteur Kinbott : les filles, vous avez besoin qu'on vous aide, et bien mieux que ce que je peux faire. Dit-elle en sortant son téléphone.

Moi : vous appelez qui ?

Mercredi : Xavier ?

Docteur Kinbott : le juge Reynolds. Je vais recommander que vous soyez placée dans un établissement psychiatrique pour mineur.

Moi : oh, pitié. Une semaine suffirait pour qu'on en prenne le contrôle.

Mercredi pose la boîte sur son bureau.

Mercredi : c'est terminer Laurel.

Puis on s'en va toutes les deux.