PROLOGUE

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11:45 p.m. Chicago, Illinois.
10 ans plus tôt .

Le ciel étais dégagé, il n'y avait aucune étoiles ce soir.

J'étais assise sur la petit table de la terrasse, ma tasse à la main. J'avais préparée un chocolat chaud à moi et à maman, mais celui de maman commençais à refroidir.

- Maman ton chocolat chaud va refroidir ! M'écriais je.

Elle étais entrain de ranger les cadeaux que j'avais reçu pour mes 12ans. J'avais amener quelque cadeaux dans ma chambre, mais il en restait quelque uns toujours au salon.

- J'arrive mi Gran ! ( ma grande ) Me répond elle.

En me retournant, je la vois arriver un grand sourire au visage. Elle tenais dans ses mains, un petit paquet emballé.

- Qu'est ce que c'est mamá ? ( maman ) Lui demandais je intriguer.

Elle me tend le paquet sans dire un mot, je le déballe rapidement et vois une boite de bijoux. En ouvrant la boite je tombe sur un collier en or, avec un petit cœur rouge, ma couleur préférer.

- C'est quoi le truc rouge au milieu, maman ? lui demandais je.

- C'est une pierre qui s'appelle la Cornaline. C'est une pierre de réconfort. Elle peut aussi t'apporter du courage, de la confiance en toi et de la bonne humeur.

Maman s'intéresse souvent au pierre et a leur bien fait sur l'humain. La cornaline étais l'une de ses pierres préférer, et elle me l'avait offert.

Je pris le collier pour lui donner afin quelle me le mettent. En prenant le collier j'aperçois une petite carte d'anniversaire que maman m'avait écrite, je la lirais plus tard.

- Aujourd'hui tu as eu 12ans Renata, tu es une grande fille. Me dit elle tout en déplaçant mes cheveux sur le coter. Tu nous  rend un peu plus fier chaque jour, moi et ton pèr -

Ma mère fut couper pars un coup de feu, tous mes sens s'alerte en seulement quelques secondes, tout se passe extrêmement vite. Ma mère pose rapidement ses deux mains sur mes épaules.

- Écoute bien ce que je vais te dire Renata, tu dois aller te cacher dans le local a outils, il y a un grand placard ou tu rentre parfaitement. Et tu sors seulement quand tu entend ma voix te le dire, n'obéis a personne d'autre. Compris ? Me dit elle tout en essayant de garder son calme.

- Compris. Répondis je d'une voix terrifier.

- Je ne laisserais rien t'arriver, Te amo mi sol. ( je t'aime mon soleil ) Dit elle avant de me serrer dans ses bras le plus fort possible.

- Te amo mas, mamá. ( je t'aime beaucoup, maman ) Rétorquait je d'une voix a peine audible.

Ma mère se relève rapidement avant de m'indiquer du doigt le local. Il n'étais pas tres loin de la terrasse. Je trottine vers le local tout en essayant de faire le moins de bruits possible.

Lorsque je trottinais, un nouveau coup de feu retentit, je fais mine de n'avoir rien entendu et me bouche les oreilles en espérant ne plus rien entendre jusqu'à ce que maman revienne.

J'étais a présent devant le local, j'ouvris le plus doucement possible la porte grinçante, avant de me faufiler a l'intérieur.

Il faisait sombre, alors je place mes mains devant moi pour éviter de me prendre quoi que ce soit en pleine figure.

Toujours les mains devant moi, j'entre en contact avec quelque chose en bois, l'armoire. Je palpe frénétiquement l'armoire en cherchant la poignée, que je trouve assez rapidement.

Je me glisse dans l'armoire le plus silencieusement possible, avant de me recroqueviller sur moi même. Ma tête étais poser sur mes genoux, tandis que mes oreilles étais boucher pars mes mains.

Malgré mes mains sur mes oreilles, je parvenais a entendre tout se qu'il se passait. Je me demandais si maman allait bien, et Papa lui, ou étais il ?

Je fus couper de mes pensée pars un nouveau coup de feu. Cette fois je me laissé envahir pars la peur, des milliers de films se bouscule dans ma tête sur ce qui pourrais se passer a l'intérieur de la maison.

Les mains accrochée au colliers de ma mère, j'essayais en vain de retenir mes sanglots. Je voulais ma maman et mon papa.

Cette fois un nouveau coup de feu retentit, et encore un autre, et un autre.

Trois coups de feu d'affilée, il y avait un mort.

Un jour, j'avais entendu papa expliquer à un monsieur qu'il fallait tirer trois fois pour s'assurer que la personne d'en face soit vraiment morte il faut tirée trois fois.

Le cerveaux, Le Cœur et L'estomac.

Trois coups de feu.

Depuis les trois coups de feu, un silence pesant retentissait dans toutes notre propriété. Avant d'être couper pars des moteur de voiture accompagner de pneu qui grinçait sur le sol, Quelqu'un étais partie.

J'attendais le signal de maman pour sortir. Mais a la place de son signal, j'entend un hurlement. Il étais tellement briser que j'en avais des frissons.

Ce hurlement contentais de la culpabilité, de la tristesse, de la colère, tous y étais mélanger.

Maman Papa venez me chercher,  j'ai peur.

Toujours recroquevillé sur moi même, je tentais de reprendre mon calme. Maman n'étais toujours pas revenue et j'entendais vaguement les sanglots d'un homme dehors.

" C'est une pierre de réconfort, elle peut aussi t'apporter du courage [...] "

Le courage.

Je réuni tous mon courage avant d'ouvrir la porte de l'armoire pour me diriger vers la porte du local.

Maman seras fier de moi quand je lui raconterais que j'ai été courageuse.

Je pousse légèrement la porte du local afin de sortir, au loin j'aperçois un homme a genoux a coter de .. de..

C'était papa qui étais a genoux a coter d'une.. de ..

je m'écroule au sol. J'étais a présent moi aussi a genoux. Je n'arriverais plus a respirer, quelque chose était bloquer en moi.

Mes sanglots reprennes rapidement le dessus, et sans que je puisse me contrôler, je hurle a mon tours.

Je hurlais, je hurlais jusqu'à m'en casser la voix, je laissais tout sortir, jusqu'à en vomir.

Papa relève rapidement sa tête dans ma direction, ses yeux étais rouges. Je ne l'avais jamais vu pleurer au part avant.

Pendant de longues minutes, aucun de nous ne bouge, trop occuper a réaliser ce qui vient de se passer.

Je n'avais pas la force de me lever, et lui non plus. A bout de force, je me laisse tomber sur le coter, recroqueviller sur moi même, je pleurais en silence.

Soudain, j'aperçois d'un œil entre ouvert que mon père se dirige vers moi. Sans dire un mot, il passe un bras sous mes genoux et un autre sous mon cou pour me porter afin de m'amener dans ma chambre, la nuit va être longue.

Lorsqu'on traverse le salon, je pris le temps de tourner la tête en direction de plusieurs balles de pistolet étaler sur le sol. L'une d'entre elle attirait plus mon attention que les autres.

Une balle de Spécial Glock 19 Roland, sur le sol à coter de ma mère.

Les Ruiz.

EL TOPOOù les histoires vivent. Découvrez maintenant