Entends-tu la voix de mon coeur ?
Le cri de mes larmes, les entends-tu ?Parfois j'aimerai pleurer pour que tu le voies
J'aimerai juste crier pour que tu l'entendes
Au début tout était bien
On partageait nos fous rires, nos journées
Puis un beau jour,tu as arrêté de me voir
Un jour tu as arrêté de m'entendre
Un jour tu ne citais plus que mes défauts
Tu passais tes journées à me critiquer
Et moi,sans un mot, j'ai tout encaissé
C'est vrai que j'ai pleuré plus que je ne devais
C'est vrai là je suis chagrinée au plus profond de mon êtreJ'aimerai tant que tout redevienne comme avant,
Comme ma mère
Celle qui me soutenait,m'écoutait et non celle qui m'ignore maintenant
Celle qui savait que j'existais et non celle qui semble aveugle
Celle qui me regardait avec tendresse et non celle dont la lueur des yeux refletent la déception
Maintenant je rêve de cette femme que tu étais
Celle qui ne doutait pas de chacune de mes parolesPourquoi es-tu donc partie de ton propre corps ?
Pourquoi me laisses-tu sans aucun renfort ?
Mère,ma mère je repense à toi
La toi d'avant
Celle qui m'aimais...un peu
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Confessions nocturnes
PoetryPour les âmes frivoles un journal intime,voire une bonne rime ett pour les âmes profondes un cimetière pour la déprime