Chapitre 1

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                                                                 La nuit des coucous

M. Ernandez aimait deux choses plus que toute au monde , les gaufres et les journaux. Les gaufres expliquait sans grand étonnement l'embonpoint dont il souffrais depuis maintenant mainte années et les journaux expliquait pourquoi M. Ernandez était au courant des moindre petite affaires du quartier mais aussi de la grande ville, du pays et du monde entière , si quelqu'un avait quelle que chose a savoir tous savais chez qui il faillais ce rendre M. Ernandez aurait la réponse a tout.

Savoir qui était impliquer dans la dispute entre le maire et ses conseiller, de quelle malfaiteurs devrions nous nous se méfier ,si untel était mort, quelle dirigent avais fait voter quelle loi et a qui elle s'adressais, savoir si dans le quartier quelle qu'un serait intéresser par l'achat d'une bicyclette. En un mot: tous.

C'est donc en ce dimanche 22 octobre par une soirée de claire lune, seul dans sont petit appartement que M. Ernandez lissait le journal du jour parus le matin, il était allez comme a son habitue le chercher vers 7 h30 chez l'épicier qui faisait office de marchant de journaux. Contrairement à la plus par des gens qui lisse leurs journal des son achat ou lors de leur petit déjeuné, M. Ernandez lui le lissais que vers 20 heurs 30 voir 21 heures si il avait déjeuné tardivement.

Arriver a la fin du journal, après deux gaufres mangé et un verre de whisky descendu que M. Ernandez arriva a la page qu'il préférait, celle des mots flécher. Il en était au trois quart lorsque la réponse de la définition qu'il cherchais lui sauta au yeux, il sursauta regarda l'heure vit que dix heures n'était pas encore passer mais qu'il ne lui restais que 15 minute avent que les cloche sonne les dix heures. Il reposa vivent son journal pris son sac qui était dans l'entrer se dépêcha d'enfiler son manteau referma la porte derrière lui puis partit en courant dans la direction de la sortit de la ville.

La nuit était claire il n'y avait pas besoins de torche pour voir son chemin , mais le froid commencés a ce faire ressentir bientôt les manteaux de fourrures serait de retours. Mais M. Ernandez courait il ne sentait pas le froid, se fu lorsqu'il arriva a destination qu'il senti la fraîcheur de la nuit. Avent de franchir le haut portail qui le séparais de destination il regarda autour de lui comme la voulait la tradition, à sa gauche une vielle maison de gardien en ruine était envahi par la végétation. Le petit chemin de gravions qui partait de la petit maison en pierre arrivait en longent le grillage arrivait devant le portail et la droite de ce denier un magnifique chaîne resplendissant ce dressais de tout son être. Le silence qui y régnais était par instant briser par la bruis d'oiseux, mais si on tendais bien l'oreille on pouvais distinguais des bruit de pas sur le gravier. M. Ernandez après se cour instant de méditation se rappela que 10h serais bientôt sonné, il pressa la pas, plus il avançait plus les bruit de pas était plus forts et brisais le silence environnement. Après avoir tourner a gauche puis de nouveau a gauche puis suivit un petit chemin qui zigzaguait entre les arbres il arriva a sa destination.

M. Ernandez ce trouvait sur une petit place entourer d'une petite quinzaine de personne qui se disait tous bonjours en silence au fur et a mesure que les personnes arrivait. A précisément 10 heure un homme tapas dans ces mains trois fois, tout le monde arrêta ces discutions silencieuses pour se retourne vers cette homme.

Le cimetière des cœursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant