Le lundi 23 octobre vers cinq heure du matin un homme d'environ une trentaine d'années se leva comme tous les jours depuis presque 10 ans. Bien sûr, jamais il ne se surpris de penser qu'aujourd'hui serait une journée particulière pour lui, mais aussi pour tout son entourage. C'est ainsi que commença sa journée par des tartines de beurres trempés dans un bol de café.
Vers six heures il se rendit sur le chantier qu'il était entrain de finir lui et son patron été toujours les premiers a arrivé sur place. Un immense immeuble fait de vitre et de briques noir se dressa devant lui, destiner a une grande entreprise de marketing, leurs équipe devait faire la peinture de cette immeuble qui devait être livré dans quelque semaine, c'est pourquoi il n'était plus que deux sur place.
Après avoir enfilé son casque de sécurité pris les outil et pot dont il avait besoin il se rendit au 24 ème étage. Arrivé la haut il eut le sentiment étrange qu'il été observé, se sentiment que l'on éprouve, avec des frissons dans le dos mais aussi dans le thorax, notre instinct nous dit de fuir mais quelque chose nous en empêche ; généralement on regrette de ne pas avoir suivi notre instinct. Plus il avançait dans le couloir sombre, plus Gabin avait non seulement le sentiment qu'il été observé mais en plus que quelqu'un, qui n'était pas son supérieur, était venue plus tôt dans la matinée, or qui peut se trouver sur un chantier à une heure aussi matinale. A l'instant ou il se fit cette réflexion son pied butta dans un pot de peinture fraîchement ouvert, la peinture était en train de s'écouler doucement du pot qui se vidait petite à petit, ses yeux se posa sur une petit table qui avait été posé là, dessus il y avait une tasse de café à moitié remplie, un pinceau recouvert du même bleu du pot de peinture qui s'écoulait maintenant sur les chaussure du peintre. A côté de la tasse de café repose une clé à molette ainsi qu'un carnet laissé à l'abandon, comme si la personne qui avait été la la dernière était partie précipitamment en laissant ses effets personnels sur la table. Lorsqu'il vit le tour de la table et un cri lui déchira les tympans, ce cri na' été d'autre que le sein. Un corps était étendu sur une bâche donc on se servait sur les chantier pour recouvrir les meubles, le corps était presque intacte, tous les membres été en place et dans le bon sens, les dent y été tous les organes aussi, ceci Gabin pouvait le voir car il manquait à la personne sa peau , ce n'est qu'après quelque seconde que Gabin reconnu son chef de travail.
Dans sa tête tout se mit a tourner à une vitesse vertigineuse. Il tomba dans un son sourd.
N'hésitez pas à me faire des retours :)))
VOUS LISEZ
Le cimetière des cœurs
Mistério / SuspenseUne ville ... Des personnes ... Voila comment tous commence, comment commence une course poursuite contre les ténèbres, mais c'est aussi le début d'amitiés, de trahison, d'action ... Mais surtout une remise en question sur soit, sur le monde qui nou...