Coup De Maître

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Le jour J, le jour où le monde va savoir ce que les mots "Assassin, Meurtre, Violence, Sang et Folie" veulent vraiment dire. Je vais montrer toute la haine et toute la souffrance que j'ai, aujourd'hui je vais faire taire tout le monde il n'y aura pas de survivants, plus de village, plus de commissariat, plus rien. Ils croient célébrer une fête mais moi je vais leur faire la fête à ma manière.

Ma première cible est le commissariat, j'ai mis toutes mes armes dans un sac à dos et je ne suis pas déguisée car je veux qu'ils voient le monstre que je suis avant de mourir comme des animaux.

Maintenant c'est partit pour la gendarmerie. Il est à sept kilomètres de mon village.

(15 minutes plus tard.)

C'est bon je suis arrivée, je suis à quelques mètres de leurs bureaux. Je sors mes jumelles et je commence à espionner. Ils sont une vingtaine et il n'y a pas d'étage ce qui va me faciliter la tâche. 5 grenades devront faire l'affaire.

J'avoue je suis en stress mais c'est pas le moment de flancher, aller je me lance.

Je sors une par une les bombes et les lance [ils ne me voient pas car je suis derrière un mur].

BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM !

J'ai lancé les 5 grenades mais je ne vois plus rien à cause de la fumée mais j'entends encore des personnes criées.

-Putain y'en a qui sont pas mortes !
-Rentre dedans et tue ceux qui restent.
-Je vois rien du tout !
-Tir à l'aveuglette jusqu'à ce que t'entends plus rien.
-Protège moi alors.
-Vas-y t'en fais pas.

Je rentre et tire n'importe comment jusqu'à ce que plus personne ne crie.
A mon avis tout le monde est mort.
Je cours vite à ma voiture, la prend et m'en vait à la fête. Whaoo quel chance j'ai eu. Direction le village où je vais en finir avec tous ça.

J'y suis je vois tout le monde danser, rire, chanter. Ils passent du bon temps, je vais leur faire vivre l'enfer sur terre. Dans le poste de police j' avais pris un lance grenades. Je vais l'utiliser et descendre tout le monde. Je suis en hauteur et je peux apercevoir tous les gens. Je charge l'arme, vise et commence à tirer. Quand je tire la première grenade 8 personnes volent avec leurs bras arrachés et je continue à tirer sur des bébés en poucette, les femmes crient et les hommes fuient avec leurs enfants mais je les empêche.

Je lance des cocktails molotof, ils crient de plus en plus fort, ils crient de douleur et je continue à tirer.

Je descends par l'échelle et je vois, en face de moi, une personne en fauteuil roulant, je la regarde de longues secondes, il pleure, il ne bouge pas alors qu'autour de lui des gens sont en feu, le sang gicle de partout. Je m'approche de lui, lui met un coup de pied il tombe, je charge mon flingue et l'exécute. Son sang et sur mon visage. Mais à un moment...

-Attention derrière toi ! Attention !
Je me retourne et reçoit pleins de balles sur le corps, je suis à terre maintenant, je suis morte. C'est ça qu'on ressent quand on reçoit des balles de flingue.

-Je t'avais dis que tu allais mourir.....

L'esprit TorturéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant