Chapitre 1 : présentation

6.8K 24 1
                                    

¡ Attention !
Cette histoire ne convient pas au personnes choquées facilement par des scènes de sex, merci donc de partir ! Merci à ceux qui restent. Bonne lecture !

Ça fait maintenant 3 ans que je suis dans ce collège et que ma collègue Nathalie Gilbert m'excite. Cette excitation grandis de jour en jour et j'ai du coip décider de l'inviter au restaurant avec tout mon courage. Elle était très jeune mais ce n'est pas grave, je peux dire que je l'aime.Au cours du repas, je ne cessais pas de la reluquer, c'était plus fort que moi. Elle portait un top très moulant qui laissait apparaître ses formes avantageuses. Elle n'avait pas de soutien-gorge, et on pouvait très bien discerner ses seins qui remplissaient complètement le pauvre morceau de tissu. Ses tétons pointaient à travers. Quand elle s'est levée pour aller aux toilettes, j'ai été forcé de reluquer son petit cul parfait. Jusqu'au bout de la salle, ses fesses rondes et menues ont roulé dans son jean délavé. Je ne les ai lâchées des yeux qu'au moment où elle a franchi la porte.De retour à la maison, nous avons décidé de regarder une vidéo plutôt que la télévision qui était aussi nulle que d'habitude. Elle a choisi un film dans le meuble télé et me l'a apporté pour me demander mon avis. J'ai été surpris par sa malice (mais pas tant que ça...), elle avait pris un porno ! Je suis quand même resté sans voix. Elle m'a expliqué qu'elle était vierge, mais qu'elle avait besoin de se défouler : « Je ne peux pas étudier tout le temps ! » Nous avons mis le film dans le lecteur et nous nous sommes affalés dans le canapé. Morgane passait autant de temps à visionner le film qu'à me regarder, moi. Je ne savais plus où me fourrer : sur l'écran, une actrice se faisait e le cul en suçant une queue énorme. J'ai voulu détendre l'atmosphère en faisant une blagounette, j'ai pris un air faussement affligé et je lui ai demandé si ça lui plaisait vraiment, la pornographie. « Oh oui !« , s'est-elle exclamée, avant d'ajouter, perverse : « Et toi, ça te fait bander ? » Soufflé par tant d'audace, je n'ai pu qu'acquiescer. Elle s'est approchée encore un peu plus et a discrètement glissé une main dans sa culotte. Ma queue déjà raide comme une baguette de tambour a eu un soubresaut dans mon pantalon. Si Aline nous avait trouvés ainsi ! Elle a alors porté le coup de grâce : « Montre-moi comment tu bandes ! » Elle s'est penchée sur ma braguette. Je lui ai dit qu'on ne pouvait pas faire ça, qu'elle allait trop loin... Mais j'étais déjà trop dur dans mon caleçon pour me montrer plus ferme avec elle ! Elle a répliqué, vaguement vexée, qu'elle en avait marre d'être sage. Sur l'écran, le foutre giclait en tous sens, sur la bouche, les seins et le cul des actrices. Ma nièce s'est agenouillée devant moi, elle a fait glisser mon pantalon et mon slip. Mon érection prodigieuse s'est enfin balancée à l'air libre. Ses yeux ont flashé sur le morceau de chair, et elle a attrapé la queue du Mickey. Sa petite main caressait mon gland avec curiosité, elle investiguait. Puis elle a simplement reproduit ce qu'elle venait de voir dans le film porno. Elle a fait tourner sa langue autour de ma bite. Elle était maladroite, c'était touchant. Je ne pouvais plus résister. Je me suis dit que pour une vierge, elle promettait ! J'ai fini de me déshabiller en enlevant mon polo. J'ai failli jouir dans sa bouche. Elle s'est heureusement arrêtée, parce qu'elle voulait que nous passions aux « choses sérieuses » : elle désirait que je la prenne.Ma tige hors de sa bouche, j'ai récupéré un peu de lucidité et j'ai pu lui répéter que nous ne pouvions pas faire ça. J'étais catégorique, je commençais à remonter mon pantalon. Et là, elle s'est mise à poil pour trancher le débat. Elle était vraiment très belle et elle voulait que je la dépucelle ! Elle a repris ma queue en main, elle disait des cochonneries, elle voulait la sentir en elle. Je voyais son beau petit cul, j'étais en fusion. Nous nous sommes allongés sur une couverture étalée sur le sol. Nous nous sommes embrassés, sa langue fouillait ma bouche. Sa bouche innocente et son attitude juvénile m'électrisaient. Je me suis mis à l'embrasser partout, ses seins délicieux et pleins, son ventre qui sentait si bon, ses fesses ! J'ai mordillé ses tétons avant de me jeter sur sa fente. J'ai léché les grandes lèvres, suçoté le clitoris, puis j'ai lapé sa chatte de pucelle avec soin, enfonçant profondément ma langue. Elle gémissait de plaisir, ondulait du bassin, délicieuse petite salope de nièce ! Dans des hoquets de plus en plus rauques, elle m'a dit que c'était trop bon, qu'il fallait que je la prenne à présent. Elle suppliait presque.

Je suis remonté le long de son corps et me suis retrouvé en missionnaire au-dessus d'elle. Elle a passé ses bras autour de mon cou et m'a regardé dans les yeux. Ma queue a glissé entre ses jambes et a rencontré une petite résistance à l'entrée de la minette. J'ai poussé fort en la retenant par les épaules et en la regardant toujours dans les yeux. Je l'ai pénétrée d'un coup. Elle a grimacé sans se départir d'un vague sourire. Puis, ses yeux ont cligné et elle m'a franchement souri à nouveau. Je lui ai fait l'amour tout doucement après cela. Et environ quinze minutes plus tard, j'ai déchargé une belle livraison laiteuse sur son ventre. Elle en a eu partout sur les seins et dans le cou, comme dans le film ! Je lui ai dit qu'elle m'avait fait un beau
cadeau et je l'ai prise dans mes bras pour l'embrasser à pleine bouche.

Nous avons continué à regarder le porno tous les deux, blottis dans la couverture. Elle était encore curieuse à propos de ma tige, elle me posait des questions en murmurant. Elle la caressait encore un peu... J'ai bientôt rebandé. Prenant toujours exemple sur les actrices, elle a branlé mon membre avec tout le sérieux de l'étudiante studieuse. Puis elle a vu les nanas se faire enculer et elle m'a regardé avec un air qui en voulait encore. « Je veux faire ça aussi« , a-t-elle réclamé avec le même ton ingénu qui m'avait fait craquer plus tôt. Je me suis dit qu'on ne pouvait pas faire bien pire que la situation telle qu'elle était déjà ! Elle s'est mise à quatre pattes et je lui ai vidé un demi-pot de lubrifiant dans le cul. Quand mon gland a touché sa pastille, elle a eu un léger mouvement de recul. Mais j'ai pressé un peu plus fort et ma bite est entrée, progressivement. Je me suis bientôt retrouvé tout entier à l'intérieur. Son trou était humide et chaud, elle prenait son pied, je l'embrassais partout sur la nuque, les oreilles, les épaules. Elle était tournée vers la télé et elle s'empalait à fond sur mon engin. J'ai attrapé ses hanches et je l'ai sodomisée comme un fou. Mes mains remontaient sur ses nichons en pamplemousse. Elle était en transe, dilatée et ouverte. Enfin, dans un ultime élan, j'ai inondé son rectum de ma sève branlante.

Que nous cache les professeurs ♡Où les histoires vivent. Découvrez maintenant