Que nous cache les professeurs ♡

chapitre 3 : les cours particuliers

Je m'appelle Nell 👀 et je suis en classe de terminale. J'ai toujours été attentive en cours une élève et couronnée d'excellentes notes. Les garçons et tout ce qui touche au sexe ne m'avait jamais intéressée contrairement aux autres jeunes de mon âge. Mais ça, c'était avant.

Notre professeur de français monsieur Bou 👀 était un personnage acide. Craint de tous les élèves, ses remarques sarcastiques étaient sa marque de fabrique. J'entends encore sa voix glacée:

"Chloé, en tant que véritable touriste vous auriez pu vous donner la peine d'apporter votre appareil photo."

"Thomas, vous m'étonnerez toujours. Même en ayant touché le fond vous êtes encore capable de creuser."

Grâce à dieu, je n'avais jamais eu droit à ses remarques ironiques. Il était beau, je dois dire. Des yeux bleu foncé, des cheveux de jais et des lunettes constamment vissées sur le nez. Il respirait l'autorité. Je l'admirais pour son intelligence.

Un jour il nous distribua une feuille d'examen destinée à nous classer par niveau. Alors que d'autres se trituraient les méninges et semblaient au bord des larmes, je réussis à m'en sortir et terminai même avant tout le monde. Je me dirigeai donc vers lui. II haussa un sourcil, sceptique. Je me penchai alors sur son bureau, les yeux rivés sur lui, et déposai ma copie.

J'avais envie qu'il me remarque. Il avait la sale habitude de m'ignorer royalement, ce que je détestais. Je voulais qu'il m'apprécie à ma juste valeur. Pendant une fraction de seconde, je vis de la surprise sur son visage, puis ses lèvres se figèrent en un sourire en coin. Il me lança un regard moqueur. C'est là que je compris: en me penchant, j'avais malencontreusement exposé ma poitrine. Ma pruderie fortement ébranlée, je retournai à ma place en rougissant.

Ce soir-là dans mon lit je repensai aux événements de la matinée. Avait-il aimé ce qu'il avait vu? Me prenait-il pour une idiote? Mes parents m'avaient toujours dit de ne pas me donner au premier venu. Et le premier à m'avoir vu de cette façon était mon professeur. Je m'endormis en espérant secrètement qu'il avait aimé cette vision.

Le lendemain, par chance, je n'avais pas cours de Français. J'avais fait un rêve érotique et je n'avais aucune envie de voir l'objet de mes désirs. Alors que je sortais de la bibliothèque, je le croisai dans un couloir. Il me toisa de haut en bas, regarda mes jambes, ma poitrine puis s'arrêta sur mon visage.

"Bonjour, Nell."

Je m'étais sentie déshabillée du regard et j'avais aimé ça. Il m'avait remarquée, enfin!Je pris alors conscience de mes attributs féminins. C'était très excitant.

Quelques jours plus tard il nous rendit nos copies. J'avais été retenue avec deux autres élèves pour assister aux cours de niveau supérieur. La joie me transporta. J'allais enfin passer plus de temps avec lui.

Pour notre première leçon, il nous donna un exercice de type BAC. Nous avions tous un peu de mal et il passait souvent nous voir pour nous corriger. Soudain, il fut derrière moi. Je sentis son torse contre mon dos et mon coeur s'affola. Il se pencha vers moi et je sentis son souffle contre mon cou. Ses mains descendirent le long de mes cuisses et il me susurra:

"Parfait."

Etre ainsi caressée à la barbe des autres élèves était excitant. Je brûlais d'assister au prochain cours.

Lui et moi avions passé une sorte d'accord tacite. Je me débrouillais pour qu'il vienne à moi et nous savourions ces moments interdits. Un jour, il se décida à agir. Il me dit de rester après les autres. J'attendis donc patiemment que les élèves s'en aillent. Il me demanda ensuite de fermer la porte. Je m'exécutai puis m'assis devant lui.

"Nos relations ont dépassé le professionnalisme, Nell."

Je pris un air innocent.

"Je ne vois pas ce que vous voulez dire, professeur."

Ma réponse lui plût. Il me gratifia du petit sourire en coin que j'aimais tant et me dit:

"Mon statut m'empêche évidemment de faire un... mouvement vers vous."

Je fronçai les sourcils, sceptique.

"Je suis sûr que vous comprenez où je veux en venir."

La réponse m'apparut et un sourire éclaira mon visage. C'était moi qui devais commencer.

Je me penchai vers lui et pressai mes lèvres contre les siennes. J'étais trop innocente pour savoir quoi faire. Il me mordilla gentiment le lobe de l'oreille et murmura:

"Tu as vite compris."

Je sentis sa langue contre mes lèvres et je ne tardai pas à le laisser entrer. Il attira ma langue dans un lent ballet et nous ne tardâmes pas à explorer celle de l'autre. Nous nous séparâmes pour reprendre notre souffle. Il déboutonna mon chemisier et ses mains s'activèrent sur ma poitrine. Il me débarrassa de mon soutien-gorge et je me sentis renverser contre le bureau. Je décidai de me laisser guider. J'avais besoin d'acquérir de l'expérience sexuelle.

Je sentis sa langue titiller mes mamelons déjà durs et je rougis. Il enleva ma culotte et je sentis deux de ses doigts plonger en moien même temps que son pouce caressait mon clitoris. Il voulait évidemment me préparer à ce qui allait suivre. Mais j'étais déjà mouillée, tellement mouillée! Au moment où j'allais jouir, il retira sa main. Désappointée, j'allais le supplie de me toucher lorsque je sentis quelque chose d'énorme et de chaud contre mon intimité. Il me pénétra avec force et la douleur me fit crier. Les va-et-vient étaient douloureux mais le plaisir engendré valait bien la peine. Chacun de ses coups de rein envoyaient une décharge électrique le long de ma colonne vertébrale. Les mouvements s'accélérèrent et mes cris s'intensifièrent. Heureusement, la classe était insonorisée. Puis ce fut l'orgasme. Je le sentis se déverser en moi et je criai son nom.

Nous reprîmes notre souffle, puis il se retira. Je me rhabillai tant bien que mal, mais ma culotte n'était d'aucune utilité. Je pouvais toujours sentir nos liquides couler le long de mes jambes.

Depuis ce jour, le francais n'est plus un problème pour moi 👀