Oly, vient d'emménager dans sa nouvelle maison qui ce situe dans un quartier défavorisé.
Car les violences de son beau-père sur elle et sa mère ont été dénoncé.
Seulement ça ne l'empêche pas de continuer.
Oly va apprendre une mauvaise nouvelle qui v...
La personne rentre sans attendre ma permission, je reconnais le tête de ma mère qui m'offre un large sourire en croisant mon regard.
- Comment te sens tu ma chérie, me dit elle en me caressant les cheveux doucement.
J'essaie de parler, mais ma bouche est très sèche mais j'arrive tant bien que mal à chuchoter un « ça va ».
Je suis très fatigué. Une perfusion est à mon bras ma mère me prend dans ces bras et me dit.
- Que c'est il passer? Ton beau-père est en colère, les médecins ont vu les traces de bleus et ont appelé les services sociaux. Un homme est venu te chercher tu vas devoir partir avec lui.
Dans la soirée, j'ai pu sortir ma mère m'a aidé à me laver et m'habiller. Mon beau-père est entré dans la chambre qu'une seul fois, pour me gueuler dessus bien sûre comme à son habitude.
En marchant difficilement vers la porte qui sépare ma chambre et le couloir de l'hôpital, j'appuie sur la poignée en fer et ouvre la porte. Et c'est à se moment là que je vois Fred crier sur cet homme, cet homme que je n'ai pas revue depuis 5ans maintenant. Les larmes prennent le contrôle de mon corp, lorsqu'il pose son regard sur moi. La douleur en bas de mon ventre se réveille, les anti douleurs ne font plus effets, mais je ne fait plus vraiment attention. L'homme marche d'un pas presser en ma direction et me prend dans ses bras.
Il se met à pleurer lui aussi, son gilet par balle de la police m'empêche de le prendre correctement dans mes bras mais c'est pas grave. Il est là. Je pensais, ne plus jamais le revoir après qu'il soit parti de la maison à 15ans, j'avais fait une croix sur lui.
On s'écartent et il me dit:
- Je suis désolé, mais il fallait que je le fasse et maintenant que j'ai réussi à être de la police, je te promets que j'arriverais à enfermer ce connard. Me dit-il avant de me reprendre dans ses bras. Je t'aime.
-moi aussi Aaron...Tu m'a tellement manqué.
Aaron est mon demi-frère, de peau il est métisse assez foncé avec des tresses sur la tête. Nous avons la même mère mais pas le même père le mien était allemand avec des yeux bleu et des cheveux noirs. Le père d'Aaron, est inconnu il l'a abandonné et il n'est jamais revenu, je suis sur qu'Aaron se rappelle de lui mais qu'il ne veut pas l'avouer ou plutôt, il n'a pas envie de s'en rappeler. Mais quoi qu'il en soit on se considère comme de vrais frères et sœurs.
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Coupe de cheveux d'Aaron. (Sauf qu'il est métisse)
Pendant notre long câlin, toute la haine que j'avais envers lui disparaît. C'est comme si un poids s'était envolé. Derrière son épaule j'aperçois ma mère émue. En même temp, qui ne serait pas ému par des retrouvailles entres frères et sœurs...
Après s'être raconté un peu nos vies, il part en patrouille avec ses collègues. Ma mère, est partie à la maison sous l'ordre de mon beau-père. Il signe des papiers à l'accueil et me demande de le suivre. J'accepte sans râler.De toute façon j'ai pas vraiment le choix.
Arriver dehors je vois un homme avec un cuir sur une moto, il as un casque de moto allemand avec des lunettes bizarres et un masque tête de mort. Sur le coup, je panique mais mon beau-père m'ordonne de m'asseoir derrière lui.
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Sur la route, il ne m'adresse pas une seule fois la parole.
Le trajet, a duré trente minutes je dirais mais je n'en suis pas très sûr puisque je n'ai pas ma montre sur moi. Je repense à l'homme de la dernière fois, qui m'avait chuchoter à l'oreille une phrase qui m'avait fortement effrayé.
Nous arrivons devant un portail, derrière celui ci ce trouve plein d'autres motos, des Harley Davidson toutes différentes les une des autres. Cet endroit est désert, personne ne se trouve sur les lieux. L'homme, gare la moto en faisant une marche arrière puis en positionnant sa roue avant sur le côté gauche pour la faire tenir en équilibre.
On allait passer une porte en bois mais il s'arrête de retourne et me dit :
- Il sont à la table, ne les dérange surtout pas et ne rentre en aucun cas. En attendant attend à l'extérieur sur les canapés. Et je sais qu'on n de se connaît pas mais je suis désolé pour toi. Le dit il avec pitié.
Il passe la porte mais je ne le suis pas, trop de choses, se sont passées en si peu de temp et je suis passé par tellement de sentiments, que je suis perdu je prend une grande inspiration et rentre.
A l'intérieur, ce trouve trois personnes sur les canapés, un bar est à ma droite,à ma gauche se trouve un piano à queue. En face, ce trouve une pièce vitré avec des stores fermés, qui font qu'on ne peut pas voir à l'intérieur.
Les trois personnes assises, me regardent intrigués. L'un me fixe par dessus son livre, l'autre avec sa bière et le dernier à détourner ses yeux du mur vers moi.
Je m'assoie gêné a côté d'eux, la moto a réveillé la douleur en bas de mon ventre mais le bandage n'a pas changé de couleur, alors j'en conclus que mes points n'ont pas sauter.
Cela fait maintenant, dit minutes et vingt trois secondes que je fixe cette horloge au fond de la pièce.
Une vingtaine d'homme sorte de la pièce vitrée, tant que la porte est ouverte j'en profite pour jeter un coup d'œil à l'intérieur. Il y a une grande table avec des chaises tout autour. On dirait une salle de réunion.
Les personnes tracent leurs routes à l'extérieur, suivie des personnes qui étaient avec moi sur les canapés. Je ne bouge pas et reste là en piquer, assise seul au milieu de la pièce.
Un homme sort en dernier, c'est celui de la dernière fois qui m'avait chuchoter une phrase qui fait frissonner le dos. Il s'approche et me dit.
- retiens bien qu'ici tu es à moi et personne n'a le droit de te touchée à part moi. Mais tu dois obéir a tous les ordres qu'on te donne.
Je le regarde énervé. Mais pour qui il se prend je le connais pas et il pense contrôler ma vie.
- Mais qui êtes-vous pour me donner des ordres?
Je vois son regard sévère passer en mode énervé, on dirait un robot détraqué.
Il me tire par le bras et marche à une vitesse que je ne peux pas suivre j'ai mal mais il s'en fou. Il me fait rentré dans une chambre et me jette par terre je pleure j'ai affreusement mal. Il s'approche de la porte et ferme la porte. Je me rends compte de ce qu'il ce passe lorsqu'il sort une clé de sa poche et que j'entends le bruit d'une clé dans la serrure.
Il vient de m'enfermer avec lui dans la chambre. ————————————————————
Que va t'il ce passer à présent?
Je suis désolé pour l'attente mais j'écris que lorsque j'ai le temps et l'inspiration.