Prologue

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Poser, à la raquette (c'est comme ça qu'on appelle le bout de la rue qui a la forme d'une raquette). Au quartier de grove street, avec les gars on aperçoit la nouvelle famille qui débarque au quartier, dans l'ancienne maison abandonné à 100 mètres de nous. Un homme et une femme dans la cinquantaine rentre à l'intérieur.
Alors qu'une jeune femme, elle reste devant à observer de notre côté. Puis rentre à son tour.

La nuit tombe rapidement. Certain gars s'entraînent à ce battre, d'autres sont sur les chaises avec leurs yeux plongées dans leurs téléphones. Je fait partie de ceux qui préfèrent ce fumer un join sur les transats à regarder les étoiles. Tout est calme.

D'un coup, un énorme crie retentit et un bruit de vase éclaté contre un mur nous fait sursauter.
Les bruits proviennent de la maison tout juste habiter. On va dire que pour nous ces bruits nous sont familiers.

Mais notre curiosité, prend le dessus après 5min de bordel incessant. On s'approche écouter.
Je regarde la fenêtre de l'étage, la jeune femme nous regarde les larmes aux yeux. Je lui lance un regard inquiet. Mais elle tourne rapidement la tête derrière elle. Avant même, que je comprenne quoi que ce soit, une deuxième silhouette se dessine.
C'est un homme, qui attrape le poignet de la personne qui m'a regardé juste avant et puis disparaît. Un autre cri ce fait entendre, mais cette fois ci il provient d'une autre personne.

Je vois le groupe s'écarter dans le sens inverse.
Je les suit sens dire un mot.

20 min plus tard, tout redevient calme comme si rien ne s'était passer. Tous le monde est parti dormir, sauf moi je réfléchis à cette scène qui m'a semblé familière.

Je me rappelle, des pleures de ma mère et de son dernier souffle dans mes bras remplis de sang.
Ça fait mal d'y repenser, je fini par moi aussi aller me coucher avec un peu de mal.

Frère mais pas gangsterOù les histoires vivent. Découvrez maintenant