Amour, Aime moi, que je te dises oui pour la Vie [TERMINÉE]

Epouse moi ma Star 3 Fin

La porte s'ouvrit brusquement, pas le temps d'allumer les lumières Phruk devait réussir à trouver son chemin, sa femme dans les bras, bouche contre bouche, les langues se liant langoureusement, ne laissant passer que leurs souffles mêlés et les soupirs de voluptés de la jeune femme qui ne lâchait pas le cou de son mari.

- P'Phruk.. soupira t-elle alors qu'il se mit à lui dévorer la gorge.
- Manaow...

L'un comme l'autre semblait complètement possédé par un alter égo qui préférait la luxure de la chaire qu'à la raison. Mais quelle était la raison qui pouvait empêcher ces deux âmes de s'aimer ce soir et pour le reste de leur existence alors qu'ils avaient déjà décidé de vouloir procréer ?

Aucune hormis sans doute de ne pas trop déranger les voisins qui pourraient subir les grincements du lit ou les pieds de ce dernier qui rapperaient le sol au rythme des assauts de Phruk pour faire gémir sa belle et l'emporter dans un autre monde.

- P'Phruk, souffla Manaow alors qu'il la plaquait contre le murs à côté de leur porte de chambre.

Mais que pouvait on dire de plus que des soupirs quand son amoureux et mari se donnait du mal pour ne pas déchirer votre robe qui valait maintenant bien plus cher que votre sac easpak de l'époque ?

Pourtant, pris dans une frénésie, malgré toute la concentration dont il pouvait faire preuve, la robe en souffrit alors qu'il y glissait ses doigts sur la cuisses collée à sa hanche, un bruit de déchirure se fit sombrement entendre.

- Ma... Manaow ! s'écrit-il horrifié.

La jeune femme allait faire la tête, mais contre toute attente, elle ne dit rien, garda la pose et fit passer le vêtement par dessus sa tête pour dévoiler à son mari un corps fin et élancé aux formes tentatrices qui lui durcir le corps au point qu'il en avait du mal à respirer.

- Ma...
- Tout va bien, le rassura t-elle en souriant.

Elle déposa un baiser aussi léger que la caresse d'une plume sur les lèvres, le regard brûlant elle n'en avait que faire sur le moment bien qu'elle-même savait que ça allait lui faire de la peine le lendemain, mais celle-ci n'avait pas besoin d'être rendue à l'agence ni à une marque quelconque, c'était une des robes qu'elle avait pu s'offrir avec son premier salaire et elle la rafistolerait en fonction des dégâts.

Il lui fit face quelques peu confus, mais c'est en la voyant si aguicheuse, si heureuse qu'il s'interdit de rester sur cet échec et de reprendre là où il s'était arrêté.

Sa bouche posséda celle de sa femme qui poussa un gémissement heureux, excitant le cœur de Phruk. Il ouvrit la porte à côté d'eux et la poussa pour avoir accès à leur chambre sans avoir besoin de se séparer d'elle, mais Manaow avait une toute autre idée que lui de ce qui allait les attendre.

Elle échappa à sa prise et l'attira à sa suite à l'intérieur et le poussa vers le lit. Il la regarda ébêté. Manaow l'admira ainsi offert à elle comme la meilleure des pièces de poulets frit qu'elle pouvait s'offrir dans son resto préféré. Envieuse, elle se pencha au dessus de lui et commença à déboutonner sa chemise qu'elle ouvrit d'un coup sec pour venir caresser ce torse lisse et sculpté contre lequel elle adorait venir se blottir tant pour sa formation que pour sa chaleur et ce côté rassurant et protecteur qu'il renvoyait. Elle posa sa bouche dessus, l'entendant gronder et souffler, comme si il se retenait de respirer pendant qu'elle le dégustait avec autant d'attention qu'il en avait eu pour sa robe quelques instants plus tôt. Elle passa sa bouche sur sa gorge, sa langue sur sa poitrine, ses mains sur ses hanches jusqu'à atteindre la boucle de sa ceinture et de la lui retirer.