Chapitre Sept

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Après avoir passé plus de deux heures de recherches, nous tombons sur une petite maisonnette suffisamment stable.

Les pièces sont chacune assez petite mais au moins, l'électricité et l'eau fonctionnent.

Les murs en pierres ont l'air solide et au vue de la poussières et des objets oublier, nous constatons que ses anciens habitants sont partis sans même retourner en arrière.

Je mets mon sac dans l'unique chambre de la maisonnette.

Un détail me perturbe.

Le lit n'est pas poussiéreux, il est même propre.

Les draps sentent bon comme si quelqu'un les avais laver il y a quelques jours.

- Ivy ! Me cri Ceron.

Je cours dans sa direction ma dague à la main.

Il me montre du doigt un repas tout près qui n'attend qu'à être dévoré.

Le pain des sandwichs est frais.

Quelqu'un est dans cette maison.

Ceron comprends ce qu'il se passe et commence à chercher.

J'aurai pu penser que cette maison serait habité par un citoyen mais la dague poser sur la commode me persuade du contraire.

Les citoyens n'ont pas le droit d'avoir d'armes sur eux ou chez eux bien que cela serait naturelle d'en posséder étant donner le danger que court dans les rues de la ville.

Si c'est un citoyen et qu'il a une arme, il ne peut l'avoir eu qu'à un seul endroit.

Le clan des Iris.

Je me précipite dans la chambre et fouille dans les moindres recoins.

Il y a sûrement un indice qui pourrait nous en apprendre plus sur celui qui habite ici.

J'ouvre une armoire et y trouve des vêtements d'homme.

Soudain, sur l'un des vêtements, je distingue du sang séché.

Je regarde sur l'étagère du dessous et y trouve une cagoule noir.

Merde.

Nous sommes chez un membre du clan des Iris.

Les cagoules noir sont interdit par les Ambassadeurs puisque cela représente un des clan clandestin, tout comme les masque et les foulards.

Je remets la cagoule où je l'ai trouver et me précipite à la recherche de Ceron.

Je le trouve dans la cuisine. Il regard l'évier.

Je m'approche doucement comme si une bête allait nous jaillir dessus.

Mon sang se glace au moment où j'aperçois ce qu'il se trouve dans l'évier.

Du sang sortant du tissus d'une cagoule noir.

Ceron me regard paniqué.

Brusquement, le bruit de la porte résonne dans nos oreilles.

Si nous nous faisons repérer, je suis certaine qu'il nous tuera pour avoir vue plus que ce que nous devons savoir.

Les pas semblent se guider vers le salon, là où le repas attends d'être déguster.

Je regard Ceron et il comprends aussitôt.

Je dois récupérer mon sac avant de partir. Nous sortons de cuisine aussi discrètement que possible.

Ceron commence à partir vers la chambre.

Les Ambassadeurs Sans RègneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant