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𝑨𝒍𝒍𝒊𝒔𝒐𝒏 :

J'étais dans une sorte d'entrepôt, attaché sur une chaise métallique. Je venais à peine de me réveiller donc je comprenais rien de ce qui se passait. J'ai levé la tête pour voir ce qui était autour de moi. Mais rien à part un monsieur qui était lui aussi attaché à côté de moi à une chaise, je suppose que lui aussi a été sommé. Il portait les vêtements que mon père avait sur lui le soir de son arrestation.

Un homme grand et fort à ouvert la grande porte qui faisait un bruit aiguë et s'est approché de nous.

- alors la petite est réveillée mais pas le vieux, en lui jettent de l'eau sur la figure. Et le monsieur a levé la tête et a commencé à tousser.

Moi je ne faisait que regarder, je ne pouvais rien faire. Le monsieur s'est tourné vers moi, attend what? Mais c'est mon père. Il était vieux couvert de barbes, et des cheveux blancs. Je ne pouvais m'empêcher de sangloter.

- papa?! C'est toi? Pleure

- ma fille! Allison ! En pleurant lui aussi. Je suis désolé, désolée pour tout, j'aurais tellement aimé que ça se passe autrement, désolée de ne pas avoir été le père que tu mérites, désolée de t'avoir abandonné,  désolée pour tout.

Moi je ne faisait que pleurer, que pouvais-je faire d'autre ? Mes pieds ont été attaché et mes mains ont été aussi attaché derrière la chaise, que pouvais-je faire? Je voulais tellement le prendre dans mes bras mais je ne pouvais guère bouger.

Ensuite l'homme a crié.

- assez! Cria t-il, je commence par qui ?! En braquent un flingue sur mon père,  par toi au la petite.

- écoute on peux en discuter, mais laissez ma fille en dehors de ça,  s'il vous plaît. Bredouilla mon père en pleurant, moi je ne faisais que pleurer aussi.

C'est alors que l'homme pointa son arme sur moi.

- ou alors je peux commencer par elle, comme ça tu verras ta fille mourir et ensuite je vais m'occuper de toi. Il l'a dit avec un air sadique, ça se voyais qu'il était sans cœur. Tu sais Parker ? Faut qu'on en finisse au plus vite. On aurait dit un homme perturbé, comme si il avait perdu la raison.

Après ces mots il braqua le flingue à nouveau entre les deux yeux de mon père. Je le voyais appuyer la détente petit à petit c'est alors que je commença à crier.

- NOOOON ! LAISSEZ MON PÈRE TRANQUILLE !?

- Je suis désolée Allison,  sache que je t'aime.

𝑻𝒖 𝑬𝒔 𝑨̀ 𝑴𝒐𝒊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant