Destiel in the Heaven

The decision

Ce chapitre est un peux plus long que le précédent. 

Good reading ! :3

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POV Dean :

Je resta la pendant plusieurs heures contemplant la vu. Elle est magnifique ces reflets dans l'eau, rien de plus reposant et décontractant quand on est près à tout faire. A tout avoir et penser. Assis ici, devant ce lac. Ce n'est plus la lumière de la lune qui l'éclaire mais le levé de soleil. Je n'ai fermé l'œil de la nuit. J'avais peur, mais de quoi ? Je ne saurais répondre mais j'étais effrayé. En tailleur je resta encore assis sur cette nappe rouge. Mon battement était calme. J'avais réfléchis pendant toute la nuit. Mais je ne saurais encore pas trouver de réponse. Car je ne sais pas si ce que je fais est bien, depuis ce jours là je n'arrive à rien faire.

Il me manque ? Non certainement pas, vous savez pourquoi ? Car se mot est trop faible pour décrire se que je ressens depuis... Depuis vous savez quoi. Je ne me décris plus comme fragile d'avoir rien fais et de chialer comme une pure merde, non, je me décris comme inhumain.

Inhumain car je n'ai rien fais pour le sauver car je me disais à chaque fois que ça allait servir à rien et que j'allais encore plus être meurtris de l'intérieur. Mais c'est la où est le problème je me suis refermé sur moi même, je n'ai rien essayer alors que... Putain j'arrive même pas à le dire... Je... Je... Je-

- JE L'AIME PUTAIN ! JE T'AIME TELLEMENT MERDE! Je... Je t'aime-...

Et voilà c'est dis, même si j'en étais sur, enfin je crois, je ne l'aurais jamais dis à haute voix, Pourquoi ? Ma fierté de merde, c'est ça. Quel con je suis...

Et voilà que je m'effondre encore une fois, pourquoi... Pourquoi moi je vous le demande. J'en peux plus. Je me recroquevilla et repris dans mes bras fermement ma veste avec cette trace. Je la caressa et renifla. Avoir cette veste près de moi me fais un grand bien mais aussi une destruction immédiate dans mon esprit qui me rappela toute ces années passer ensemble dans le silence de nos émotions la plus total. La brise fit venu entour de moi, je n'étais vêtu que d'un T-shirt de d'une chemise en flanelle comme haut. Il n'y avait que cette veste dans mon champ de vision. Je décida de la mettre.

En la mettant, je me sentis comme libéré mais, un part de moi me dis de l'enlever car je pourrais la détruire. Détruire, comme si, si je la mettais toute la confession n'avais servis à rien et que je remettais une simple veste sans histoire derrière.

Alors que c'est faux, bien sur. Je le sais mieux que personne. Mais elle était quand même sur mes épaules...

Je respira l'air qui pour moi n'en ait pas une et souffla fortement, ferma les yeux et les rouvris quelques secondes plus tard se qui me suffis pour me calmer et apercevoir son visage encore une fois dans mon esprit.

- Je devra « vivre » avec... Hein ? C'est encore une fois logique. Très logique... Tout le monde à le droit d'avoir son paradis, alors pourquoi moi je ne me sens pas libre... J'ai besoin de toi Buddy.

Les rayons du soleil me frappa en plein visage, mes yeux se rétractèrent à cause de ceci. Mes cheveux deviennent d'un blond éclatant et mes taches de rousseurs deviennent de plus en plus visible au vu de la lumière qui se dresse sur mon visage.

Le soleil était donc levé, je ne sauvais quoi faire. Je devais rejoindre ma famille et faire comme si de rien était ? Ou... Je ne sais pas vivre seul. Il y a du pour et du contre. Je ne sais pas comment ma famille va m'accueillir... Pas après se que j'avais dit.

Je décida donc de rester encore seul pendant quelques temps, le temps de réfléchir, me poser certaines questions et... J'en sais rien... L'oublier ? C'est la seule solution après tout. Si je ne veux plus sangloter et être en rage quand j'entends son prénom ou même quand il apparaît dans mon esprit. Je ne veux plus penser à lui. Ça me fait trop mal. Un mal de chien.