Comme elle

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😌🔞 TRIO 🔞😌

Chap. 8
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Je me gare et je l'appelle au téléphone. Elle décroche à la 5ème sonnerie.

Moi : Allo. Je suis là
Géraldine :  Ok j'arrive

Je raccroche et je patiente. Je stresse un peu mais je me détends. Je regarde la rue, les gens et les voitures qui passent. Les minutes passent pendant que je l'attends. Je la cherche du regard, essayant de voir d'où elle viendra. Je ne la vois pas jusqu'à ce que la portière côté passager à l'avant s'ouvre brusquement. Je tourne la tête et je la vois monter directement. Elle est belle et souriante.  

Moi : Salut
Géraldine : Salut

Je me penche directement vers elle pour lui faire la bise. Elle me tend sa joue. J'en profite pour humer son parfum qui chatouille mes narines dès qu'elle s'installé dans la voiture après avoir fermé la portière. Je recul et la regarde de haut en bas. Elle a toujours ses longs rastas comme lors de notre rencontre il y a 3 jours. Elle est vêtue d'une robe noire débardeur. La robe lui colle au corps comme une seconde peau. La couleur sobre de sa robe contraste avec le teint claire jaune de sa peau de fille métisse.

S'arrêtant en bas au-dessus de ses genoux, en plus d'être moulante, sa robe est fendue sur le côté de sa cuisse gauche à moitié découverte devant mes yeux. Elle a une petite chainette fine au tour du cou avec un joli pendentif au-dessus de ses seins, gros et volumineux. Ces lolos sont bien emballés dans la robe qui soutien sa poitrine forte. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Ce qui n'est pas pour me déplaire.

Je baisse les yeux pour jeter un coup d'œil sur ses pieds. Je vois qu'elle porte une paire de sandale noire à talon assorti à sa robe. Elle a une jolie petite montre métallique pour femme au poignée de sa main gauche posée sur un petit sac à main placé sur ses cuisses. Je lève les yeux pour revenir sur son visage souriant.

Moi : Tu vas bien ?
Géraldine : Oui. Et toi ?
Moi : Je pète la forme
Géraldine : C'est bien
Moi : Comment va Mélissa ?
Géraldine : Elle va bien. Elle te salue
Moi : Ok. On y va
Géraldine : Oui

Je boucle ma ceinture de sécurité. Elle fait de même. Je démarre et roule en direction de chez moi. Le trajet se fait en silence. J'ai obtenu un rendez-vous avec Géraldine. Mélissa n'est pas de la partie. Mais elle aurait pu venir si elle le voulait. En moins de 15 minutes, j'arrive dans mon quartier. Je me gare et annonce à Géraldine qu'on descend ici. Elle opine et descend de la voiture avec moi. J'ouvre la marche et Géraldine me suit de près. On arrive assez vite devant la porte de mon appart vu que je n'habite pas loin de la route.

Je loge dans une grande chambre américaine en dur, à l'extérieure, à côté de la maison du proprio dans un terrain clôturé. J'ouvre la porte. J'entre le premier et je me tourne vers Géraldine. Géraldine me sourit en entrant. Elle reste près de la porte et regarde à l'intérieur de chez moi avec un air curieux. Il y a dans la pièce un grand lit de 2 places, un split, un dressing, une petite salle de douche-WC, un grand frigo, un meuble TV avec une télé plasma 52 pouces, un canapé et une petite table bas. Bref !

Je ferme doucement la porte derrière elle. Je m'approche d'elle. Je me penche et colle brusquement mes lèvres sur les siennes en attrapant sa tête entre mes mains. L'attaque était directe, préméditée, et calculée d'avance. Ce que Géraldine n'avait vu venir. Elle se fige et a un mouvement de recul au contact de ma bouche sur la sienne. Je tiens bien sa tête en l'embrassant sur la bouche. Elle finit par se laisser faire. Je l'embrase mais je n'abuse pas non plus malgré mon envie d'en faire plus et aller plus loin.

Le baiser dure quelques secondes avant que j'y mets fin en mordant légèrement sa lèvre inférieure que je tire un peu en reculant ma tête avant de lâcher la lèvre pour décoller ma bouche de la sienne. Je plonge mon regard dans le sien en souriant. Elle pince ses lèvres et soutient mon regard face au mien en me souriant. On fixe face à face. Je sens la tension montée entre nous. Géraldine me regarde en souriant. Son regard me dit qu'elle attend que je décide de ce qu'on va faire à présent. Je sais à l'instant que je peux la sauter s si je veux. Mais je ne suis pas pressé.

LE TRIO Où les histoires vivent. Découvrez maintenant