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ton pavillon jaune qui ne se différenciait pas de tous les autres. dans ce quartier familial qui se vidait en été. les rues étaient presques désertes. à travers la moustiquaire, on entendait ton vieux poste radio. bleu et tout grésillant.

(joue une chanson populaire
entendue trop souvent)

j'ai à peine entendu mes doigts, taper doucement le vieux bois. le bruit de tes pas, étouffés par le parquet. et le son de la chaînette qui tinte contre tes ongles.

on brûleraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant