Texte n°7: Le dégoût

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On m'avait dit qu'il fallait apprécier la simplicité ou plutôt se contenter de ce que l'on avait. Mais là, je restais muet, incapable de réagir. Je ne voyais qu'une masse difforme, obstruée par des couches de graisses flasques. Les plis venaient rajouter à sa silhouette disgracieuse cette aspect déformé. Je dirais que c'était d'une répugnance inadmissible. Sa gorge, chastement couverte autrefois était devenu un refuge dépravé, et le logis de canailles inassouvis.

Cette chaire luisante semblait tartiner de beurre. En soulevant cette partie de l'iceberg, on distinguait enfin la partie submergé. Deux gros poteaux de chaire vous faisait face, s'enlaçant confusément puis deux pieds se balançaient mollement. Je restais là à contempler l'erreur de la nature.

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