Que se serait-il passé si Voldemort avait réussi à posséder le bébé Albus Severus Potter ? C'est la question que pose ce recueil de drabbles sombres et intrigants.
Chaque drabble explore une facette différente de la vie d'Albus, depuis sa naissance...
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Albus Potter, possédé par Voldemort, se trouvait seul dans la salle commune de Serpentard. Il avait besoin de parler à quelqu'un, mais il ne voulait pas risquer de révéler sa véritable identité. C'est alors qu'il se tourna vers le portrait de l'ancien directeur de Serpentard, Severus Rogue.
"Bonjour, monsieur Rogue", dit Albus en s'inclinant devant le portrait. "Je me demandais si vous aviez quelques instants pour discuter avec moi."
Le portrait sembla surpris de voir Albus, mais il finit par répondre : "Bien sûr, mon garçon. De quoi voulez-vous parler ?"
Albus prit une profonde inspiration avant de répondre : "Je suis en train de traverser une période difficile. J'ai l'impression que personne ne me comprend. Même mes amis ne me comprennent pas."
"Mmm, je vois", fit le portrait en inclinant la tête. "Vous vous sentez seul et incompris. C'est une situation difficile à vivre, surtout à votre âge."
Albus hocha la tête. "Et puis, il y a ce mage noir qui réside dans mon corps. Il est constamment en train de me dire quoi faire, de prendre le contrôle de mon corps. Je ne sais plus quoi faire."
"Mmm, ça n'a pas l'air facile", répondit le portrait. "Le mage noir, je présume que vous parlez de Voldemort. Je l'ai connu, vous savez. J'ai travaillé en tant qu'espion pour lui. C'était un homme impitoyable, obsédé par la magie noire et désirant devenir le maître du monde. "
Albus écoutait attentivement. Il avait souvent entendu parler de Voldemort, mais jamais de cette manière. "Et vous pensez que je devrais faire quoi ?" demanda-t-il.
"Je pense que vous devriez faire ce qui est juste, peu importe les circonstances", répondit le portrait. "Et je sais que vous en êtes capable, Albus. Vous êtes un Serpentard, mais vous avez le courage et la détermination d'un Gryffondor. Ne laissez pas Voldemort vous définir. Vous êtes plus fort que lui."
Albus sourit faiblement. Les paroles de Rogue semblaient résonner en lui d'une manière qu'il ne pouvait expliquer. "Merci, monsieur Rogue. Vous avez raison. Je ne laisserai pas Voldemort me définir."
Il se leva et s'inclina devant le portrait avant de partir. Il se sentait plus léger, comme s'il avait trouvé un allié inattendu dans cette bataille contre Voldemort.
