Nouvelle annee, nouvelle vie

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Vicky

Je n'arrive pas ouvrir les yeux. J'ai l'impression que mon corp pèse une tonne. Mais j'arrive à entendre des voix. Des voix masculines que je n'arrive pas à reconnaître.

- Alors, ses signes vitaux sont bons ?

Un homme.

- Oui. Normalent, elle ne devrait pas tarder à se reveiller.

Non. Deux hommes parlent dans la pièce où je me trouve.

- Tu ne trouve pas ça bizzard comme même ? C'est la seule ici depuis des années !

- Je sais pas. Elle doit avoir un talent spécial je suppose.

Hein ? Je comprends pas tout ce qu'ils disent. Ça y est, j'arrive à ouvrir les yeux. Une salle blanche et beaucoup de lumières. Trop même, ça me fait mal aux yeux.

- Oh vous deux ! Je suis où là ?, dis-je alors que je me redressais sur le rebord du lit sur lequel j'étais en train de dormir.

Ils me regardent. C'est flippant, j'ai l'impression d'avoir dit un truc qui fallait pas.

- Ah ! Tu es enfin réveillée. Tu as mal quelque part ?, me demanda l'homme qui porte une blouse blanche.

Je suppose que c'est un médecin ou quelque chose du genre. Et l'autre homme porte un costard. C'est sûrement un homme d'affaire.

- Vous rigolez j'espère ? Je me réveille dans une salle toute blanche après mettre fait attaquer dans mon jardin par une bande de mecs pas nettes. Et vous, vous me demandez si j'ai mal quelque part ?, j'ai une voix complètement vide. Aucunes émotions ne se reflètent dans ma voix. Même si je suis encore un peux chouttée physiquement, mon cerveau est complètement remis sur pied et je me dis qu'il vaut mieu que je cache mon appréhension.

- Je sais, c'est moi qui leurs ai demandé d'aller te chercher. Ils sont en première, je trouve qu'il ne se sont pas trop mal débrouiller alors que 1 heure avant ils étaient encore entrain de papoter dans les dortoirs. Tu en dis quoi ?, l'homme en costard me paraît vraiment trop bizzard. Note à moi-même, me méfiez de celui-là.

- Ça passe. Mais je pense que le somnifère pour éléphant n'était peut-être pas nécessaire. Sinon, il va falloir faire quelque chose pour l'un d'entre-eux, je lui ai cassé les deux bras., dis-je. Peut-être faudrait-il que j'ai un peu de surprise ou quelque chose du genre dans ma voix parce que là, j'ai vraiment l'air blasé alors que je viens de me faire kidnapper. Oh, j'ai la flemme. Je verrais après.

- Oui. D'ailleurs, tu aurais pu y aller plus doucement avec eux. Ils sont rentrés complètement dépités. Au début, ils n'étaient pas censer utiliser le somnifère.,me dit l'homme en costard. Ils ne devaient l'utiliser que si ils n'avaient plus aucuns choix pour réussir leurs mission.

Ah. Donc c'était leur dernière solution.

- Bon, je propose qu'on rentre dans le vif du sujet tout de suite. Alors, quel est votre nom ?, lui demandais-je.

- Je m'appelle Léonardo Bakila. Et toi, tu es Victoria Pruemme ?

- Exacte. Deuxième question, où sommes-nous ?, continuais-je.

Assassination High SchoolOù les histoires vivent. Découvrez maintenant