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査照 || checkup

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LA CHAMBRE ABYSSALE DANS SON ESPRIT ÉTAIT PLEINE DE VIDE ; il fait nuit noire comme si la lumière refusait de se raviver

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LA CHAMBRE ABYSSALE DANS SON ESPRIT ÉTAIT PLEINE DE VIDE ; il fait nuit noire comme si la lumière refusait de se raviver.

Le vide engloutit ses pensées variantes, pas avant que la séquence inquiétante n'ait été brutalement interrompue par une sonnerie proéminente. La quiétude régnait toujours, cependant, elle regarde maintenant son plafond. Il s'avère que c'est son alarme qui l'a sortie de son hibernation.

"Euhhhh." elle enfouit profondément son visage dans l'oreiller moelleux, gémissant de protestation.

Se retournant groggy pour atteindre son téléphone sur la table de chevet, elle l'alluma et ouvrit un œil, plissant les yeux comme elle le faisait à cause de la lumière vive. Bien que son inertie de sommeil ait soudainement disparu lorsqu'elle a vérifié l'heure.

Il est déjà six heures vingt-quatre du soir. Son rendez-vous de contrôle régulier commence à sept heures.

"Merde." siffla-t-elle, jetant la couverture alors qu'elle se levait complètement.

Chifuyu avait insisté pour l'escorter de peur de la revoir à l'hôpital, faible et tout. Peu importe combien elle a refusé, le garçon n'a pas changé d'avis.

S'il est déjà traumatisé par ça, que se passera-t-il de plus s'il apprend que ce n'est pas un suivi de sa récente surdose ? Au lieu de cela, c'est son bilan de santé régulier car on lui avait déjà diagnostiqué une maladie cardiaque mortelle il y a un an.

L'étreinte agréable du sommeil s'était renversée, et ainsi l'eau froide de la douche réveilla sa peau. Après cela, elle a porté des vêtements décents avec son masque facial, puis a lissé ses mèches [h/c].

Elle descendit les escaliers, seulement pour s'arrêter quand elle passa devant le salon. Là étaient assis des hommes d'affaires amusés, ou les sponsors de [mère] pour son entreprise, s'accrochant à elle comme un billet de sangsues. Bien que cela ne l'ait pas du tout déconcertée, après tout, ils sont aussi comme sa mère.

Si elle avait bien entendu, ils voulaient utiliser son image dans un magazine et un bulletin. Beaucoup auraient été trompés, pensant que sa mère était simplement fière et voulait que le visage de sa fille soit en première page, alors qu'en réalité, elle voulait seulement attirer les clients en utilisant la renommée de [nom] pour gagner plus de profit.

𝙛𝙚𝙖𝙩𝙪𝙧𝙚𝙙 | 𝘤. 𝘮𝘢𝘵𝘴𝘶𝘯𝘰 (traduction Fr.)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant