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UNE MYRIADE DE PARFUMS DE LIVRES CIRCULAIENT AUTOUR DE LA BIBLIOTHÈQUE. La chaleur de la demeure se flétrit lentement ce soir, mais se détendait, à tout le moins.
Un doigt souple a gratté la surface du papier, son index et son pouce pêchant sous la page actuelle pour se tourner vers une autre.
Sa tête s'est inclinée et s'est reposée sur sa paume gauche. Chifuyu lisait tranquillement un manga qu'il a emprunté et le faisait depuis deux heures.
Les yeux ont commencé à devenir plus lourds ; sa tête s'est drée. Les dialogues dessinés sur la page ont volé à travers son cerveau, n'absorbant même pas ce qu'il venait de lire.
Se prélassant dans la somnolence, il s'est rendu à la tentation du sommeil. Cligner la fatigue n'était plus un remède, de sorte que sa conscience a progressivement glissé.
"Hé." un murmure l'a sorti de son sommeil.
Les iris azure sont apparus alors qu'il ouvrait les yeux. Le manga a été laissé ouvert à la page deux cent vingt-quatre. Une page déchirée froissée s'est allongée à côté d'une poubelle. Un livre d'une étagère adjacente à lui est mal aligné. Du sang s'est taché sur son pouce à partir d'une coupure de papier.
Tout le reste est resté le même, à l'exception de la chute de température et des lumières qui sont toutes éteintes.
« Combien de temps ai-je dormi... ? » Il a murmuré sous son souffle, assez pour que l'étrangère n'entende pas.
« Êtes-vous le commerçant ? » L'étrangère a demandé, le faisant se composer alors qu'il tournait son attention vers elle.
Elle porte un masque facial noir ; peut-être est-elle malade ?
« Oh, je ne le suis pas. »
«... Quoi ? » Était-ce de la confusion ? Une surprise ? Il n'est pas sûr, mais il savait qu'un sentiment de panique traçait sa parole.
« Hm ? » Il a incliné la tête dans la confusion. « As-tu besoin de quelque chose ? »
Soupirant lourdement alors que la frustration devenait encore plus évidente, elle a supplié. « Tu as un téléphone ? »
