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拘禁 || detention
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UNE PERTURNATION COQUILLÉE IMPRÉGNÉE EN ELLE. Des coups de clous successifs sur la couverture du livre déployèrent son agitation.
Le malaise régnait une fois de plus, filtrant la discussion de son professeur en de simples bruits étouffés. Des pensées pessimistes l'ont possédée jusqu'à aujourd'hui, jour d'école.
Le nom de Chifuyu était dans toutes les bouches, échangeant des tas d'insultes et de rumeurs autour du campus actif. Il a dépassé le sujet de l'école que même le conseil s'est mêlé aux commérages.
Le nombre d'articles de presse rhétoriques avait été cloné plusieurs fois en quelques jours, grâce aux journalistes rapides. Mais ces accusations à son encontre n'étaient que totalement biaisées.
Quelque part derrière un écran, quelqu'un se cache et tape de fausses nouvelles jusqu'à ce que, malheureusement, il soit capable de retourner le mot entier contre Matsuno avec seulement quelques mots.
Qui était-ce? Non, plutôt, quelle était leur principale motivation ?
C'est drôle comme ils ont tous facilement destitué Matsuno d'un adolescent volatil et violent qui ne mérite aucune gentillesse de [alias]. Pourtant, à cette époque, sa vie a vacillé, s'est transformée en un être si fragile à cause de [ma mère] et de Shion, personne n'était là pour devenir son avocat.
Plus tard, [nom] prévoit de contacter son manager, de lui demander d'utiliser son compte et de tweeter sur les réseaux sociaux que la situation actuelle est une idée fausse. Chifuyu n'avait rien fait d'autre que l'aider de l'agresseur.
La tension montait comme si elle était une proie. C'était principalement parce que Chifuyu l'avait ignorée et évitée toute la journée. Même Baji ne prononçait pas un mot – peut-être que son meilleur ami le lui avait déjà dit.
Le capitaine et le vice-capitaine de Toman étaient situés sur la rangée derrière elle. Les yeux de [e/c] voyageaient rapidement, jetant un coup d'œil en arrière.
Elle établit un contact visuel avec Chifuyu qui la fixait déjà, ses yeux loin d'être doux. On dirait qu'il tournait un stylo autour de ses doigts, ne prêtant clairement pas attention à la classe non plus.
