Et pourquoi pas?

Chapitre 4

Je lui donna a boire et m'empressa prendre une douche.

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J'étais enfin prête, j'étais vêtu d'un simple jean et d'un top blanc.

Je sortis donc de la salle de bain, Pablo n'étais plus dans la cuisine, j'eu peur qu'il soit parti, mais je le trouva en train de regarder des photos de moi, plus précisément les miennes au camp nou quand jetais encore petite accompagné par mon père:

Pablo: T'étais mignonne avant ?

Moi: Parce que je le suis plus maintenant ?

Mais mettez moi du scotch sur ma bouche.

Il me souris avec son visage rouge tomate, honnêtement je pense que le mien aussi aller rougir.

Moi: Bon on y vas?

Pablo: Oui - dit il en ricanant

On sorti de mon appartement et on parti en direction de sa voiture.

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Pablo: Alors tu veux commencer par quoi?

Moi: Hm, je sais pas, toi décide.

Pablo: On commence doucement si tu veux, on fait tout ce qui est carabine, chamboule tout.

Moi: Oui ça peut être sympa!

Pablo mît sa capuche, ses lunettes, et un masque.

Moi: Dur la vie de célébrités - dis je en riant

Pablo: Non c'est pas pour sa c'est pour qu'aucune meuf ne m'approche, je veux pas te rendre jalouse. -dit il en ricanant

Je lui tapa sur l'épaule en signe de réponse.

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Moi: Vise aller! Je la veux ma peluche bleu!

Pablo: Je te promet c'est grave dur - dit il en tenant son fusil.

Moi: T'es footballeur c'est pas la précision qui te manque.

Pablo: T'es drôle toi - dit il en tirant.

Moi: Youpiiii!

Pablo avait enfin réussi !

Pablo: Tiens prend la, mais rappelle toi je l'ai gagné à la sueur de mon front.

Moi: Ahahahah pas de soucis.

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C'était une soirée incroyable, je n'ai fait que de rire! Le faite que Pablo ai peur des montagnes russe m'avait choqué. Enfin bref, j'étais bien heureuse avec lui. Malgré cela je ne pouvais pas le remercier, je n'avais pas son numéro.

Il est vrai que des fois je stressais de peur qu'il ne revienne jamais me parler.

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Comme chaque matin je tcheque mon téléphone, les actualités sur Twitter, etc...

Aujourd'hui je ne travaillais pas, de plus aucune entreprise ne m'as appelé, ce qui me causait beaucoup de stresse. Il est vrai que je devais payer mon loyer à la fin du mois, et ma misérable paye serait surement insuffisante. Auparavant c'était mon école qui me le payait, mais voilà que maintenant je rentrais dans le monde du travail. Et honnêtement je me sentais incapable de quitter mon appartement, il me convenais parfaitement, et surtout il était vraiment bien placé. L'idée de demander de l'argent à mes parents était inconcevable, ils étaient eux aussi en problèmes financiers.

Pour essayer de vider mon esprit je suis parti au désert bleu.

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Sans grande surprise elle était remplie, touriste, barcelonais, enfant,....

Je pris ma serviette, la déposa sur le sable chaud, le soleil tapait plus que d'habitude. En voulant fermer mon œil j'entendis 2 filles parlaient:

........: Mais sérieux tu l'as pas vu, comment il est trop beau?

........: C'est vrai que vu de cette angle il es plutôt pas mal. 

........: T'as vus depuis le temps que je te le dis et tu ne m'écoutes pas.

........: Mais aussi tu crois je vais m'emmerder à regarder des joueurs courir derrière un ballon, fin sérieux.

........: Si sa sert, regarde le nombres de garçons à  mes pieds depuis que j'ai commencé à regarder du foot.- dit elle en ricanant avec un rire de garce

........: Et ce Gavi? Alors? Il est célibataire tu pense?

.........: Sûr! Sa se serait déjà sinon.

J'avoue qu'on entendant cela je leva ma tête furtivement, à la recherche d'un certain Gavi sur la plage.

Mes yeux firent des allés retours, mais pas de Gavi en vue. Je me retourna donc et vis ces  2 filles penchés sur le téléphone, devenais je folle? Folle de pensée que Gavi pourrait se pointait à la plage alors qu'il a un fan girl, d'ailleurs plus les jours passent plus j'ai l'impression d'en devenir, de faire une obsession sur lui. Qu'avait il de particulier?

Rien, en effet il n'avait rien de particulier, rien qui le différencié des autres. 

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Quelques jours plus tard,

1014 euros, était inscrit sur cette feuille déposé ce matin même dans ma boîte aux lettres. Miles questions me traversèrent l'esprit, mais une sortait du lot "Comment?", c'est vrai comment allais je payer cette somme astronomique, mon travail au barça ne m'apportait seulement 725 euros, c'était donc impossible. 

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J'arpentais les rues María Cubí et Santaló avec un taux d'alcool dans le sang beaucoup trop élevé, pendant plus de 2 heures j'arpentais chaque bar, à la recherche de la moindre goute d'alcool, je savais que le faite de ne pas pouvoir payer mon loyer n'était pas une raison valable, mais après tout mes efforts fournis pour venir dans cette ville,  faire des études en journalisme et avoir été dans le boulot de mes rêves. Ca ne pouvait s'arrêté ici. J'en avais bavait pendait des années. Sous le coup de l'alcool je m'effondra au sol en versant des perles de sels.

Quand soudain quelque chose s'arrêta devant moi, une voiture, ou plutôt un vanne, la porte s'ouvrit et je fis face à,