******: Vazy rentre c'est ouvert!
—————————
Je reconnu c'était la voix de Pablo.
J'ouvris et fis face à une centaine de personnes en train de danser a moitié nu ou alors entrain de faire des jeux d'alcool. Ça me surpris, je n'aurai jamais imaginé qu'un footballeur tel que Gavi soit dans ce genre de délire.
Je m'avança petit à petit dans ce lieu gigantesque dont je ne connaissais qu'une personne. Et à vrai dire le trouver dans cette gigantesque foule me semblait impossible. Alors je me dirigea à un endroit pour me servir à boire.
Un homme se dressa devant moi:
*****: Alors mistinguette? Que ce tu veux ?Moi: Un coca.
******: Avec de la vodka?
Moi: Non ça vas aller merci.
******: T'es sur ?
Moi: Oui ça vas aller merci.
******: Tiens ~me dit il en me tendant un verre de coca. Alors t'es qui ?
Moi: Melya.
*****: Jolie prénom! Et tu fais quoi dans la vie? Manageuse? Directrice sportive ?
Moi: Je travaille au stade dans les stand.
*****: Ah bon ~me dit il surpris.
Moi: Oui ça fait déjà quelques semaines!
*****: Ça me surprend ! C'est vrai qu'ici c'est que des gens avec des salaires à 5 chiffres.
Moi: Ah bah t'inquiète je l'avais remarqué. Bon moi je vais un peu me balader salut !
*****: Salut miss!
Je me balada et fit face à cette « Emma », je fis comme si elle n'était pas là mais je crois qu'elle en a décidé autrement.
Emma: Mais que ce qu'elle fait la celle là. ~dit elle en chuchotant mais assez fort pour que je le l'entende.
J'essayai de passer outre et de ne pas la calculer quand elle me balança son vert de vin rouge sur ma robe blanche.
Moi: Mais ça va pas ?~dis je mi-énervé mi-choqué.
Emma: Oups ~dit elle d'un aire agaçant. Je t'avais pas vu.
Notre mini altercation fit ramener la moitié de la fête autour de nous.
Moi: Ouai c'est ça. ~dis je d'un air saoulé.
Je parti tout en entendant les remarques que glissaient les personnes qui venaient de voir la scène.
En me dirigeant vers un endroit qui me paraissait être des toilettes je vis une porte entre-ouverte. Curieuse comme je suis je regarda a travers. A ma grande surprise je vis Pablo très proche d'une femme, elle était belle, très belle, le regard charbon qui pourrait faire brûler d'amour n'importe quelle homme pour elle. Je ne pouvais que baisser le regard face à cette scène, je me sentais doublement humiliée, paraître devant eux avec mon apparence pitoyable était terrible. J'accéléra donc le pas.
J'arriva dans des toilettes, me mira et vu à quelle point je ne ressemblais à rien. Cette grosse tache rouge sur ma robe blanche était irrécupérable. J'eu beau essayé des dizaines de fois de frotter mais rien ne changer. Je m'assoupis donc sur le sol, il est vrai que je suis quelqu'un de sensible, je dirai même de très sensible. La vision de Pablo avec une autre fille m'avait fort perturbé, pourtant nous n'étions rien, juste des amis de très courte date. Mais j'avais l'impression que ce que je venais de voir m'avait formé une boule en haut de ma gorge.
Quelques minutes après cela j'entendis la porte des toilettes s'ouvrir, je pensais au début que c'était une femme qui venait d'y entrer pour faire ses affaires mais je fis face à la silhouette de Gavi. Il se tenait là, devant moi vêtu d'une chemise noir et d'un jean bleu. Il me tendit sa main.
Pablo: Que ce qu'il s'est passé avec ta robe ?
Moi: C'est Emma ~dis je en me levant grâce à sa main.
Pablo: Que ce tu me raconte? Pourquoi elle aurait fait ça ?
Moi: Je crois qu'elle est jalouse.
Pablo: Jalouse de quoi? Je suis pas marié avec elle ni avec toi. Je lui doit rien.
Moi: Justement je ne comprend pas la haine qu'elle a envers moi pour quelque chose qui n'existe pas.
Pablo: Oui exactement je vois pas pourquoi elle se fait des films pour rien.
Moi: Fin bref, moi ça jalousie j'en veux plus.
Pablo: Vraiment désolé.
Il mis sa main sur mon épaule, mon corp frissona.
Moi: C'est pas de ta faute.
Pablo: Non vraiment désolé.
Me dit il avec un regard persistant ainsi qu'un regard séducteur.
Moi: Bref moi je pense je vais y aller, ce genre de fête c'est pas fait pour moi, désolé mais merci pour l'invitation.
Pablo: T'inquiète pas, un jour peut être tu t'y fera comme moi je m'y suis fait.
Son regard m'envoûtait de plus en plus qu'il était impératif que je quitte cette pièce.
Moi: Hm t'as raison, peut être un jour !
Nos regards ne se lâchai plus, j'avais l'impression que rien ne comptait, qu'il n'y avait plus rien autour, qu'il n'y avait que nous deux. Que la terre s'était arrêté de tourné et que toutes les étoiles étaient aligné parfaitement. Je vis son visage s'approchait de plus en plus du miens. Quelques centimètres séparés nos lèvres, je ne me contrôlai plus, je ne pouvais plus éviter cela, mon cœur voulait resté malgré l'opposition de ma conscience.
Et voilà, nos lèvres s'étaient collés l'espace d'un instant mais quelle moment. Mon cœur s'était arrêté et des papillons ont jaillit dans tout mon ventre.
VOUS LISEZ
Et pourquoi pas?
DragosteMelya jeune personnel du camp nou se retrouve face à un amour impossible, celui d'un célèbre footballeur, Gavi.