Quand soudain quelque chose s'arrêta devant moi, une voiture, ou plutôt un vanne, la porte s'ouvrit et je fis face à Gavi ou plutôt Pablo, vêtu seulement d'un ensemble du FC Barcelone, j'en déduis donc qu'il revenais d'un entrainement.
Pablo: Euh Melya? - dit il en s'avançant.
Je tourna la tête.
Pablo: Ça va?
Je ne répondu pas, j'avais honte, puisque malgré mon état j'étais encore lucide.
Il se baissa pour se retrouver à mon niveau.
Pablo: Tu pleure ?- s'interrogea t-il.
Il passa derrière moi, mis sa tête sous mon aisselle, entoura son bras autour de mon coup et me leva. Il m'emmena dans son vanne. M'installas sur la banquette arrière et s'assit en face de moi.
Le trajet fut silencieux, j'étais gêné, cela faisait plus de 2 semaines que je n'avais plus de nouvelles de lui, il ne venait plus devant le stand, il avait comme disparu.
En arrivant, il m'aida a monter les escaliers:
Pablo: Tu peux m'expliquer pourquoi t'es dans cette état là?
Moi: Et toi tu peux m'expliquer pourquoi j'ai plus de nouvelle de toi?
Pablo: Comment ça? C'est pas moi j'ai quitté mon travail.
Moi: Mais que ce tu raconte, j'ai jamais quitté mon travail.
Pablo: Mais oui, mais oui, t'es trop bourré je vais pas débattre avec toi.
Moi: Mais je te promet que je travaille encore la bas.
Pablo: Fin bref, que ce tu fais dans cette état ?
Moi: Je peux pas te le dire, tu te moquerais de moi.
Pablo: Jamais.
Moi: Si, je te promet. -dit je en arrivant devant la porte de mon appartement. Bon on est arrivé, merci de m'avoir accompagné, c'est super gentil! Au revoir!
Pablo: Mais tu tiens même pas droit, tu vas jamais réussir a arriver jusqu'à ton lit. - dit il le sourire aux lèvres.
Moi: Mais si.
Pablo: Aller ouvre cette porte je t'accompagne.
Moi: Mais t'inquiète vraiment je vais y arriver.
Pablo me regarda, puis on parti en fou rire.
Pablo: T'as pas le choix.
Moi: Tu sais que t'es têtu!
Pablo: Hm, un petit peu.
J'ouvris la porte, Pablo me tenait encore et m'installa dans mon lit.
Moi: Vraiment merci, et je te promet que je n'ai pas quitté mon travail au camp nou, je sais pas qui t'as raconté ça, mais rien que avant hier j'étais à mon stand.
Pablo: Bah c'est Emma, je sais pas si tu la connais, elle aussi travaille au camp nou, mais dans la sécurité. Un jour après un match je voulais te voir, je lui ai demandé si t'étais là et elle m'as dit que tu avais démissionné.
Moi: Ah bon? - dis je surprise. Je ne la connais même pas.
Pablo: Si tu le dis, je te crois. Bon je vais te laisser, je croix que mon chauffeur m'attend. -Dit il en ricanant.
Il parti, j'étais heureuse de refaire face à lui, et qu'il m'ai aidé. Mais bon il fallait que je dorme j'étais morte.
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10:15, était écrit sur mon alarme, j'avais énormément mal à la tête, il me fallait un Doliprane afin de faire disparaître cette douleur intense.
Je sorti donc de ma chambre et tomba nez à nez a une personne allongée sur mon canapé, effrayée je cria:
Moi: Ahhh!!!! Sortez de chez moi ou j'appelle la police!
L'inconnu se gratta les yeux et se redressa difficilement.
Pablo: Melya?
Moi: Pablo? Que ce tu fais la? T'as dormis ici? Ça vas pas ?
Pablo: Je m'en étais même pas rendu conte. Je crois que j'étais trop ko, je m'étais simplement assis sur ton canapé mais à ce que je vois la fatigue m'a emporté.
Moi: Alala Pablo.
Pablo: D'ailleurs ça vas mieux?
Moi: Non j'ai un horrible mal de crâne.
Pablo: Aie, tu devrait prendre un Doliprane.
Moi: C'est ce que je voulais faire avant que je tombe sur toi.
Pablo: Désolé je voulais pas te faire peur et encore moins dormir chez toi.
Moi: Non t'inquiète c'est pas grave, vraiment.
Pablo: Bon je crois qu'il est l'heure que je rentre. - dit il en se levant et en prenant son téléphone.
Moi: D'accord, et encore merci pour hier!
Pablo: T'inquiète.
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Et pourquoi pas?
عاطفيةMelya jeune personnel du camp nou se retrouve face à un amour impossible, celui d'un célèbre footballeur, Gavi.