Chapitre 8

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Je raccrochas sans qu'elle ne puisse glisser un mot. J'était en état de choque.

Comment un footballeur aussi connu pouvait payé mon loyer, pour moi c'était impossible, ça devait être un bug. C'était inimaginable. Je referma ma bouche et reparti en direction de mon appartement. Il fallait que j'ai des réponses mais je n'avais aucun moyen de le joindre.


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Le soir arriva, je m'installa dans mon lit deux places couleur bleu et m'endormis grâce à mes 5 doudous.


Après quelques heures de sommeils j'entendis des faibles sons venir de ma porte, je pensais au première abord que c'était mes voisins qui passaient donc je passa outre, j'essaya donc de refermer l'oeil mais seulement 30 secondes après, le son devint plus fort et plus distinguable, ça s'apparentait à des frappement sur ma porte. Voulant en être sure, je me leva, passa par ma cuisine, pris un couteau au cas l'individu était agressif, je m'avança pas à pas vers ma porte avec le coeur qui battait de plus en plus vite. Surtout que pour faire bref mon niveau de combat est au même niveau qu'un enfant de 5 ans.

J'arriva devant la porte, le corp tremblant, je pris une grande inspiration et regarda la scène qui se passait en face de moi grâce à l'œillet.

Je remarqua que le couloir était allumé, quelqu'un était en face de moi tête baissé, je ne pouvais distinguer qui se dressait là. Mais à première vu il n'avais rien d'offensif, il avait plus l'air perdu. De plus il semblait propre et soigné tout le contraire d'une personne offensive. L'inconnu frappa de nouveau à la porte comme s'il avait besoin d'aide. Je décida donc d'ouvrir.


Je fis face à un homme de corpulence moyenne, vêtu d'un ensemble de survêtement de sport noire qui avançait vers moi:

-Melya?

Il leva sa tête, c'était Pablo. Je me recula pour le laisser passer, il s'assit sur mon canapé.

Pablo: Ca va?

Moi: Oui fin c'est pas comme si tu venais de me réveiller à 3 heures 30 du matin.

Pablo, rire: Désolé, c'est vrai que c'est un peu tôt.

Moi: C'est surtout pas une heure pour venir chez les gens.- Pablo me sourit , je craqua. Mais bon qui pourrait te refuser, le grand, le beau, le célèbre Pablo Gavi.

Pablo, rire: Grand, je suis pas trop sure mais beau ça oui. Regarde moi et avoue que je suis le plus beau mec que t'as vu de toute t'as vie.

Moi, gêné: Hm, je réfléchis.

Pablo: Plus rapidement s'il vous plaît mademoiselle.

Moi: Bah écoute ça prend du temps puisqu'il faut que je pense à tout mes exs et il y en a un paquet.

Pablo: Ah ouai t'es comme ça?

Moi, rire: Non je rigole évidement que c'est toi le plus beau garçon.

Pablo rougis et rétorqua:

-Ca tombe bien puisque tu es la plus belle fille que je connaisse si on ne compte pas ma mère.

A l'entente de cela mes joues s'enflammèrent, un sentiment de chaleur me pris, Pablo me dire cela, c'était impossible.

Pablo: D'ailleurs je m'excuse d'avoir été désagréable la dernière fois j'étais vraiment pas d'humeur. J'espère que tu m'en veux pas ?

Moi: Non t'inquiète, t'es pardonné même avant que tu t'excuse. Mais sa fait quand même plaisir que tu te rende compte de ton comportement.

Pablo: Il faut, il faut.

Nous étions tout les deux installés sur mon canapés 2 places come si nous étions des amis de longues dates, comme si on se connaissait depuis la nuit des temps, d'ailleurs il semblait même s'arrêtait. Pendant qu'il me parlait je plongeais dans son regard si doux, si beau, si accueillant. J'avalais ces belles paroles composaient de quelques compliment qui me faisait chaud au coeur. A vrai dire j'étais bien, bien à ses cotés. Serait ce l'effet de la nuit qui a provoqué tout ce qui se passait ce soir là, je ne sais pas mais ce qui est sure c'est que j'étais dans un monde parallèle.

Pablo: C'est fou que ça fait si peu de temps qu'on se connait, on ne s'est vu que quelques fois mais malgré ça j'ai l'impression que notre discussion est tellement fluide. C'est pour ça que j'aime parlé avec toi.

Moi: Oui tu as totalement raison. Je dirait même...

Je me fis couper la parole par une sorte d'alarme, de bruit qui résonnait dans tout l'apart.

Moi: C'est quoi ça?

Pablo: De quoi tu parles?

Moi: L'alarme qui sonne.

Pablo: Mais que ce que tu raconte, c'est l'effet de la fatigue qui te fait dire ça. Tu devrait allé dormir.

Moi: Non là pour le coup je suis pas folle, il y a bien une alarme.

Pablo: Non je te promet il y a rien.

Moi: Si je te le dis.

Je me leva donc de mon canapé et me dirigea donc vers ou provenait le son. Il venait de ma chambre, j'alla donc l'éteindre mais un obstacle me barra la route et me fis m'écrouler au sol.






A mon réveil je me retrouva par terre, c'était donc qu'un rêve.




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