𝑻𝒉𝒆 𝑺𝒊𝒏𝒏𝒆𝒓𝒔 𝒂𝒏𝒅 𝑺𝒂𝒊𝒏𝒕𝒔

♧ 𝐂𝘩𝘢𝘱𝘵𝘦𝘳 𝘛𝘸𝘦𝘯𝘵𝘺 𝘛𝘸𝘰 ♧

Avertissements : mentions d'armes à feu, de couteaux et de sang

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"Je ne comprends tout simplement pas pourquoi je suis soudainement impliqué dans toutes les transactions de capo."

Addison était assise au bout du lit, la robe rouge sang embrassant ses courbes, des talons dorés lacés sur ses jambes, ses cheveux étaient bouclés, le maquillage fumé ornait ses traits. Bucky était dans la salle de bain, boutonnant la chemise blanche nette tandis que Steve se tenait devant le miroir de la longueur du sol, passant ses doigts dans ses cheveux, les piquant de la manière appropriée. "Venez ici." Steve a déclaré, levant la main pour sa belle-sœur, un sourire sur ses lèvres alors qu'elle traversait la pièce, lui prenant la main pendant qu'il la tournait. "Bucky, viens la voir." Il a taquiné, s'éloignant du miroir lorsque Bucky est entré dans la chambre à coucher, traversant la pièce pour se tenir derrière elle, son bras glissant autour de sa taille, l'autre éloignant ses cheveux de son épaule, pressant un baiser chaud contre la peau. Les yeux d'Addison n'ont jamais laissé Bucky dans le miroir, son bras fort la pressant contre sa poitrine.

Un sourire ornait leurs deux lèvres, ils avaient l'air puissants, comme le roi et la reine de la mafia.

"Maintenant, même si j'aime vous regarder vous baiser les deux, nous devons aller rencontrer ces imbéciles avant qu'ils ne fassent exploser un autre magasin du coin." Steve a murmuré, Addison et Bucky riant alors qu'ils s'éloignaient du miroir. "Alors, les gars, vous n'allez vraiment pas me dire pourquoi je dois venir avec vous ? J'avais une date très importante prévue aujourd'hui." Addison a marmonné de manière ludique, prenant la main de Bucky quand il l'a offerte, la tirant de près alors que les trois se frayaient un chemin dans le couloir, les hommes de chaque côté d'Addison. "Qu'est-ce qui pourrait être plus important que d'être avec votre mari con et que vous êtes un très beau beau-frère ?" Steve a souri, esquivant la main de Bucky lorsqu'il a tendu la main sur Addison pour frapper l'arrière de la tête de Steve. "Ne le pousse pas mon pote, je n'ai aucun problème à jouer à la roulette russe en ce moment." Bucky murmura, ses narines flamboyantes avant qu'Addison ne lui serre la main, le clouant au point qu'elle était avec lui, et il n'avait rien à craindre. "Pour répondre à votre question Steve", a déclaré Addison alors qu'elle se glissait dans le côté passager, attendant qu'il grimpe derrière elle, "j'ai eu un beau rendez-vous avec le canapé, une paire de sueurs et des rediffusions de Gilmore Girls." Elle a répondu en lui levant la langue pendant qu'il riait, se penchant en arrière sur son siège. "Riveting vraiment, désolé d'avoir perturbé votre journée bien remplie." Steve a plait à l'arrière.

"Ce sera un long trajet en voiture." Bucky murmura, poussant la voiture en marche arrière et quittant la maison familiale.

Quand ils sont arrivés à la boîte de nuit de Bucky, Steve est sorti, allant installer la table pendant que Bucky arrondissait la voiture, ouvrant la porte à Addison. "Buck, êtes-vous sûr que c'est une bonne idée ?" Addison a interrogé doucement, l'incertitude remplissant son estomac lorsqu'elle a placé sa main dans le sien, se levant de sa Mercedes, l'estomac en nœuds quand il n'a pas répondu tout de suite. "Restez près de vous, douce fille", murmura Bucky, gardant sa paume verrouillée contre la sienne, la porte de la Mercedes se fermant derrière eux, "quelque chose s'est éteint, je ne sais tout simplement pas quoi." Il a répondu, la conduisant à travers le parking, son front appuyé de près contre son dos. Elle pouvait sentir que l'atmosphère était différente, mais elle n'était pas sûre que cela avait à voir avec les nerfs dans son ventre d'avoir à revoir les Capo dans un délai aussi court, ou la peur que Bucky soit sur le bord. Il pouvait la sentir hésiter, ses pas étaient plus courts, sa main tiraient la sienne avant de s'arrêter, prenant une grande respiration pour la regarder, son visage est tombé du patron de la foule à son doux mari, les yeux bleus n'étaient pas glacés, ils étaient chauds et invitants. "Celle fille, tu dois avoir confiance que je ne laisserai jamais quelqu'un te faire du mal." Il a parlé doucement, se penchant vers le bas pour appuyer sur un doux baiser sur son front, ses yeux se fermant à la sensation. "Tu peux t'asseoir sur mes genoux, douce fille, je ne les laisserai pas te toucher." Il chuchotait contre sa peau, souriant alors qu'il sentait ses épaules s'affaisser, se détendant contre son toucher. "D'accord, allons-y." Elle chuchot, lui serrant la main.