𝑻𝒉𝒆 𝑺𝒊𝒏𝒏𝒆𝒓𝒔 𝒂𝒏𝒅 𝑺𝒂𝒊𝒏𝒕𝒔

♧ 𝐂𝘩𝘢𝘱𝘵𝘦𝘳 𝘛𝘩𝘪𝘳𝘵𝘺 𝘍𝘰𝘶𝘳 ♧

Avertissement : mentions d'armes à feu et de couteaux

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"Vous n'avez pas peur de la douleur, n'est-ce pas ?"

Addison a souri à la question de Tony alors qu'il trait sa mâchoire avec le bout du couteau, des lignes apparaissait dans son sillage. "Pour un génie autoproclamé, vous êtes assez stupide." Rebecca a appelé du coin de la pièce, grognant à l'angle inconfortable dans où se trouvaient ses pieds. « Oh, suis-je ? » Tony a demandé, la moquerie tombant de ses lèvres alors qu'Addison hochait la tête, le bout du couteau rebondissant sur sa peau. "Tout mon corps est jonché de cicatrices, il n'y a rien que vous puissiez faire qui soit plus douloureux que tout ce que j'ai déjà enduré." Addison a parlé, ignorant la façon dont le couteau lui a mordu la peau, une petite goutte de sang dégoulinant le long de la lame. "Alors dites-moi ce qui rend Barnes si puissant." Tony a craqué, serrant son menton entre son pouce et son index, barbouillé son sang sur sa peau.

"Combien de fois devons-nous vous dire que nous ne savons pas."

Tony a déplacé son regard sur l'épaule d'Addison, un éclat aigu étant envoyé vers Rebecca. Elle est lâche sous la chaleur de son regard, enroulant ses bras entrelacés sur ses genoux pour se fermer. "Vous ne savez clairement pas, vous ne vous portez pas comme une femme mafieux, vous avez trop d'attitude", a déclaré Tony, retournant son attention sur Addison, son pouce glissant langoureusement contre son menton une fois de plus, un sourire froid rampant sur ses lèvres alors que ses yeux se dominaient, concentrez le zonage ailleurs.

Addison a fermé les yeux, laissant sortir une longue respiration profonde, l'air étant poussé de ses poumons et dégageant sa poitrine. "Je vous garantis que vous, M. Stark, n'avez aucune idée de la personne que vous affrontez." Addison expira, se tournant pour regarder Rebecca avec un petit sourire, avant de retourner son regard vers Tony. "James va brûler cette ville au sol pour me rejoindre, ainsi que sa petite sœur, alors que vous pensez que vous avez le dessus, je vous le promets, vous n'avez aucune idée de ce qui s'en vient." Addison sourit alors que Tony s'asseyait rigidement devant elle, se penchant vers l'avant pour lui chuchoter à l'oreille : "Si vous pensez que le calme James est puissant, quand vous enlevez les deux personnes qui le gardent calme, il perd tout contrôle, et rien ne se met en travers de son chemin." Elle murmura, son souffle caressant son oreille alors qu'il se retournait rapidement d'elle, se levant à ses pieds, fixant sa veste. "D'accord, eh bien, si vous n'allez pas m'aider maintenant, j'irai après votre frère et j'obtiendrai mes réponses."

"Par tous les moyens, allez-y, cet homme ne peut pas comprendre à gauche à partir de droite par lui-même."

"Vraiment M. Stark, c'est assez pathétique que vous pensiez qu'un homme qui ne sait rien de sa sœur vous donnerait les réponses." Rebecca a réprimandé, secouant la tête dans une fausse désapprobation. "Pas étonnant que vous n'ayez jamais pu aller de l'avant, vous regardez trente espaces derrière." Elle s'est moquée, souriant à la façon dont Tony a rapidement reculé vers la porte, tirant des poignards vers elle. "Quelqu'un vous a-t-il dit à tous les deux à quel point vous êtes sans valeur ?" Tony a craqué, secouant la tête alors qu'Addison souriait doucement, se penchant sur le mur derrière elle, "tous les jours depuis que j'ai eu seize ans, si vous avez fini, je suis fatigué, j'aimerais faire une sieste." Addison a bâillé de façon spectaculaire, regardant les yeux de Tony se rétrécir, ouvrant la porte et glissant dehors, claquant le morceau de bois derrière lui. "Yikes, quelqu'un a un ego fragile." Rebecca a tout fait, secouant la tête pendant qu'Addison riait.

Tony s'était assis dans la pièce avec eux pendant près de deux heures, essayant de faire pression sur les informations. Addison savait que quelque chose comme ça allait se produire, alors elle n'a jamais essayé d'apprendre ce que Bucky fait à huis clos. Elle était une terrible menteuse, tout ce qu'elle savait, sa lèvre tremblait et son œil tremblait, si elle ne connaissait pas l'information, elle ne pouvait pas mentir, si elle ne mentait pas, elle ne risquait pas que les gens obtiennent des informations d'elle. C'était une situation gagnante tout autour.