𝐎𝐁𝐒𝐄𝐒𝐒𝐈𝐎𝐍 𝐄𝐍𝐓𝐑𝐄 𝐑𝐈𝐕𝐀𝐋𝐒ˢᴬˢᵁᴷᴱ ᵀ¹

𝙱𝚊𝚒𝚜𝚎𝚛 𝚊𝚌𝚌𝚒𝚍𝚎𝚗𝚝𝚎𝚕

ᬊᬁツლᬊᬁッლᬊᬁ𒈞ᬊᬁッლᬊᬁッლᬊᬁッლᬊᬁ𒈞𓆪⇝

Pdv de Naruto

Un Sasuke fit irruption hors de la maison l'air hyper, alors là hyper en colère.

"Attends Sasuke t--"

"Dégage !

Il me bouscule sur son chemin, je le regarde partir, les yeux écarquillés.

"Espèce de mal élevé ! On t'as jamais appris de ne pas ignorer une personne quand elle te parle !"

Je fit volte-face, Yuhi se tenait devant l'entrée du domicile tout en lui criant des insultes.

Pdv de Yuhi

"Quel mec sans éducation ce Sasuke."

"Dis donc jeune fille."

Je sursaute et me retourne à la hâte. La propriétaire de la maison se trouvait sous mes yeux, doté d'un air sévère.

"Le savais-tu que dans ma famille, les jeunes filles ne devraient pas avoir un tel comportement ?"

Oh oh...

"Je suis désolé madame c'était point intentionnel !" M'excusais-je en m'inclinant plusieurs fois. "Ne pensez pas que c'est dans mes habitudes, ce qu'il y a est que-- !"

Un éclat de rire s'éleva, je lève la tête vers la dame un peu confuse.

"Voyons ma fille ne t'inquiète pas, je te fesais marché."

"Vous...vous n'êtes pas fâchée ??" Dis-je en ouvrant grand mes pupilles, elle se contente de remuer la tête.

"Disons que je te comprends, les hommes ont la manie de nous énervé des fois. C'est pareil avec mon mari."

Je me redresse verticalement

"Pardonnez ma conclusion, mais je pensais que vous n'aviez pas de fami--euh vous viviez seule."

"J'en ai rassure toi." Ricana t-elle sous mon embarras. "Mes enfants sont à présent des adultes et moi je suis donc obligé de vivre ici toute seule."

Elle me fit signe de la suivre jusqu'au salon. La pièce ne possédait pas grand chose, il y a une petite table ronde qui trônait au milieu, avec plusieurs oreillers autour. Mes doigts se promenèrent sur l'étagère où des cadres photos étaient alignés. Chaque photo débordait d'amour et de bonheur, et irradié ces sentiments à n'importe quelle personne qui rentrait dans la pièce.

Une d'entre elles attiraient mon attention, un vieux couple âgé était assise et autour d'eux se trouvait trois personnes, probablement leurs enfants.

"La première est Omo, notre fille ainée."

Reposant le cadre que j'avais inconsciemment saisis, mon regard parcourut la pièce à la recherche de la vielle femme. Elle s'approcha, déposant un plateau où elle y transportait deux tasses de thé.

"Les deux autres sont Egaïl et Dara."

"Vos enfants sont très beaux madame."

Elle vint prendre la photo en souriant

"Tes parents."

"Pardon ?"

"Tu es enfant unique de tes parents, n'est-ce pas ?"

"Comment vous le saviez ?"

"Ça se voit chérie, la manière dont tu te comporte."

J'ignore si je devrais prendre ses mots comme une insulte ou un compliment.