Chapitre 4

130 11 1
                                    

POV KIRISHIMA

- Ne me fait pas attendre.

Je regarde mon blond en lâchant un petit rire amusé avant de tourner les talons pour rentrer dans les douches.

Je laisse mon regard faire un rapide tour au niveau des différents hommes et je le trouva en train de se rhabiller. Il avait l'air pressé, peut-être qu'il ne voulait pas me croiser ? Dommage pour lui, il n'a pas su être assez rapide.

Je me rapproche de lui pour lui chopper les cheveux et venir lui
exploser la tête contre le carrelage,
pas de demi mesure.

- Si tu t'avises de retoucher une femme, ou même un homme, sans son consentement, je te disloquerais les bras et les jambes après t'avoir coupé la bite. C'est bien clair ?

Il hoche la tête rapidement avant que je ne lui éclate une nouvelle fois la face contre le carrelage.
Pas de demi mesure on a dit.
Je finis par le lâcher et je fouille ses poches pour y trouver un couteau. Super, même pas besoin d'imaginer une histoire pour le foutre au trou.
Je viens lui placer dans la main et me relève, venant laver mes mains avant de ressortir de la.

- Le trou du cul blond dans les douches à un couteau sur lui il a essayer de me planter.

Deux gardes armés s'empressent de rentrer dans les douches pour aller le neutraliser. Bien que dans son état, il n'y est pas grand chose à neutraliser.

Katsuki lui, me regardait l'air de me dire "je vais t'étrangler".
Sans me dire un mot il me guida jusqu'à ma cellule. L'ambiance était un peu gênante.

Arrivé à celle ci, il mis enferme et se place à son poste. Je décida d'ouvrir la bouche, quelle erreur.

- Bah quoi ? J'ai pas été très long, comme tu m'as demandé.

- TU TE FOU DE MA GUEULE !? Tu t'es pas dis que il fallait aussi éviter de faire du bruit ?! Si je le pouvais, je t'aurais déjà explosé ta jolie gueule de connard.

Y'a pas à dire, c'est vraiment trop drôle de le voir énervé comme ça. Ça se sentait qu'il étais très énervé, pour mon plus grand bonheur.

- "jolie gueule" ? Ah oui ? Je suis si beau ?

- LA FERME.

Je me mis à rire de bon cœur. Il avait l'air très gêné maintenant.
C'était adorable.

- Pour me faire pardonner, tu as le droit de me demander ce que tu veux.

Le blond me lance un regard haineux, bon visiblement ce n'était pas assez pour monsieur.

Un garde arriva à la hauteur de Katsuki et il soupira comme soulagé.

- Putain enfin.

Il parti sans un regard et le nouveau garde ce mis à sa place. J'imagine que mon cher blond avait fini sa journée.

Je parti m'assoir sur mon lit et ouvrir le livre que j'avais pris à la bibliothèque plus tôt pour passer ma soirée a le lire.

POV EXTÉRIEUR

Bakugo était rentré chez lui. Il habitait dans un petit appartement modeste bien qu'avec une très belle vu sur la ville et de riches meubles.

Dès qu'il était arrivé, il s'était changé pour porter des affaires plus confortable et s'était préparé un repas composé de nouilles instantanées. Tah le repas.
Il les avait mangé devant une série sans grande importance.

Il parti se coucher et, une fois allongé dans son grand lit, beaucoup de pensées lui venu à l'esprit.
Toutes concernant le rouge.

Des milliers de questions qu'il aimerait lui poser et même, des choses à faire avec lui.

Il se trouva ridicule a penser à lui de cette manière, quel âge avait il pour se faire des scénarios comme ca. Et puis pourquoi penser au rouge de cette manière ? C'est vrai que celui ci était beau garçon et leur après-midi passée ensemble avait vraiment plu à Bakugo. Il aimait être posé comme ça avec son détenu.

Cela lui brisé le cœur de repenser au faite que Kirishima soit un criminel, il ne pouvait pas se permettre de tomber amoureux de lui.

Mais ! Le blond sentie ses pensées s'embrouillées dans son esprit
Ils ne se connaissaient que depuis 24h, de quel amour pouvait il bien parler ?

L'explosif se senti idiot a s'engueuler seul dans sa chambre a presque bientôt 3 heure du matin.

Bakugo ne pu dormir plus de deux heures cette nuit là. Eijiro lui avait jeté un sort, c'était sur.

——————————
NDA

Je sais pas trop
comment ça va tourner tout ça.
Mais on y croit hein.
On est là.

Un soir d'orage - KIRIBAKUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant