Dark Passion, Tome 1

Chapitre 3

Quinton Wilcox, 28 ans...

Seul dans mon bureau, je songeai à ce qu'il venait de se passer avec Flavie. Ma Petite Souris avait changé, en effet. Adieu, la jolie blonde aux boucles parfaites, adieu la jeune adolescente timide au look parfait et carré. Elle était devenue une femme magnifique, excentrique avec un goût pour les vêtements d'antan et les couleurs flashy. Sur n'importe quelle autre femme, j'aurais trouvé cela tape à l'œil, futile avec un seul et unique but, celui d'attirer l'attention. Mais sur Flavie, son excentricité et son goût pour les couleurs étaient un moyen personnel de faire face à ses ténèbres. Elle mettait de la couleur dans sa vie pour se cacher, mais c'était inutile, j'avais attendu dix longues années dans l'ombre et maintenant qu'elle était là, j'allais la modeler à mon image, enfin si elle ne me tuait pas avant. Ma souris avait grandi et m'avait prouvé aujourd'hui, et cela, devant un client qu'elle pouvait mordre elle aussi.

Mon érection était particulièrement douloureuse et je n'avais qu'une envie, celle de me soulager. Alors comme à mon habitude et dans l'optique de la blesser et de voir son visage se décomposer, je demandai à ma secrétaire de me rejoindre dans mon bureau. Quelques minutes, plus tard, celle-ci franchit la porte de mon bureau et d'un simple geste, je verrouillai la porte derrière elle avant de sourire.

— Vous vouliez me voir ? demanda-t-elle en s'approchant.

— Oui, approche, Lyna, dis-je avant de passer mon bras autour d'elle.

Vivement, je la tournai dos à moi et la plaquai contre mon bureau. Aussitôt, un sourire s'étira sur le visage de Lyna. Elle se mordit la lèvre et fit rouler son cul contre mon érection.

— Hum, je vois qu'on est impatiente, dis-je tout en retroussant sa jupe.

— Oui, monsieur, répondit-elle dans un souffle.

— Je veux te prendre très fort, te faire crier et que tout l'étage t'entende hurler de plaisir. Dis-moi que tu es d'accord, j'ai passé une journée extrêmement pénible aujourd'hui, soufflai-je contre son oreille.

— Oui, monsieur, murmura-t-elle. Faites-moi hurler votre nom, dit-elle en soupirant quand brusquement, j'arrachai son tanga.

Le tissu se déchira et je réalisai qu'elle était trempée. Lentement, elle ouvrit la bouche quand je lui enfonçai son string dans la bouche. Sa jupe relevée jusqu'à sa taille, je défis ma ceinture et la pliai en deux avant de marquer son cul. Lyna gémit et se dandina, elle écarta les jambes et s'accrocha au rebord de bureau tout en encaissant mon déchaînement de violence. Alors que son fessier était meurtri, couvert de marque de ceinture, je m'empressai de dérouler un préservatif sur mon membre tendu et prêt à exploser. Je plongeai dans son intimité et sentis ses muscles se crisper autour de mon érection, m'arrachant un grognement. Je fermai les yeux et fourrai mes doigts dans ses cheveux avant de tirer dessus tout en la baisant sans vergogne. Une pile de dossiers se cassa la gueule, et Lyna hurla de plaisir. Elle me supplia de la prendre encore plus fort, et je ne résistai point. Mon pelvis claquait bruyamment contre son cul, je me retirai et vins alors me fondre dans son cul. Je fis attention de ne pas lui faire mal et attendit qu'elle se trémousse pour y aller franco. Ton en baisant Lyna, je ne pus m'empêcher d'imaginer Flavie à sa place. Je rêvai de fourrer mes doigts dans ses cheveux lilas. Je la voyais enrouler ses jambes autour de moi avec ses putains de talons qui m'avaient rendu fou à la seconde où je l'avais vu avec. Je la voulais, je la désirai, et cela, depuis plus de dix ans maintenant. J'avais craqué et cela avait eu d'horribles répercussions sur mon avenir. Mais à présent, je ne craignais plus rien. Tout en pensant à Flavie, je sentis ma libération monter en flèche avant d'asséner un dernier et brusque coup de reins tout en jouissant. Mon râle de plaisir fut étouffé par le cri de plaisir et l'orgasme de mon assistante. Elle ne réprima point son orgasme. Affalée sur mon bureau, les jambes tremblantes et luisantes de plaisir, je lui ordonnai de se mettre à genoux et de me nettoyer avec sa bouche. Sans hésiter, elle obéit et langoureusement, elle s'affaira à la tâche. Elle fit longuement tournoyer sa langue autour de mon gland, l'aspirant, le prenant entièrement dans sa bouche, avalant jusqu'à la dernière goutte de mon foutre.