Venez découvrir l' histoire de Sarah Catalan, jeune styliste reconnu au Royaume-Uni, et petit à petit dans le monde entier. Vivant à près de 1200 kilomètres de son meilleur ami Ian, cuisinier hyper connu, vivant à Munnich.
Toujours proche mais se v...
Un mois s' était écoulés. Un mois où je n' étais presque pas sortis. Je devais me reposer au maximum pour ne pas accoucher prématurément.
En effet, début novembre, nous avions eu notre rendez-vous mensuel avec la sage femme, qui en m' examinant comme à chaque fois, avait constaté que le col était effacer, ce qui signifiait un début de travail. Cela pouvait se déclencher à tout moment, comme il ne pouvait rien se passer aussi.
Je fus donc contrainte, mais sans rechigner, à rester au repos total pour le mois et demi qu' il me restait avant l' accouchement.
Cela faisait déjà plus de trois semaines que j' étais allitée. Je n' aviguais simplement de mon lit au canapé, ou je passais le plus clair de mon temps, de mes journée. La salle de bain et les toilettes aussi. La petite ayant pris beaucoup de place maintenant, elle appuyait fortement sur ma vessie, me forçant régulièrement à aller faire pipi. Cela faisait rire Benjamin de me voir toutes les heures faire des aller retours.
Il était à mes petits soins comme toujours, il était adorable.
Le matin, il partait à l' entraînement, en prenant soin d' installer mon téléphone, mon ordinateur, mon carnet de croquis, les télécommandes de la télé, la console, une boisson, des petits chocolats à grignoter, mon pêché mignon de fin de grossesse, tout à ma portée pour que je ne me lève pas.
Il m' appelait à chaque changement à l' entraînement pour prendre des nouvelles. Mais il n' était pas le seul. Le matin, j' avais des messages de Lucas, Ian et Cynthia aussi.
J' avais très régulièrement par message nos parents. Mais aussi, appels et messages de la bande. Katie, Mélanie, Antoine, Olivier et Kylian, qui demandait comment se portait leur nièce. Parce que oui, ils allaient tous être tonton et tata...
J' avais aussi la visite, deux fois par semaine de la sage femme, qui veillait au grain. Elle contrôlait tout, l' état de mon col, si il y avait du changement, ma tension, le cœur de la petite. Un vrai check up à chaque visite.
Je me sentais rassurer de voire que tous ces efforts étaient payants, pour permettre à ma fille de rester le plus possible au chaud, dans mon ventre.
Benjamin stressait aussi mais essayait de ne pas me le montrer. Mais il était rassurer à chaque visite de la sage femme qui certifiait que tout allait bien.
Bien souvent, certains matins, quasi un sur deux, j' avais soit Cynthia, soit Ian, qui venait prendre le petit déjeuner avec moi, avant d' aller au travail. Surtout quand Benjamin devait partir très tôt, quand il avait ses séances de sport supplémentaire ou le kiné.
Lucas passait après chaque entraînement, en rentrant avec Benjamin pour me faire un coucou, et rester discuter avec moi un moment. Il passait aussi les après-midi pour passer du temps avec nous.
J' appréciais de les voirs, parce que c' était compliqué de rester à la maison, sans rien faire, sans sortir, même si c' était pour la bonne cause.
Benjamin, avec l' aide de Ian et Lucas, avaient terminer la chambre de notre petite puce. Ils avaient tout installés, les meubles, les vêtements dans les placards, le lit, les draps.
La chambre était trop belle, la peinture était très réussi, une vrai chambre de princesse.
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