~ Chapitre 12 ~

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2024, Chapitre 12

C'était le 20 septembre 2024.

Cela faisait un mois que madame Deblic était enfermer dans une cellule.

Mais ce matin, elle allait en sortir. Le policier Vincent vient la chercher, et l'amena jusqu'au à la salle du tribunal.

Elle s'assit, à côté de son avocat, un certain monsieur Yves.

Le juge demanda le silence, et se gratta la gorge.

« - Levez-vous, la séance est ouverte. Monsieur Vincent, chef de l'affaire du crime de Titouan Deblic, vous accusé Madame Mélanie Carole Deblic être la coupable. Est-ce cela ?

- Oui, c'est cela.

- Bien. D'après vous, monsieur Vincent, Madame Deblic aurait battu son enfant depuis des mois, et l'aurais achevé la nuit du 26 juillet entre 6 et 8 heures du matin ?

- Oui.

- Veuillez nous expliquer les faits.

Le corps du jeune homme a été trouver à 15 heure 30 au pied d'un chêne. Après les analyses, nous avons découvert qu'il y avait deux empreintes sur le corps, datant de moins de quatre jours. Pourtant, Madame Deblic à confirmer ne pas avoir vu son fils depuis une semaine. Or, son empreinte était sur le corps.

- Et qu'est-ce qu'il ne prouve pas que ce soit la personne qui à laisser la seconde empreinte qui n'a pas fait ce crime ? Demanda monsieur Yves.

- La personne à qui appartient la seconde empreinte est madame Cécile Deblic. La jeune épouse de Titouan Deblic. C'est elle qui à ramener le corps sous le chêne quand elle l'a trouvé. Nous avons remarqué aussi que l'assassin était un fumeur grâce à des marques sur le corps. Or, après une analyse nous avons découvert que Cécile ne fume pas. Et elle n'a malheureusement pas voulu témoigner aujourd'hui.

Le regard de madame Deblic était vide. Elle n'était pas vraiment présente.

Monsieur Vincent, qui avait réfléchit durant des semaines était exténué.

Il était déprimé et voulait juste que cette histoire en finisse pour de bon.

Il se força à écouter le dialogue qui résumait ses semaines précédentes.

Il s'affaissa un peu plus sur son siège, et s'efforça à écouter.

Mais il se passa quelque chose d'inattendu qui fit revenir monsieur Vincent à tous ses sens.

Madame Deblic se leva et prit la parole, la coupant à son avocat.

« -Oui c'est moi qui l'ai tué merde ! On ne va pas en faire tout un plat, je veux juste rester tranquille putain ! »

Le public braya, et le juge du ramener le silence.

« -Hum hum, madame Mélanie Deblic, vous assumez être coupable du crime de Titouan Deblic ?

- Oui, c'est si difficile à comprendre ??

- Bien. Je suppose donc que vous le battiez depuis...

- Oui, c'est moi, j'ai tué mon bon à rien de fils ! »

Madame Deblic avait totalement changé. Ce n'était plus la femme qui avait tout fait pour porter le chapeau sur Cécile Deblic, priant jour et nuit pour qu'elle soit vu innocente.

Elle était devenue encore plus folle qu'elle ne l'était, et son regard s'était encore assombrie. Elle ne cachait plus son jeu.

L'avocat de la femme se laissa relâcher sur sa chaise, et savais qu'il avait fait tout ce travail pour rien.

La juge prit alors une décision définitive. Elle se leva, se racla la gorge, et annonça à voix haute :

« Madame Mélanie Deblic, vous êtes reconnue coupable du crime et décès année de violence envers votre fils. Vous aurez donc 50 ans de prison. Bien, la séance et lever. »

Monsieur Vincent n'en pouvait plus. Il était très content que madame Deblic se soit déclarée coupable, pour abréger la séance.

Il se leva, et rentra chez lui, sans prendre la peine de ne parler à personne.

Il pensa à la jeune marier, Cécile.

La vie était parfois incompréhensible.

Mais maintenant, tout était finit. Il allait recommencer une nouvelle enquête, et laisserai celle-ci derrière lui.

Vincent se demanda devant son miroir s'il était vraiment fait pour être policier finalement.

En tout cas, ce soir-là, il regarda son fils en se disant qu'il avait de la chance. 

𝐍𝐨𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐞𝐬𝐬𝐞𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant