Nouvelles Erotiques

Deuxième Nouvelle

Je m'appelle Clarisse. J'ai 15 ans et je suis en seconde dans un nouveau lycée. Je suis brune avec des yeux verts et des taches de rousseur.
Je ne suis pas très sociable. Je ne connaît personne dans mon nouveau lycée car je viens d'une autre ville.
Cela fait trois semaines que la rentrée est passer et si certaines filles ont essayé d'être amie avec moi, je préfère rester seule.
Pour tout avouer, j'ai un crush. Mais pas n'importe lequel, c'est mon prof d'anglais. Il est assez jeune, il doit avoir la trentaine. Des cheveux blonds et des yeux marrons avec une belle barbe taillée.
Je sais que je suis trop jeune pour lui mais je le vois me regarder du coin de l'œil pendant les cours.
Je fais en sorte d'être collé avec lui le plus souvent possible et la semaine dernière, je l'es vus se caresser contre son jean pendant qu'il me regardait à la dérobée. Je me rappelle à quel point ça m'a excitée et que ma culotte était trempée en rentrant chez moi.
Aujourd'hui, j'ai réussi à être de nouveau collé avec lui. On sera encore que nous deux dans sa salle. J'ai décidée de porter une jupe courte et un tanga blanc.
Lorsque j'arrive à sa salle pour mon heure de colle, il me lance un bref regard avant de retourner à son travail.
Au bout de 10 minutes, je vois sa main se dirigeait vers son jean et le vois se malaxer sous son bureau.
Je regarde avidement sa main et je dirige la mienne vers mon entre jambe que j'écarte doucement. Je me mets à me toucher et je sens ma mouille à travers mon tanga.
Je vois les yeux de mon prof descendre vers ma main et je le vois écarquiller les yeux. Il regarde fixement ma main caresser mon entre jambe et je vois son corps se tendre.
Il fais de son mieux pour garder son regard vers son écran mais je le vois retourner souvent à ma main.
Lorsque l'heure de colle est terminé je sors de la salle sous son regard impassible.

Deux jours se sont écoulés et aujourd'hui il m'a collé juste parce que j'avais fait tombé mon stylo par terre. J'ai l'impression qu'il l'a fais exprès et ça m'excite. Je décide de remettre la même jupe et de prendre une culotte un peu plus transparente.
Lorsque j'entre dans la salle, son regard descends tout de suite vers ma jupe et il fronce les sourcils.
Cette fois, je prends les devants et je commence à me toucher des que je suis assise. Aussitôt, je vois son regard descendre vers mon entrejambe que j'écarte un peu plus.
Je le vois se raidir, et descendre sa main sous son bureau, il malaxe son jean plus fort que d'ordinaire et au bout de quelques minutes de ce petit jeu. Je le vois déboutonner son jean pour rentrer sa main à l'intérieur.
On ne se regarde pas, jamais, uniquement nos entrejambes. Je vois la bosse de son caleçon blanc pendant qu'il passe sa main dessus.
Je sens de la mouille même au travers de ma culotte et je décide de rentrer un doigts dans mon tanga pour mieux me caresser.
Je vois mon prof déglutir et regardais avidement ma main pendant que la sienne agrippe plus fermement son caleçon.
Ça m'excite de voir sa bosse s'agrandir. J'ai envie de voir ce qu'il y'a en dessous et j'écarte un peu plus les jambes, ce qu'il lui permet d'avoir toute la vue sur mon doigt qui titille mon entrée.
Il passe sa main dans son caleçon et je le vois faire des vas et vient. Je me mord les lèvres et je me touche plus rapidement. Je sens une vague de chaleur m'envahir et un léger gémissement sortir de mes lèvres.
A ce son, la main de mon prof accélère et je le vois respirer plus rapidement la bouche entrouverte.
Lorsque l'heure se termine, on se rhabille discrètement et il me lance un regard empli de désir lorsque je sors de la salle.

Le lendemain soir, il m'a de nouveau collé, ça m'excite de savoir qu'il me colle de plus en plus.
Cette fois je suis venue en robe flottante et je me suis assise au premier rang juste devant lui.
Pour la première fois, je referme la porte derrière moi.
J'ai envie de le voir se masturber, j'ai envie qu'il me voit, je n'es jamais était autant excitée de ma vie.
J'ai l'impression que lui aussi a l'air fébrile. Dès que je m'installe, on commence à se toucher.
Il déboutonne tout de suite son jean et enfonce sa grande main dans son caleçon. Je vois la forme de sa queue et de son poing qui fais des vas et vient.
Je rentre directement la main dans ma culotte et je me touche plus fort que les autres fois. Je vois la bosse de son caleçon s'agrandir et sa respiration s'accélérer.
J'ai envie de plus. Je veux le voir, je veux le sentir. Un gémissement m'échappe et je me lève sous son regard ahurie.
Je m'assieds sur ma table et écarte mes jambes pile devant son visage. Je le vois devenir rouge comme une tomate et entrouvrir les lèvres.
Je continue à me toucher devant lui et son regard reste fixer sur mes doigt qui s'agite autour de mon clitoris.
Je ne vois plus sa main sous le bureau alors je chuchote doucement.
- Levez-vous, je veux vous voir.
Il me lance un regard emplie de désir et de frustration et je le vois enlever son jean et se lever de sa chaise en boxer gris.
Je vois son poing tenir fermement sa queue à l'intérieur de son caleçon et faire de long vas et vient.
Soudain, il sort sa queue de son boxer et je pousse un gémissement de plaisir. Je vois sa longue queue raide dans sa paume.
Je me contorsionne et enlève ma culotte afin qu'il puisse me voir nue. Je veux le voir jouir sur moi.
J'enfonce un doigt dans mon intérieur et commence à faire des vas et vient.
Il pousse un râle de plaisir et je le vois se branler de plus en plus fort. Il voit toute mon entrejambe et je vois entièrement le sien.
Au bout de longues minutes, je rejette la tête en arrière un pousse un râle de plaisir.
Je ressort mes doigts plein de mouille et je le vois ejaculer dans sa main en grognant.
A ce moment là, la sonnerie retentit et je me rhabille avant de sortir de la salle précipitamment.

Deux semaines sont passés et il ne m'a plus jamais coller. Moi j'ai envie de plus. Je rêve de lui chaque nuit. Je rêve de sa queue qui s'enfonce à l'intérieur de moi.
Alors, un mercredi midi, après les cours, je court dans sa salle et je le vois entrain de ranger ses affaires.
Il me lance un regard choqué et curieux et je rentre dans la salle vide en refermant derrière moi.
Sans un mot, je passe derrière son bureau et me tint devant lui.
Il s'assied dans son fauteuil le regard perdu et attends que je dise un mot. Au lieu de ça, je pose délicatement ma main sur son jean et je commence à le caresser.
Immédiatement, il se raidi, il prends une seconde d'hésitation avant de me laisser faire. Je m'agenouille devant lui et je continue de le caresser. Il pousse un soupir et je me mord la lèvre. Je sens ma culotte se remplir de mouille.
Je déboutonne son jean et vois la bosse de son caleçon blanc. Lorsque je me mets à le malaxer au dessus de son caleçon, il grogne de plaisir.
Il descends son jean jusqu'à ses chaussures pendant que je continue de le caresser. Je le sens devenir dur à travers le caleçon. Je me relève et je descends mon short pour être en culotte devant lui.
Je rentre ma main dans ma culotte et je me touche devant lui. Il sors immédiatement sa longue queue de son boxer et se branle en me regardant avidement.
Je retire ma culotte, me retrouvant à moitié nue devant lui, et m'assieds sur le bord des ses genoux. Je vois son poing à quelques centimètres de moi et ressent la chaleur de sa queue contre ma chatte.
Soudain, il agrippe une de mes fesses pendant qu'il continue de se branler et me la malaxe avec force.
Il remonte sa main à mes cheveux et me donne une légère pression à l'arrière de la tête. Je comprends immédiatement et descends de ses genoux qu'il écarte pour que je m'agenouille au millieu.
Je me met à le branler de tout son long à quelques centimètres de mon visage. J'entends sa respiration sifflante et sa queue chaude dans ma main.
Soudain, je pose mes lèvres contre le bout de sa verge et presse le bout de ma langue dessus. Mon prof ne peux plus se contenir et gémit doucement.
Son gémissement m'excite tellement que je passe ma langue tout le long de son chibre. Je le prends en bouche et le suce doucement pendant qu'il appuie sur ma tête.
Il continue de gémir et je descends ma main vers mon entre jambe pour me toucher en même temps. Je suis tellement mouillée que je la sens couler le long de mes cuisses.
Je le suce avidement et il hoquete de plaisir.
Soudain il me remonte et me fait asseoir sur lui.
- Clarisse, est-ce que tu l'a déjà fait., dit-il essoufflé.
- Non, mais je n'es pas peur. Prenez moi monsieur.
A ces mots, un grognements retentis dans sa gorge et il glisse un doigt contre ma chatte.
Je gémis de plaisir pendant qu'il me pénètre.
Je me remet à le branler au rythme du vas et vient de ses doigts et j'ondule mon bassin contre lui.
Je sens sa queue qui effleure mon clitoris à chaque ondulement.
- Tu mouille beaucoup Clarisse.
- Oui monsieur. Vous m'excitez tellement.
- Tu voudrais que je te prennes Clarisse ?
- Oui, monsieur.
Il me soulève les fesses et m'avance vers sa queue. Je la sent poindre aux abords de mon entrée et gémis de plaisir. Je mouille tellement qu'elle rentre petit à petit sans me faire mal.
Soudain, il me fait asseoir d'un coup sec et je cris de plaisir. Je continue à bouger mon bassin contre lui pendant qu'il aggripe fermement mes fesses en grognant de plaisir.
Je sens sa queue à l'intérieur de moi qui me remplie.
Soudain, il empoigne mes fesses et commence à me piler brutalement. Je hurle de plaisir et lui griffe les bras. Je sens sa queue qui frappe brutalement le fond de ma chatte et je sanglote de plaisir et de souffrance.
- Est-ce que tu en veux encore Clarisse ?, halete-t-il
- Oh oui monsieur ! Oh oui ! Anhhhh !
Il se lève et me porte, jette ses feuilles de son bureau d'un revers de la main et m'allonge dessus pour continuer à me pénétrer violemment.
Je sens ma tête qui frappe contre la table mais je suis envahie d'un plaisir indescriptible. Je sens ses couilles qui frappe l'entrée de mon cul inlassablement.
Il me tient fermement par la hanche et entoure mon cou de sa paume tout en continuer à me pilonner.
- Tu es vraiment une petite cochonne Clarisse. Ça fait combien de temps que tu as envie que je te baise, ainsi ? Est-ce que tu aimes sentir ma queue à l'intérieur de toi ?
- Anh. Anh. Oui. Monsieur.
A chaque mot. Sa queue s'enfonce plus profondément encore.
- Je vais jouir ma petit Clarisse. Laisse moi jouir sur ton jolie visage d'ange., grogne-t-il sauvagement.
- Tout ce que vous voudrez, monsieur.
- Agenouille toi et ouvre la bouche. Je veux te voir avaler mon sperme que tu as tant demandé.
Il se retire et je descends du bureau, percluse de douleur. J'ouvre la bouche et tire la langue en gémissant. Je le vois se branler devant mon visage en grognant de plaisir en tenant ma tête.
Lorsqu'enfin il pousse un râle de plaisir. Je le sens ejaculer sur mon visage et enfoncer sa queue dans ma gorge.
Je me met à l'avaler goulûment en tenant ses hanches. Lorsque j'ai enfin fini, il me biffle avec sa queue et se rhabille.
- C'est bien ma petite cochonne. Reviens ici tout les mercredi. Je te promet de te baiser aussi fort.
Je me rhabille fébrile et boitante et m'éclipse de la salle le sourire aux lèvres.