La séparation (11)

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Après avoir pû s'unir cette nuit, ils avaient décidés de pas être séparer jusqu'à leurs départ. Ils avaient tous fait ensembles main dans la main sans se lâcher. Mais ils ressentaient toujours cette douloureuse angoisse qui les submergé quelques fois.
Ils avaient tous deux même pensés chacun de leurs côtés, tout abandonner pour rester ensembles mais c'est pas une obtient car de son côté notre bleu avait son entreprise à gérer et kagami c'était pour son père qu'il s'inquiéter, ces études à l'université pour sa dernière année était présent aussi toutes ces contraintes les ont poussés à mettre de côté leurs désirs,

Aomine : Taïga, je.....je voulais te demander, tu es encore étudiant non
Kagami : oui Daiki enfaite c'est ma dernière année en psychologie à l'université
Aomine : je pensais que tu aller me dire que tu étudiais dans le commerce pour reprendre l'entreprise de ton père
Kagami : oui,
Aomine : oui quoi

Kagami, l'embrasse et lui sourit, sous l'incompréhension de son bleu,

Kagami : enfaite je suit pendant mes vacances des cours spécialement dirigé par mon père, finance, commercial, administratif, comptabilité tous concernant l'entreprise
Aomine : ah !!! Je comprends mieux mais attends , tu es en vacances non il t'a laisser partir deux semaines à des kilomètres de chez toi au lieu de te faire travailler
Kagami : bin merci. Et je suis trop en avance et c'est pour ça qu'il m'a offert ce cadeau pour mon anniversaire
Et je te ferais remarquer Daiki que s'il ne m'avait pas laisser venir ici pour les vacances ont se serait pas connu ou peut-être que c'est ce que tu aurais préféré

Cette dernière phrase sonné comme un reproche ou une amertume dans la voix de kagami qui fit réagir Aomine,

Aomine : Taïga dit pas de la merde, tu sais que je t'aime et que tu n'as pas tord , je suis heureux que ton père tes proposé ces vacances ici, n'en doute pas s'il te plaît
Kagami : je n'en doute pas, excuses moi c'est..... c'est juste.... j'ai beau essayer de ne.....pas y penser c'est......plus fort que moi

les larmes aux yeux,

Kagami : je suis vraiment pitoyable d'être faible face à toi alors que tu fais ton possible pour ne pas y penser et je ressens très bien ta douleur
Aomine : tu n'es en aucun cas pitoyable Taïga et même si je suis dans le même état que toi, je ne peux me relâcher sinon sa sera plus difficile voir pire pour tous les deux.

Kagami, le serre dans ces bras , Aomine encore plus, cette situation devenait trop difficile, plus qu'un jours. Ils ont étaient conscient mais que pouvaient ils faire de plus à part accepter leurs sorts. Le destin à ce moment était cruel pour notre couple ne les aidants pas à trouver la solution à ce problème.

Aomine : tu sais que j'aimais le basket

Kagami ne comprenait pas où Aomine voulais en venir mais il hocha la tête comme pour l'encourager à continuer,

Aomine : étant plus jeune, j'étais dans une équipe, ont nous appeler la génération miracle. On étaient tous des ados complètement loufoque mais bourré de talent face à ce sport.

Aomine, se perdait dans ces souvenirs heureux et douloureux à la fois, c'était comme si c'était hier,

Aomine : je sais pas vraiment ce qui c'était passé mais j'ai explosé, j'étais devenu imbattable face à ma propre équipe ou aux autres. Tous cela à finit par me dégoute inlassablement. J'étais devenu un mec méprisant, froid et imbu de ma personne. Tous le monde me donner envie de gerber pour pas être à la hauteur de ce que je voulais ou rechercher ça pour moi aujourd'hui c'était pitoyable. Pourtant malgré tous les efforts de mes amis, mes anciens coéquipier rien y fesait, j'étais juste au bout du gouffre que tous me paraissait vide et sans but apparente.

Notre bleu versa des larmes, sur ces souvenirs encore aujourd'hui trop douloureux mais ce qu'il le réconforté c'est de pouvoir partager cela avec la personne à ces côtés. Kagami, le serra dans ces bras comme pour le faire sentir son soutien et qu'il était là,

Kagami : comment...... comment as tu fait pour te relever Daiki

Aomine, le regarde tous simplement, il lui sourit tendrement,

Aomine : j'ai tous simplement abandonné, je suis parti sans me retourner et j'ai décidé de faire autre chose. C'est comme ça que j'ai réussi à monté mon entreprise. L'autre soir en regardant ce match de basket avec toi m'a replongé dans mon passé dont je n'avais pas encore réussi à me libérer complètement. Et c'est grâce à toi, taiga que j'ai pû faire l'impasse sur mes démons du passé, on me replongeant, je t'ai vu toi , à mes côtés et c'est ce qui me permet de ne pas sombrer même si on ne se verra plus.
Merci, merci Taïga d'être fort pour nous deux bientôt.

Kagami, lui sourit les larmes aux yeux, il ne se doutait pas d'une telle révélation de son bleu mais il fera en sorte de tenir bon , jusqu'à se retrouver un jour.

Kagami : d'accord, je serais fort et tiendrait pour tous les deux Daiki.
Je t'aime plus que tous et merci de m'avoir confié tes déboires .
Aomine : merci à toi de m'aimer malgré ce qu'ils nous arrivent et je t'aime très fort.

Ils embrassent de nouveau, s'allongent l'un contre l'autre. Leurs chaleur côte à côte les recouvraient de tous leurs amours en cette instant.
Le jour du départ était enfin là, notre couple étaient désormais à l'aéroport, après avoir régler pour leurs billets, les bagages ils sont désormais assis tous deux dans un petit café. Aucun des deux ne parlaient, se silence devenaient pesant, qu'ils voulaient l'interrompre en même temps,

Aomine et kagami : je t'aime

Ils se regardent, se sourient c'était plutôt émouvant cette osmose qui les relié. À l'entente de leurs départ respectifs, ils se lèvent, marchant côte à côte, s'arrêtent , leurs yeux se rencontrent enfin un sourire amère sur chacun d'eux. Ils se serent dans les bras pour la toute dernière fois, s'embrassent comme s'ils le temps c'était arrêté, tous leurs paraissaient cauchemardesque et pourtant ils étaient bien réveillés et sur le point de se séparer c'est la triste réalité qui les fit se lâcher pour rejoindre leurs porte d'embarquement.
Toujours le regard l'un dans l'autre, ils se retournent enfin pour avancer vers leurs vies laissés , il y a encore deux semaines en pause. Installés chacun à leurs places, les deux commandants annoncent le décollage pour le retour à leurs pays respectifs, les yeux de chacun regardant ce paysage qui les as permis de se rencontrer, ces vacances qui pour eux sont inoubliables et pleins de souvenirs, cette soirée où ils se sont unis pour ne faire qu'un tous cela pour se séparer ensuite. Le manque de chacun se fait sentir, la douleur dans leurs cœurs est présente, les larmes ne cessent de couler qu'ils finissent par s'endormir d'épuisement.

Suite prochain chapitre.

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