cette poignée

4 2 0
                                    

qui me tord la conscience

je ne fais que récolter la pluie dont je me suis arrosée

à bonne âme et légère

j'ai seule ce mur dressé

érigé chaque pierre

mon front j'y désormais appuie 

encore suant de défiance

des feuilles mortesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant