Les joueurs vétérans sont partis, le deuxième petit-fils est également parti, les quatre personnes restantes se sont regardées en voulant dire quelque chose mais après le départ des joueurs vétérans, il y avait un mur invisible entre eux.
«Et si on sortait et qu'on jetait un coup d'œil ? En tout cas, c'est à peu près pareil partout», Xiao Mei fit un sourire sec. Elle prit un balai de paille usé et prit une profonde inspiration avant de sortir de la salle de deuil.
«Et nous ?» dit le vieux balayeur, voulant reprendre courage.
A Song hocha la tête.
Ainsi, après que Xiao Mei, A Song et le vieux balayeur soient partis l'un après l'autre, seul le moine s'assit immobile.
«Au moins, c'est plus lumineux ici, c'est beaucoup plus sûr.»
Le moine se consola, il était terrifié et continua à garder la tête baissée.
C'était une personne ordinaire, il n'avait aucun pouvoir pour aller à l'encontre du surnaturel. Il ne connaissait que les dangers, mais à quoi cela servait ? Il valait mieux rester au même endroit et tout laisser derrière soi pour le moment.
La salle de deuil resta silencieuse pendant longtemps, les yeux de Ren Yifei se concentrèrent sur cette zone.
Il regarda à gauche et à droite, personne, il poussa un soupir de soulagement. De la main gauche, il tira une carte de sous la table et ouvrit un peu plus les yeux avant d'aspirer une gorgée de fumée d'encens...?!
M-moine ?
Ren Yifei sentit son souffle se coincer dans sa gorge et toussa presque.
Le moine était assis sur un banc devant à gauche, se serrant dans ses bras en tremblant silencieusement, seules les lettres dorées brillaient calmement au-dessus.
Attendez une minute ! Le moine avait la tête baissée !
Il rangea la carte, ses paupières reculèrent à la vitesse de 0,1 centimètre par seconde et calma son souffle.
N'était-ce pas exactement comme la pose originale ?
Il avait également agi comme un cadavre à plusieurs reprises auparavant.
Dans la cour avant derrière Ren Yifei et entre les deux maisons, les joueurs entraient et sortaient. Ils tenaient des lumières en ouvrant et en fermant les portes, faisant beaucoup de bruit.
Les joueurs vétérans regardaient méthodiquement autour d'eux tandis que les nouveaux suivaient, principalement dans le but de chercher une protection.
«Est-ce qu'un joueur s'est enfui de la cour tout à l'heure ?» Xiao Mei a trouvé les chaussures du deuxième petit-fils près de la porte. Elle regarda la porte en mauvais état, son cœur fut légèrement ému : devait-elle sortir pour jeter un coup d'œil ?
Le régleur de lampe est passé par là et a jeté un coup d'œil à Xiao Mei : «Si tu sort de cette porte, tu mourras certainement.»
Sans savoir pour quelle raison, cette personne n'était évidemment pas de bonne humeur mais elle ressentait de bonnes intentions alors elle s'avança hardiment et demanda : «Patron¹, puis-je demander pourquoi je mourrais définitivement ?»
«Qui est ton patron ?» Le régleur de lampe fronça les sourcils.
«Désolé, euh, monsieur ?» Xiao Mei répondit à voix basse pour s'attirer les bonnes grâces.
Le régleur de lampe l'a regardée en silence pendant deux secondes, puis lui a demandé : «As-tu vu les mots-clés ?»
«Happy funeral ?»
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Pour kiko
Ngẫu nhiênceci n'est qu'une traduction d'un roman pour que mon amie puisse le lire, cette œuvre ne m'appartient pas.
