Chapitre 2 : cette silhouette noir

58 3 3
                                    


J'étais dans l'avion avec ma mère pour rentrer en France, puisque nous étions à Alicante pour voir mes grands-parents comme chaque vacances. J'étais inquiète a l'idée non pas seulement de prendre l'avion mais surtout que c'étais la nuit, il n'y avait pas beaucoup de lumière dans l'avion, mais j'avais l'inquiétude d'allumer la lumière au dessus de ma tête de peur que l'on me dise que je dérange. A ce moment là dans l'avion je pensais a ma vie, malgré se qui a pue m'arriver j'étais une assez bonne élève je travaillais, je réviser et j'apprenais comme une dingue mais j'ai toujours cette petite boule au ventre de peur que je ne réussisse pas et donc de ne pas pouvoir rendre fier ma mère. Vous savez cette petite boule au ventre gênantes et perturbante et puis cette voie aussi, incessantes dans notre tête qui nous dit que nous allons jamais réussir. D'ailleurs en parlant d'école, demain est le jour J ! Super j'ai hâte ! c'est de l'ironie bien sur.

C'était la nuit, il était environ 23h30. Je dessinais à l'aide de mon flash de mon téléphone dans mon carnet un dessin d'une femme avec des fleures sur elle, comme singe de re nouveau, pour faire passer le temps. J'étais assez bonne en dessin mais je détester que l'on regarde mes dessins, C'étais la ou je me défouler ou mon cotes sombre ressorte, c'est très personnelle.

Quand je me remémorer tous les souvenirs de cet été en Espagne, avec mes amis et mes grands-parents qui sont tout pour moi comme ma mère. Je pensais aux bons moments passés sur la plage au coucher de soleil, à nos noyade dans la piscine au glace et au cocktail siroter au bistrot d'en face, à ma voiture sans permis que je conduisais pour aller au marché et boutique que nous faisions chaque week-end. Mes grands parents avez de bons moyens financiers, mais ma mère avec son gros caractère refuser d'être aider. Et dire que les vacances sont déjà terminées, l'école reprend, et avec ça mes crises de vertiges, d'angoisse et d'anxiété... aaahhh rien que d'en parler, ma phobie scolaire re fais surface quoi qu'en réalité elle ne ma jamais quitté.

J'adorais aller à l'école pour apprendre de nouvelles choses et enrichir ma culture. Mais maintenant tout est différent entre mon harcèlement au collège, mes problèmes de santé et mon lourd passé que je porte dans mon sac a dos, que je porte depuis le CM2, mais au moins j'ai regagner le sourire, c'est déjà ça de gagné ! Car si nous revenons au mois de décembre 2021 ou mes problèmes intérieurs ont pris le contrôle sur mon corps, nous revenons dans une galère pas possible entre les psychiatres, psychologues, médecin, kiné, hospitalisation et j'en passe.

Dans l'avion tout le monde s'affolais, puisqu'il y avait des secoues mais moi je pense que si nous devions mourir maintenant c'est que le destin en aura voulu ainsi alors ça ne sert à rien de s'inquiéter. Nous allons tous mourir un jour ou l'autre.

On atterrie sur les coups des 00h50 à l'aéroport de Genève. Ensuite on a pris la voiture que nous avions laissez sur le parking, une vielle Peugeot appartenant a mes grands parents quand elle venait à peine de sortir et il ont 76 ans c'est pour vous dire ! L'intérieur était tout de même raisonnable, du moins ont s'en contenter comme me dis ma mère elle roule, elle a un volant, des pneus et un moteur donc on peut être contente déjà. Comparer à mon père qui lui était riche pour ne pas dire millionnaires, mais il était en prison et devais sortir au mois d'octobre super le mois de mon anniversaire, je voulais juste qu'il pourrisse dans sa cellule en regrettant de ses actes et ses paroles qu'il a pue avoir envers moi mais la justice en France est longue et une fois qu'elle se met en place le coupable n'as jamais réellement de peine convenable,  du moins ceci est mon avis.

Quand on est rentrer évidement il n'y avait rien dans le frigo, il était trop tard pour aller faire les courses, alors on a mangeai des gâteaux, du saucisson et une boite de conserve d'haricots verts sans doute périmer mais le gout n'étais pas ma priorité j'étais affamer !

Ma mère alla se coucher en me faisans confiance pour m'endormir a une horaire convenable. Alors je suis partie prendre ma douche dans le plus grand des silences pour ne pas la déranger; et voilas la douche est complètement geler ! J'en ai marre de cet appartement pourrie ! Je veux déménager d'ici mais nous ne pouvons pas pour le moment manque d'argent et de temps. Alors j'ai essayer d'allumer la gazinière mais j'avais oublier que nous avions couper le gaz avant de partir chez mes grands parents, alors je sortie dehors sur notre terrasse plus grande que notre appartement et descendis les escaliers pour aller dans notre cave.

En sortant j'aperçus une silhouette noire assise sur mon murer, je ne m'inquietais pas, plus que ça puisque nos voisins on des poules des chèvres et pleins d'autres animaux puisque après tout nous sommes en Savoie et en campagne a environ 1 500 mètre d'altitude. Alors je continue de descendre les escaliers pour allumer ce foutu gaz ! Quand je l'ai remis j'entendis un bruit derrière moi, je me suis retournais la porte se referma, alors je couru puisque les clefs sont de l'autre cotés de la serrure.

La porte c'est refermer ! Comment je fais maintenant avec se vieux système à la con ! Surtout que j'ai peur du noir et je n'arrivais pas a trouver le bouton de l'interrupteur, beaucoup de mes traumatismes se sont passer dans la nuit, alors des souvenirs sont remonter et je commençais a me mettre en boulle au sol et a pleurer je criais en espérant que ma mère entende mais aucuns signes d'elle après 5 minutes j'entendis des pas, alors j'ai criais :

« MAMAN ! S'IL TE PLAIT VIENS M'OUVRIR J'AI PEUR MAMAN ???!! »

Une voix masculine et grave me répondis d'un ton sec et franc :

« Je ne suis pas ta mère. Enfin tu reviens sa fais 2 mois que tu es partie je ne sais ou. »

Quoi mais comment il peut savoir que je n'étais pas là ? Surtout que sa voix ne mais pas du tout familière, inquiète je lui répondis :

« Heu... je... je ne sais pas qui tu es... mais s'il te plait ouvre moi... »

D'un ton moqueur il me dit :

« Qu'est ce qu'il y a tu as peur du noir fillette ? »

Je ne répondis pas, et il m'ouvrit la porte dès qu'il n'entendis plus rien. Il me dis comme si il m'engeuler : « Ne part plus autant de temps ! Comment je fais pour te surveiller après. »

Il alluma la lumière, bloqua la porte et me pris dans ses bras en me serrant fort, je l'ai donc repousser ne sachant pas qui était cette inconnu puis il me porta pour me ramener dans mon lit. A ce moment là j'étais tellement déboussoler que je n'est pas regarder un instant qui sa pouvais être. Quand il me pausa sur mon lit il me dit en chuchotant :

« Aller dort fillette ta rentrer en seconde c'est demain ! »

Je m'interrogeais comment savait-il que ma rentrer en seconde était demain, ma rentrer ok car tous le monde rentre le même jour mais comment c'est-il que je rentre en seconde, pleins de questions me passa par la tête, mais cette odeur familière me déconcentras, l'odeur émane de la fumée, mais aussi des cendres et du papier à rouler qui contient le joint. C'est l'odeur qui va rester sur vos vêtements, vos doigts, vos cheveux et votre haleine. J'attrapa son bras avant qu'il parte et je commencer a le sentir...

« cette odeur ! » dis-je a haute voix sans m'en rendre compte.

« Oui ne sens pas trop ça ce n'est pas de ton âge tu est une gamine encore, vas te coucher maintenant demain il faut que tu te lève ! » Me réponda-t-il avec sa voix grave.

En tous cas se que je savais c'est que la rentrer était demain a 8h00 et qu'il me faut 40 minutes pour aller dans mon nouveau établissement. Alors j'ai pris mon téléphone pour mettre mon réveille à 6h40 le temps de me réveiller, d'émerger se qui prend le plus de temps, de me préparer et d'aller a mon arrêt de bus.

Pris de fatigue je m'en m'endormis dans la minutes qui suivais.

Exit la romanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant