Chapitre 4 : ma maladie

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Je me réveiller il était dans les allons tour de 6h, ma nuit était juste horrible avec mes cauchemars qui remonter puisque le mois d'octobre se rapprocher à grand pas... Alors je me leva et pendant que je prépare mon café et celui de ma mère qui aller se levais dans quelques minutes pour se préparer et aller au travaille, je regarder comme chaque matin mes notifications, je répondis a tous le monde, fis mes flammes et par curiosité j'alla voir si Artheme m'avais répondu.

- Vu

Pourquoi je ne suis même pas étonné ? En tout cas j'aurais mis de l'eau dans mon vin pour que l'on ai une discutions. Ce n'est pas grave il n'y a pas que lui comme garçons sur terre, même si au fond j'étais pour je ne sais qu'elle raison contrarier que nous ne nous entendions pas.

Je pris nos cafés quand je vis que ce n'étais que de l'eau chaude, alors je pris un tabouret pour fouiller dans les placards des dosettes de café mais nous en avions plus. Arhhhh c'est vraiment une journée de merde aujourd'hui ! Alors je pris de la monnaie et avant de partir a l'épicerie a pieds évidement, je me brossais les cheveux puis fis un chignon décoiffait, pour m'aider a me réveiller je mel laver le visage et tout en pyjama a rayure pour le bas et un t-shirt noir over sise je pris les clefs de la maison tout en de laisser un petit mot pour ma mère en lui disant se que je faisais et ou j'étais partie j'en avais pour une vingtaine de minutes donc pas d'inquiétude. J'enfilais mes chaussures, puis sortie. Je commencer a marcher mais bien sur vue qu'il avait plu cette nuit une voiture m'éclaboussa, alors je criais après elle :

« ! Regarde avant non ?! »

Il s'arrêtas d'un coup sec sur la route ou il n'y avait jamais personne qui passer par là, jusqu'à se qu'il me voit il abaissa sa fenêtre et me dis:

« Tu vas ou comme ca ? » Mais non ! C'étais Artheme ! Alors je lui dis:

« Déjà que je ne suis pas d'humeur tu t'amuse a m'éclabousser, vas chier ! » Il me ris au nez et me répondis :

« C'est bon tu as fini de te plaindre ? Maintenant monte, je te dépose. »

Qui vas refuser dans le froid du matin en étant mouiller et en pyjamas d'être amener gratuitement à l'endroit ou elle voulait aller ? En tout cas pas moi. Alors, je rentrais dans sa Bugatti la voiture noir, celle à 11 millions d'euros !

« Pff... Autant d'argent pour une voiture c'est misérable dire qu'il y en as qui ne peuvent même pas s'acheter a manger... » dis-je dans ma barbe a voix basse.

« Répète pour voir ? » me dit-il d'une voix sérieuse.

« Je pourrais le répéter jusqu'à se que ton petit cerveaux assimile qu'il y en a qui meurt de faim et toi tu as une voiture à 11 millions d'euros je trouve ça lamentable. » Lui dis-je avec un ton affirmant.

« Et alors ? » Quoi mais il est sérieux se mec ! Il me répond comme si il s'en foutais du malheur des autres, c'est lamentable comme réaction. Je roulais mes yeux en l'air quand mon appareil pour mon diabète commença à biper. Oh non la honte ! Il vas aller le répéter aux autres, il vas se moquer de moi ou me juger alors je lui demander de s'arrêter la et me déposer.

« C'est quoi ce bruit ?! » Me dit-il d'une voix menaçante.

« Heu qu'elle bruit ? Aaaa c'est mon téléphone qui sonne ne t'inquiète pas regarde la route ne me regarde pas s'il te plait. »

« Tu compte te foutre de ma gueule encore longtemps ? Montre moi ton bras ! » Il s'arrêta d'un coup au milieu de la route se détacha et pris mon bras pour regarder mon épaule.

« C'est bien se qui me semblait ! Tu est diabétique Klinde, pourquoi tu ne me la pas dis ?! » Il se fou de moi ou c'est comment ?

« Comment tu voulais que je te le dise si depuis le début de l'année tu m'esquive et m'ignore. » Il ne me répondis pas et remis sa ceinture, il re démarra et accéléra de plus en plus vite comme si il était presser de quelque chose mais je ne sais quoi. On passa devant Spar et il ne s'arrêtais pas alors je lui demanda :

« Pourquoi... tu... arrête toi... c'était la bas le magasin... » Lui dis-je avec bégayement puisque j'avais mes vertiges et des sueurs froides. Quand je le vis avec ma vision qui devenais flou petit à petit, il s'arrêta dans une pharmacie et re démarra.

« Tu ... fais... quoi...? »

« On rentre. » Me dit-il d'un ton sec. Au début je reconnu le chemin pour rentrer chez moi, sauf qu'il continua plus loin dans un chemin derrière chez moi et j'aperçus un grand portail ornée de d'ors plus beaux les un que les autres. Il rentrais dans une aller d'arbustes de chaque sortent et on arrivais sur un énorme rond point au milieu d'une cours. Il se détacha et venais de mon coté pour m'ouvrir quand je suis tombée dans les pommes a se moments là, alors il me portas dans ses bras.

A mon réveille, j'étais allongée sur son canapé dans son salon sobre, chic et blanc. Il était entrain de me changer mon Freestyle au bras, je le regarder avec ébahissement.
Il me soignais, il prenais en quelque sorte soin de moi. Lui qui ne fais que m'ignorer me laissant comprendre qu'il me déteste depuis le début de l'année. Mais mon regard alla dans tous les sens, son salon faisais au moins 90 m² sans compter sa cuisine évidement.

« Kline ? Tout vas bien ? » Me demanda t il avec une voix inquiète. J'avais envi de le serrer dans mes bras, mais je ne comprend pas pourquoi je n'étais plus en dépendance affective et on se connais depuis peux, surtout que l'on se parle que depuis tout à l'heure. Ce sentiment enfouie en moi me faisais tellement peur que je le rejetais.

« Oui ça vas, merci. Maintenant je rentre chez moi. » Lui dis-je avec affirmation.

« Non tu ne rentre pas tout desuite il faut te surveiller pendant les 24h restants »

« Je dois rentrer chez moi, j'ai dis à ma mère que j'en avais pour une vingtaine de minutes. » Puis je pris mon téléphone et regarda l'heure. Il était 11h30 passer !

« Quoi !! Mais ta vue l'heure Artheme ! »

« Ne t'inquiète pas j'ai déjà prévenu ta mère avec ton téléphone. » Mais comment il a fait pour déverrouiller mon téléphone lui ?
« J'ai vue avec elle, elle est d'accord pour que tu reste chez moi jusqu'à se que tu aille mieux car ta santé est sa priorité »

« Non non c'est mort moi je rentre chez moi ! Je ne veux pas te supporter 1 minutes de plus »

« Tu crois que moi aussi j'ai envi de te supporter peu être ? T'es encore qu'une gamine regarde tu ne sais même pas gérer ton diabète de merde. » Les larmes commençais à montais avec ses paroles qui fut dure à entendre mais c'étais la vérité. Je ne voulais juste pas l'admettre que j'étais malade. Je me levais et alla dans sa cuisine.

« Fais moi à manger j'ai faim » Je n'est pas l'habitude de dire se genre de phrase, même si je n'avais pas l'appétit je dis cette phrase pour le faire taire car sa phrase m'avais réellement vexée. Ce n'est pas que je ne sais pas contrôler ou m'occuper de ma maladie, c'est juste que j'avais d'autres préoccupations.

« C'est déjà fait, le repas t'attend dans la salle à manger et vas te doucher tu ne t'es pas laver depuis avant hier c'est bien ça ? » Comment savait il ça, oui c'étais vrai mais... enfin bref j'avais pas envi de parler plus longtemps avec lui, alors je me mis à table et il y avait le plat que je vénérer le plus, de la fondue savoyarde avec mon désert préféré une tarte au fraise. L'avait-il fait exprès ?

Exit la romanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant