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1 mois plus tard que je n'ai pas vu Naïm

Ce qui s'était passé m'avait fait du mal de l'entendre comme ça je me sentais désolé mais je n'avais pas à l'être

Je ne sais pas du tout si il m'aime ou non,mais la roue tourne et la souffrance que j'ai subit envers lui n'était rien à côté de ce qu'il subit maintenant

À ce jour je vois encore les cicatrices sur mes bras , je regrette de m'être fait du mal pour lui

Je marchais tranquillement dans la rue une glace à la main sur mon téléphone je me pose dans un parc , c'était si beau et apaisant

Un coucher de soleil et le vent doux chaud du mois de Mai qui parcoure mes bras , je profiter de ce moment comme jamais car mes parents n'étaient pas là et ils ne me laisser pas sortir

C'était si beau j'ai adoré franchement mais bien sûr il fallait que quelque chose se passe

Au loin je le vois, Naïm , mais qu'est-ce qu'il fait là ? Mais je ne voyais pas le Naïm d'avant je voyais un autre

Il n'était pas le même il était tout maigre des cernes et des blessures partout sur le corps

J'étais choqué puis je vais en courant le voir pour lui dire qu'est ce que c'est que tout ça

Moi : mais Naïm il t'arrive quoi c'est quoi ça ?

il me regarde avec des larmes au yeux mais ne me réponds pas

Moi : oh Naïm j'te parle , c'est quoi tout ça ?

Naïm : tu en es la cause

Moi : pardon ?

Naïm : pourquoi tu m'a blessé Aya....

Moi : la roue tourne Naïm

Naïm : cette histoire va finir par me coûter la vie

Moi : Naïm fait ce que tu veut de moi mais s'il te plaît ne te fait aucun mal je t'en supplie

Naïm : mais pourquoi tu t'inquiètes ? Tu ne me haïssais pas ?

Il avait du mal à dire cette phrase

Moi : c'était sous la colère je ne te hais pas Naïm , je n'ai juste pas un amour réciproque envers toi , et faut que tu le comprennes

Naïm : je n'y arrive pas Aya, je n'arrive pas à me comprendre

Moi : je me suis forcé à t'aimer une deuxième fois mais tellement tu m'a arraché le cœur que mes sentiments se sont effacés et à jamais

Naïm : je n'étais pas conscient ...

Moi : bah moi j'étais très consciente quand je te voyais te taper des autres filles alors que derrière ça tu me ferais des promesses

Naïm : désolé

Il avait les larmes aux yeux je pouvais pas le voir comme ça

Je lui prend les bras et je lui dit

Moi : ça ne sert à rien à présent

Je prends mon chemin et je pars chez moi , je n'arrivais à rien ressentir , vraiment rien

J'arrive chez moi je vois Émir, mddrrr ça fait trop plaisir de le voir franchement et dire que je ne le voyais jamais toute la semaine

Émir: coucou grosse conne

Moi : tg

Moi : euhhh t'es pas allé à l'université psk là on est lundi quand même ?

Émir : j'ai pris 2 semaine de vacances après j'y repars

J'allais hurlé de joie

Moi : JURRRRRRRRRRRRRRRRRREEE ?

Émir: tg , oui

Je saute dans ces bras puis il me rejette ce chien

Moi : gros rat va

Il me regarde très mal puis part

Ayayay comment je l'adore mon grand frère d'amour , il est chiant mais incroyable

Bref je vais dormir , et avant je parle un peu avec Asma, une petite conversation de haine avec asma

C'est la première fois qu'on est autant énervé l'une contre l'autre comme ça

Mais je reçois un appelle masqué en pleine conversations je reçois un appelle masqué

Je voulais pas répondre j'ignorais bêtement les appelles je savais qui c'était exactement mais je voulais pas répondre

Je met mon téléphone en dessous de mon oreiller et je m'endors

Le lendemain j'avais cours mais j'étais pas d'humeur vraiment les images d'hier m'ont traumatiser et je n'étais pas en bon terme avec Asma je savais pas pourquoi mais à chaque fois il y'avais un mal entendu

Je m'habille d'un jean bleu des dunk noir et un tee-shirt blanc et je plaque mes cheveux car j'avais les cheveux gras

Je mange mon petit dej et Émir me taquine toujours autant le gros chien

Émir: zeh quand tu te réveilles t horrible

Moi : Émir yahdik rebi ta gueule

Émir : j'vais t'arracher si tu reparles encore comme ça

Il commençait à s'énerver mais moi j'avais fermée ma gueule par peur de perdre la vie

Je fini de manger et je met mes écouteurs puis je pars vers l'établissement

Chronique D'aya : SmehliOù les histoires vivent. Découvrez maintenant