« Je la veux... mais je ne peux pas l'avoir. »
Elle était incroyablement belle à ses yeux.
Pourtant, elle portait une innocence qu'Aonung avait peur de salir.
Il y'avait une différence entre les deux mondes.
Il avait toujours vécu sa vie dans la pé...
Vous me croyez si je vous dis que j'ai oublié qu'on était mercredi 💀?
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« Mais tu ne peux pas... »
La voix de Tsireya s'est éteinte alors qu'elle considérait ses prochains mots.
« Tu ne peux pas, mon frère », a-t-elle poursuivi. « Tu ne peux pas avoir de sentiments pour Lia. Tu es fiancé à Ami. Ça a déjà été décidé. »
« Je sais », murmura Aonung, la voix basse. « Je sais déjà. Ce n'est pas comme si je ne me suis pas battu avec moi-même à propos de ces sentiments pour Lia. C'est juste... arrivé. »
Elle soupira. Bien qu'ils aient eu leur juste part de rivalité entre frères et sœurs, elle ne souhaiterait jamais que son frère souffre au nom de l'amour.
« Alors, que vas-tu faire? Qu'est-ce que tu veux ? »
« Je la veux... mais je ne peux pas l'avoir. »
Son expression s'est adoucie au fur et à mesure qu'il prononçait ces mots.
Il était conscient de leurs différences et des circonstances dans lesquelles ils se trouvaient.
Ayant grandi à côté de son frère, Tsireya connaissait aussi comment était son côté obscur. Cette partie de qui n'aidait pas dans la situation actuelle.
« Lia sait-elle ce que tu ressens pour elle? »
Il s'est moqué de sa question.
Peut-être qu'elle ne savait pas ou peut-être qu'elle le savait. Quoi qu'il en soit, Aonung n'était pas sûr quand il s'agissait de ses sentiments pour lui. Sur la base de leurs interactions précédentes, il pourrait dire qu'il a un effet sur elle.
Tsireya ferma les yeux momentanément.
« Oh, Eywa! Tu ne peux absolument pas le lui faire savoir. Tu finira par lui faire du mal. Tu dois prendre tes distances avant qu'il ne soit trop tard. Pour ton bien et pour le sien. »
Il hocha la tête avec irritation, sachant que sa sœur avait raison.
« Je sais, okay ? »
Fidèle à ses paroles, il a agi en conséquence.
. . . 🤍 . . .
« Je vais le dire à maman si tu ne me laisses pas venir! »
Loak a imité les paroles de Tuk, lui tirant sa langue.
Sans être dérangé, Tuk lui tirait la langue aussi.
