Lovers? ~Fred Weasley~

Chapitre 21

Diana était remontée tout de suite à son dortoir. Elle était fatiguée et avait besoin d'être seule.
En bas, elle pouvait entendre une dispute entre Harry et Seamus.

Le lendemain, Diana avait cours en première heure avec Ombrage.
Elle s'était assise tout derrière aux côtés de Lee Jordan, juste devant les jumeaux Weasley.
C'était décidé, la Malfoy détestait Ombrage.

***

Dans la salle commune, Fred et George commençaient leur trafic de farces et attrapes magiques.

-Tiens goute moi ça, Diana. Ça te permets de tomber malade et de sécher les cours!

-Désolée mon p'tit Georgie, mais non merci.

-On t'as pas demandé ton avis, femme.

Diana manqua de s'étouffer.

-ALERTE! ALERTE! Diana s'étouffe ALERTE! PIBAM! PIBAM!

***

Le midi, dans la grande salle, on pouvait entendre le professeur McGonagall et Ombrage se disputer.
Quelques élèves allèrent voir.
La directrice de Gryffondor lui avait expliqué son désaccord envers les règles qu'avait décidé la professeure de défense.

-Les choses à Poudlard sont pires que je ne le craignais. Cornelius prendra toutes les mesures qu'il faut.

-Les emmerdes commencent déjà... Soupira Diana.

-Malfoy, venez avec moi je vous pris. Appela McGonagall.

-Oui bien sûr. A plus Les gars!

Diana courut rejoindre sa professeure.
Elle suivait des cours particuliers depuis sa première année.

Pendant ce temps, Dolorès faisait déjà appliquer ses règles.
Elle était devenue nouvelle inquisitrice de Poudlard.
Un mur tout entier se remplissait chaque jour de nouvelles règles.
Plus de musique, plus de produits Weasley.

Un jour, elle décida de renvoyer le professeur de divination, Trelawney.
Cette dernière était en larmes, McGonagall accourra la consoler.

-Quelque chose à dire, très chère? Demanda Ombrage.

-Il y a un certain nombre de choses que je voudrais dire. Répondit froidement la professeure de métamorphose.

La porte s'ouvrît sur Dumbledore.

-Professeur McGonagall puis-je vous demander d'accompagner Sybille à l'intérieur.

La professeure de divination remercia mille fois le directeur tandis que McGonagall l'emmenait à l'intérieur.

-Dumbledore, dois-je vous rappeler qu'au terme du décret d'éducation numéro 23 edité par le ministère-

-Vous avez le droit de renvoyer les enseignants. Repondit le directeur face à ombrage.
Vous n'avez en revanche pas le droit de les expulser de ce château. Ce pouvoir appartient encore au directeur.

-Pour l'instant.

Diana s'énerva et essaya d'attraper l'inquisitrice malgré la force des jumeaux qui la retenait.

-Un problème, jeune fille?

-Oui. On ne veut pas de vous et vos sales règles dans cette école!

Tous les élèves acquiescèrent.

-Oh vraiment? Venez donc avec moi mademoiselle Malfoy.

Diana la suivit alors jusqu'à son bureau sans aucune envie de rester avec elle mais avec la seule de lui décapiter le corps et de le donner à manger aux cochons.
Dolorès lui demanda d'écrire des lignes. Seulement, elle devait écrire avec celle du professeur.

-Je n'ai pas d'encre. Informa sèchement la jeune sorcière.

-Oh, vous n'en aurez pas besoin.

Alors que Diana écrivait ses lignes, elle se rendit compte que son en re se retranscrivait sur sa main.

Après son heure, elle rentra à la salle commune et alla bander sa main qui lui faisait affreusement mal.

-Un problème, Malfoy?

C'était Fred qui avait toqué à la porte du dortoir.

-Tu ne devrais pas être là, Weasley.

-Je me suis dit que tu devais avoir besoin de compagnie. On te voit souvent seule en ce moment et puis, tu n'as pas l'air très en point.
Ombrage t'as torturée ou quoi?

-Oui c'est exactement ça.

Diana lui montra sa main où était inscrit une phrase ensanglantée.

-J'ai entendu dire que Harry avait eu la même chose. Au moins je ne serais pas seule.

-Il faut que tu ailles en parler à Dumbledore.

-Pourquoi tu t'inquiètes pour moi maintenant? Dit Diana en s'approchant dangereusement du Weasley.

-Oui c'est exactement ça.

Il attrapa les hanches de la jeune fille la mit sur ses jambes.
Leurs deux visages étaient très proches.

-Tu me rends fou, Malfoy.

-Alors tu attends quoi?

Fred l'embrassa a pleine bouche tandis qu'elle attrapait sa cravate pour l'entraîner sur son lit.
Leurs vêtements finirent vite à terre et le lit grinça sous leurs mouvements sensuels.