Chapitre 3 : Un bruit étrange

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Cependant, un détail m'interpelle dans le récit de mon père. Il parlait d'un homme avec un drôle de tube qui faisait un bruit agacent.

...

J'eue un moment d'absence, toutefois mon père qui continuait son histoire ne fue troubler par cela. A la fin de son histoire, il ajouta : « Ah vous les jeunes, toujours trop de choses à réfléchir. ». Sa remarque ramena mon attention dans la conversation. Mes parents profitèrent de ma présence pour me poser la fameuse question :

- Alors ma chérie, tu as rencontré le grand amour ? commença ma mère.

- Je me concentre sur mon travail.

- Il n'y a vraiment personne dans ta vie ? insista mon père.

- Non, personne.

Mon père parti et ce fue un long blanc gênant avec ma mère. Je regardai ma montre et prétexta un RDV pour fuir ce blanc. Une fois rentrée chez moi, il était un peu plus de 10h, il me restait 2h avant ma prise de service. Je décidai de me rendre à l'hôpital, le lieu de travail de mon père, pour trouver cette fameuse personne.

Sur place, une infirmière finit par remarquer mon comportement bizarre et vint me demander ce que je cherchais. Je répondis que j'attendais quelqu'un et reprit mes recherches. Cependant, je ne trouvais rien, aucun bruit anormal. Je trouva une autre infirmière pour obtenir de l'aide, mais elle m'affirma qu'elle n'avait rien remarquer. Tandis que je me dirigeais vers la sortie, j'entendit au loin un son bien familier. Il venait d'une zone interdite au public.

Je me rapprochais en prenant soin de ne pas me faire repérer par le personnel. Quant, j'aperçu au loin le même homme qui était entré dans le Tardis hier.

- Monsieur excusé- moi, dit-je tandis qu'il trifouillait des câbles.

- Oui ? me répondit-il sans prendre la peine de se retourner.

- Vous ne connaitriez pas un docteur ? demandais-je.

- Regarder autour de vous, nous sommes dans un hôpital. Dit-il sans même me regarder.

- Non... je veux dire... LE docteur, une femme avec une cabine de police et un étrange tournevis.

Il me regarda enfin et je vis de la tristesse dans ses yeux. Il se retourna rapidement pour reprendre ses activités :

- Non, je n'ai vu personne correspondant à cette description... désolé.

- Mais vous n'avez pas vu une cabine de police dans le coin ? insistai-je.

- Non, répondit-il froidement. Vous devriez renter chez vous, cette zone est interdite au public.

Je reparti lentement. Devais-je le croire, devais-je abandonner. De toutes façons revoir le docteur me ferai souffrir. Mais son histoire ne collait pas, je l'avais vu monter dans le tardis. Je regardai et décida de rentrer chez moi pour me préparer et aller travailler.

Ma journée se termina sans incident. Je fais profil bas auprès de mes supérieurs pour éviter les problèmes. J'ai raconté une partie de ma journée à Carla, ma coloc, en évitant les détails et sans lui dire qui est vraiment le docteur. Elle ne comprendrait pas, elle me prendrait pour une folle. Bizarrement, aujourd'hui, je m'endors assez rapidement.

Le lendemain matin :

Je me réveil un peu avant que mon téléphone ne sonne et je réfléchis. (Il faudrait que je cherche toute trace d'activité surnaturel pour la retrouver. Est-ce que la souffrance sera si forte ? Je pourrai toujours retourner voir le groupe des anciens compagnons.) Je fini par supprimer mon alarme et me prépare comme tous les matins.

En arrivant au commissariat, je fue renseigné sur le lieu où je devais effectuer ma patrouille. Le quartier que l'on m'a indiqué m'était plus que familier. J'y était souvent envoyer pour faire des patrouilles. Sur place, j'avais repéré une bande de jeunes au intension criminel. Je n'avais pas de véhicule, donc il était plutôt facile pour moi de les suivre à distance. Tandis que je me cachais dans une rue près des jeunes que je surveiller. Je vis une lumière sur la plage.

...

Après son départ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant